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Le quiet storm est l'équivalent noir des formats blancs [[Soft rock]] et [[Adult contemporary]]. Le quiet storm est inévitablement et profondément ancré dans le [[Rhythm and blues|R&B]], et même souvent avec des extensions [[jazz]]. Le genre dégage une sophistication raffinée et des émotions tout en finesse.
 
Le créneau quiet storm est à l'origine du succès d'artistes comme [[Luther Vandross]] ou [[Anita Baker]] et a fait connaître le groupe britannique [[Sade (groupe)|Sade]] et sa [[Sade Adu|chanteuse]] au public américain. Parmi les enregistrements quiet storm considérés comme des classiques du genre, on peut citer ''Golden Time of The Day'' de [[Frankie Beverly]] et [[Maze (groupe)|Maze]], ''Let's Get It On'' de [[Marvin Gaye]] ''This Must be Love'' de [[Phil Collins]], les orchestrations de la [[Soul]] de [[Philadelphie]], les disques de [[Al Green]], [[Bill Withers]] et [[Barry White]] mais aussi des travaux d'artistes [[jazz]] comme les albums du guitariste [[Wes Montgomery]] sur [[CTI Records]] ou ceux du saxophoniste [[jazz-funk]] [[Grover Washington, Jr.]] Dans les [[années 1980]], le quiet storm était aussi la facette ballades de nombreux groupes de [[funk]] tels que [[Cameo (groupe)|Cameo]], [[Gap Band]] ou [[Atlantic Starr]] (une compilation au nom assez antinomique, ''Funk Ballads'', était d'ailleurs parue, regroupant ces morceaux hors contexte).
 
Cependant, le quiet storm est plus populaire quand il séduit la niche des [[baby boomers]], c'est-à-dire du milieu des [[années 1970]] au début des [[années 1990]].