Sorbonne-Université
Sorbonne Université est une université française située à Paris, composée de trois facultés : la Faculté des lettres (ancienne université de Paris-IV), la Faculté des sciences et ingénierie et la Faculté de santé (ancienne université de Paris-VI). Créée le , elle regroupe les effectifs et moyens des deux universités, Paris-Sorbonne et Pierre-et-Marie-Curie.
Fondation |
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Type | |
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Forme juridique |
Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel (d) |
Président |
Nathalie Drach-Temam (d) (depuis ) |
Membre de | |
Site web |
Étudiants |
56 821 () |
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Effectif |
8 167 () |
Budget |
924,4 millions d’euros () |
Rang national | |
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Rang international |
Pays | |
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Campus | |
Localisation |
Elle est organisée sur plusieurs sites, principalement dans le Quartier latin, mais aussi à Abou Dhabi. En 2021, Sorbonne Université compte 58 132 étudiants, dont 7 633 étudiants internationaux, 1 483 doctorants[1], 3 021 membres du personnel de soutien[1] et 3 299 chercheurs et enseignants-chercheurs[1], ainsi que 7 hôpitaux et 4 036 lits au sein de son GHU[2]. Ses 55 composantes (unités de formation et recherche, écoles doctorales, et écoles internes) offrent 53 licences et 33 masters. Elle héberge 137 unités de recherche[3].
Histoire
modifierSorbonne Université est l'héritière de nombreuses institutions avant elle, remontant au Moyen Âge.
Origine
modifierL'universitas magistrorum et scholarium Parisiensis (signifiant l'« ensemble des maîtres et des élèves de Paris ») est d'abord une corporation de maîtres et d'élèves qui apparaît à Paris vers 1150, en complément de l'école de théologie de Notre-Dame.
Robert de Sorbon (1201-1274), chapelain du roi Louis IX (Saint Louis), observe les difficultés matérielles qu'éprouvent les « écoliers » sans fortune pour parvenir au grade de docteur. En , il fait établir de façon officielle[4] une maison (domus) qu'il destine à un certain nombre d'ecclésiastiques séculiers qui, vivant en commun et sans souci pour leur existence matérielle, seraient entièrement occupés à l'étude et l'enseignement. Cette maison est nommée collège de Sorbonne. L'ancien slogan de l'établissement, « Sorbonne Université, créateurs de futurs depuis 1257 », fait référence à cette date.
Le collège de Sorbonne est situé à l'emplacement de l'actuel bâtiment de la Sorbonne. Aujourd'hui, celui-ci partage ses locaux entre la Chancellerie, Sorbonne Université et les universités Panthéon-Sorbonne et Sorbonne-Nouvelle.
Le collège de Sorbonne est dissout en 1793 avec l'ensemble des autres collèges de l'ancienne université de Paris. La Révolution française et la suppression des corporations en est l'explication. En 1792, la Convention nationale avait ordonné que tous les instituteurs ecclésiastiques soient obligés de prêter serment à la Constitution civile du clergé. Las, le décret du 15 septembre 1793 supprime les collèges et les facultés sur l'ensemble du territoire de la République, et les remplace par un ensemble d’écoles centrales et d’écoles spéciales, précédées par les écoles primaires. En 1794, une école de médecine est créée, qui reprend les prérogatives de la faculté de médecine, rejointe en 1804 par une école de droit.
Entre 1793 et 1896, même si l'enseignement supérieur existe, il n'y a donc plus officiellement d'université en France.
En 1896, l'université de Paris renaît de ses cendres, grâce à la loi du donnant la personnalité civile aux corps formés par la réunion de plusieurs facultés d’une académie et à celle du donnant le nom d’université aux corps de facultés. Elle est créée comme groupement de la faculté des sciences, de la faculté des lettres, de la faculté de droit, de la faculté de médecine, de la faculté de théologie protestante (elle-même créée en 1877, bientôt transformée en faculté libre en 1905), et de l’École supérieure de pharmacie. L'Université de Paris est inaugurée le par le président de la République Félix Faure.
1968 : scission de l'université de Paris
modifierEn 1968, l'Université de Paris est démantelée et les universités de Paris-IV et de Paris-VI sont créées (réforme dite « Edgar Faure »)[5]. L'université de Paris, qui était divisée en cinq facultés, est fractionnée en plusieurs universités interdisciplinaires. Certaines, dont l'université de Paris-IV, conservent le nom de « Sorbonne » et des locaux au centre historique de l'université de Paris, essentiellement dévolus jusqu’alors aux facultés des lettres et des sciences. Les professeurs de l'université de Paris sont libres de se répartir comme ils l'entendent, et beaucoup se réunissent dans un premier temps selon leur couleur politique, notamment face aux événements de Mai 1968. L'université de Paris-IV regroupe ainsi les professeurs « de droite » par opposition à Paris-I « Panthéon-Sorbonne », qui est marquée « à gauche ». Cela explique les orientations scientifiques divergentes. Pour prendre l'exemple de l'histoire des sociétés, Paris-IV s'illustre ainsi par une historiographie suivant les thèses de Roland Mousnier, et conserve toujours une distance à l'égard de l'analyse marxiste de Boris Porchnev, davantage à l'honneur à Paris-I « Panthéon-Sorbonne »[réf. nécessaire]. La faculté des sciences de l'université de Paris est scindée en plusieurs unités d'enseignement et de recherche dont une majorité rejoint l'université de Paris-VI. En physique, on compte quatre UER : « Application de la physique » ; « Optique et physique moléculaire », qui devient l'UER no 52 « Optique, physique atomique, moléculaire et cristalline » ; « Physique des solides », qui devient l'UER no 53 « Physique des matériaux condensés » ; « Physique théorique », qui devient l'UER no 54 « Physique théorique et corpusculaire ».
En 1971, l'université Paris-VI est créée à partir de la majorité des unités d'enseignement et de recherche de la faculté des sciences de Paris (les autres rejoignant les universités Paris-Diderot, Paris-Sud à Orsay, Paris-Est-Créteil, et Sorbonne-Paris-Nord à Villetaneuse) et une partie des unités de la faculté de médecine de Paris (les autres rejoignant les universités Paris-Descartes, Paris-Diderot et Paris-Nord).
En 1974, l'université de Paris-VI prend le nom d'université Pierre-et-Marie-Curie[6].
En 1989, en application de la loi du 26 janvier 1984 sur l'enseignement supérieur, une unité de formation et de recherche de physique (UFR no 925) est créée par fusion des UER no 52, 53 et 54. L'UER « Application de la physique » rejoint elle l'unité de formation et de recherche d'« Électronique, électrotechnique, automatique et applications de la physique » (UFR no 924). Cette dernière est dissoute en 2008 et une partie de ses anciens membres rejoignent l'UFR de physique, les autres constituant deux nouvelles unités, l'UFR d'ingénierie et l'UFR terre, environnement, biodiversité. À cette occasion, l'UFR de physique est dotée de nouveaux statuts.
En dépit du renouvellement des générations de professeurs et d'étudiants, l'université Paris-Sorbonne conserve sa réputation que la dureté des grèves du printemps 2009 dans cette université n'écorne pas.
Entre 2010 et 2017, Paris-Panthéon-Assas, Paris-Sorbonne» et Pierre-et-Marie-Curie se rapprochent au sein d'un ensemble appelé Sorbonne Universités[7]. La tournure anglaise du nouveau nom est dénoncée par de nombreux intellectuels, dont l'académicien Frédéric Vitoux[8]. En 2015, l'Université Panthéon-Assas fait retraite, pensant s'allier à d'autres grandes écoles dans un partenariat public-privé et devenir un Grand établissement. Le regroupement fait long feu et disparaît en 2018.
2018 : fusion des universités Paris-Sorbonne et Pierre-et-Marie-Curie
modifierL'établissement Sorbonne Université est créé le [9],[10] de la fusion des universités Paris-Sorbonne (19 000 étudiants, 1 200 membres du personnel) et Pierre-et-Marie-Curie (35 000 étudiants, 1 500 membres du personnel). La nouvelle entité conserve l'ancienne structure de manière apparente : la faculté des lettres recoupe les activités de Paris-IV, la faculté des sciences et la faculté de santé reprennent les activités de Paris-VI.
En , Sorbonne Université est distinguée par un jury international réuni dans le cadre d'une Initiative d'excellence (IDEX). Le projet SUPER (« Sorbonne-Université à Paris pour l'enseignement et la recherche ») reçoit l'appui du programme d’Investissements d'avenir sans limitation de durée : environ 27 millions d'euros annuels supplémentaires, octroyés par l'État et issus du revenu du placement à la Caisse des dépôts et consignations d’une dotation non consommable de 900 millions d'euros (soit 3 %). C'est le premier établissement d'enseignement supérieur francilien à obtenir cet accord définitif[11].
En juillet 2023, la faculté de médecine est rebaptisée faculté de santé[12].
Organisation
modifierSorbonne Université représente plus de 8 000 salariés, pour moitié du personnel de l'enseignement et de la recherche et pour moitié du personnel administratif[13],[14].
2018 | 2019 | 2020 | 2021 | ||
Enseignants-chercheurs, enseignants, chercheurs | 3 311 | 3 319 | 3 283 | 3 299 | 39 % |
Doctorants (financés) | 1 268 | 1 218 | 1 364 | 1 483 | 18 % |
Personnel administratif | 3 013 | 3 021 | 3 031 | 3 021 | 36 % |
Contrats étudiants | 579 | 581 | 757 | 630 | 7 % |
Total | 8 171 | 8 139 | 8 435 | 8 433 |
Sorbonne Université résulte de la fusion de trois entités (nommées « facultés »[15]) structurées en unités de formation et de recherche, écoles et instituts[16] : la plus grosse en nombre d'étudiants est la faculté des lettres (ancienne université de Paris-IV), suivie par la faculté des sciences et ingénierie (ancienne université de Paris-VI), et par la petite faculté de santé (ancienne université de Paris-VI).
2018[17] | 2022[18] | ||
Faculté des lettres | 20 651 | 23 628 | 41 % |
Faculté des sciences et ingénierie | 22 702 | 21 161 | 36 % |
Faculté de santé | 17 174 | 13 343 | 23 % |
Nombre total d’étudiants inscrits | 60 527 | 58 132 |
Groupe de disciplines CNU | MC | PU | Total | |
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Droit, économie, gestion | 6 | 4 | 10 | 0,4 % |
Lettres et sciences humaines | 384 | 213 | 597 | 26 % |
Disciplines de santé | 116 | 279 | 395 | 17 % |
Sciences | 855 | 411 | 1 266 | 56 % |
Nombre total d'ens.-chercheurs | 1 351 | 907 | 2 268 |
Implantations, gouvernance et moyens
modifierPour 2022, le budget de l'université est évalué à 893 millions d'euros, dont 517 millions de subvention pour charges de service public[19].
L'université est présidée par Jean Chambaz (2018-2021), puis Nathalie Drach-Temam (depuis 2021)[20],[21].
Sorbonne Université a pour siège le 21, rue de l'École-de-Médecine, au sein du site des Cordeliers, lieu historique de l'École de médecine de Paris et du collège des Cordeliers de l'ancienne université de Paris. La présidence de l'université se trouve sur le site Pierre-et-Marie-Curie, dans la tour Zamansky.
Sorbonne Université possède des campus principaux : la Sorbonne, le campus Pierre-et-Marie-Curie, les sites de la Pitié-Salpêtrière et de Saint-Antoine, le campus des Cordeliers, le campus Clignancourt, le campus Malesherbes, ainsi que 26 autres sites, à Paris, en Île-de-France (par exemple, le CELSA est à Neuilly-sur-Seine), et sur le littoral français (en particulier, les stations marines de Roscoff, Banyuls et Villefranche-sur-Mer)[22].
L'établissement Sorbonne Université à Abou Dhabi résulte de la création en 2006 par la faculté des lettres de l'« université Paris-Sorbonne-Abu Dhabi ». C'est la première fois qu'une université française s'implantait à l'étranger, suivant ainsi le mouvement d'internationalisation de l'enseignement supérieur ; on parlait de créer d'autres antennes à l'étranger, aux États-Unis et en Asie de l'Est.
Sept hôpitaux universitaires de l'Assistance publique - Hôpitaux de Paris sont intégrés à son périmètre au sein du groupe hospitalo-universitaire AP-HP Sorbonne Université, associés à la faculté de santé[2].
Enseignement et recherche
modifierSorbonne Université offre de nombreuses formations et structures de recherche dans ses facultés. De manière anecdotique, on relève que plus d'un quart des membres des académies des Sciences et de Médecine est issu de Sorbonne Université et 40 % des « Immortels » de l'Académie française y ont suivi tout ou une partie de leur cursus universitaire[réf. nécessaire].
Sorbonne Université propose des licences, des parcours bi-disciplinaires, des masters avec de nombreuses spécialisations à l'international, des doctorats et un grand nombre de diplômes d'université. L'offre de formation est proposée en formation initiale, en formation continue, ainsi qu'en formations non diplômantes et formation faites sur mesure.
Sorbonne Université abrite sur le campus Pierre-et-Marie-Curie à Paris le siège européen du Centre national de ressources biologiques marines (EMBRC) regroupant 14 stations de biologie marine dans 9 pays européens. Parmi ces 14 stations, trois font partie de Sorbonne Université : la Station biologique de Roscoff, l'Observatoire océanologique de Villefranche-sur-Mer et l'Observatoire océanologique de Banyuls-sur-Mer.
Six instituts thématiques pluridisciplinaires de recherche sont créés : l'Institut des sciences du calcul et des données (ISCSD), l'Institut universitaire d'ingénierie en santé (IUIS), l'Institut de la transition environnementale (ITE), l'Institut du patrimoine, le Collegium Musicae[23], ainsi que le Sorbonne Center for Artificial Intelligence (SCAI)[24].
Partenariats
modifierSorbonne Université est membre depuis 2018 membre de l'Alliance Sorbonne Université[25] qui comprend le Muséum national d’histoire naturelle, l’Université de technologie de Compiègne, l’Insead, le pôle supérieur d’enseignement artistique Paris Boulogne-Billancourt et France Éducation international.
Au niveau européen, elle est membre de la Ligue européenne des universités de recherche et de l'alliance 4EU+[26],[27] (qui comprend les universités Charles de Prague en République tchèque, de Heidelberg en Allemagne, de Varsovie en Pologne, de Milan en Italie, de Copenhague au Danemark et de Genève en Suisse).
Elle est membre de l'association des universités intensives de recherche Udice[28].
Classements internationaux
modifierSorbonne Université apparaît dans plusieurs classements internationaux :
- dans le Academic Ranking of World Universities (ARWU, dit classement de Shanghai) : en 2021, 2e en France et 35e dans le monde[29] (en 2021, 3e mondiale en mathématiques et en océanographie) ;
- dans le Center for World University Rankings (CWUR) : en 2022-2023, 3e en France et 38e dans le monde[30] ;
- dans le classement QS World University : en 2023, 3e en France et 60e dans le monde[31] ;
- dans le classement du Times Higher Education : en 2022, 2e en France et 88e au monde[32] ;
- dans le classement du U.S. News Best Global Universities Rankings : en 2022, 1re en France et 46e dans le monde, 3e mondiale en mathématiques[33] ;
- dans le classement du NTU World University Rankings : en 2021, 2e en France et 30e dans le monde, 7e mondiale en mathématiques[34].
Personnalités liées
modifier- Anciens étudiants et enseignants (Paris-IV Sorbonne et Paris-VI Pierre-et-Marie-Curie)
Sorbonne Université compte notamment parmi les anciens étudiants et enseignants des établissements qui l'ont constituée des personnalités scientifiques comme :
- Alain Connes (Médaille Fields 1982)
- Claude Cohen-Tannoudji (Prix Nobel de physique 1997)
- Emmanuelle Charpentier (Prix Nobel de chimie 2020)
- Françoise Barré-Sinoussi (Prix Nobel de physiologie ou médecine 2008)
- Ngô Bảo Châu (Médaille Fields 2010)
- Wendelin Werner (Médaille Fields 2006)
- Pierre-Louis Lions (Médaille Fields 1994)
- Serge Haroche (Prix Nobel de physique 2012, Médaille d'or du CNRS 2009)
- Yann Le Cun (Prix Turing 2018, pionnier du Deep Learning)
- Gérard Mourou (Prix Nobel de physique 2018)
- Cédric Villani (Médaille Fields 2010, directeur de l'Institut Henri-Poincaré de 2009 à 2017, député de 2017 à 2022)
Elle compte aussi des personnalités politiques, écrivains, journalistes, hommes d'affaires, parmi lesquels :
- Michel Aflak (fondateur du parti Baas en 1942)
- Julia Ducournau (réalisatrice et scénariste française)
- Taha Hussein (écrivain et universitaire égyptien, ministre de l'éducation nationale)
- Claude Bartolone (président de l'Assemblée nationale de 2012 à 2017)
- Alain Fuchs (président du CNRS de 2007 à 2017)
- Laurent Gbagbo (président de la République de Côte d'Ivoire de 2000 à 2011)
- Luc Ferry (homme politique, philosophe)
- Xavier de Moulins (journaliste, présentateur à la télévision)
- Michel Sapin (ministre de l'Économie et des Finances de 2014 à 2017)
- Mounir Mahjoubi (homme politique, secrétaire d'État de 2017 à 2019)
- Dominique Strauss-Kahn (directeur du Fonds monétaire international de 2007 à 2011)
- Alexander Stubb (Premier ministre de Finlande de 2014 à 2015)
- Christiane Taubira (ministre de la justice de 2012 à 2016)
- Charlotte et Laura Tremble (nageuses synchronisées françaises)[35]
- Laurent Wauquiez (homme politique, ministre)[36]
- David Castello-Lopes (journaliste et humoriste)[37]
- Aurélie Jean, spécialiste des algorithmes et de la modélisation numérique
Notes et références
modifier- « Rapport social unique 2021 »,
- « Tous les hôpitaux du groupe hospitalo-universitaire AP-HP.Sorbonne Université ont été certifiés par la Haute Autorité de Santé », sur www.aphp.fr, (consulté le )
- « Sorbonne Université en chiffres », sur Sorbonne Université (consulté le )
- « La fondation du Collège de Sorbonne » par Jacques Verger, Archives de France, document d'autorité, en ligne.
- « Décret du 23 décembre 1970 portant érection d’universités et instituts nationaux polytechniques en établissements publics à caractère scientifique et culturel », sur www.legifrance.gouv.fr
- Université Pierre et Marie Curie - UPMC, « 900 ans de formation supérieure et de quête intellectuelle au cœur de Paris », sur www.upmc.fr (consulté le )
- Décret du 22 juin 2010 portant approbation des statuts de la fondation de coopération scientifique « Sorbonne Universités » et décret no 2015-664 du 10 juin 2015 portant création de la communauté d'universités et établissements « Sorbonne Universités » et approbation de ses statuts
- Le Figaro, « La France doit résister à l’invasion du franglais », F. Vitoux, 1er décembre 2019, en ligne.
- Camille Stromboni, « « Sorbonne université » : Pierre-et-Marie-Curie et Paris-Sorbonne en route vers la fusion », Le Monde, (lire en ligne)
- Décret no 2017-596 du 21 avril 2017 portant création de l'université Sorbonne Université
- « L’université de Paris-Saclay conserve le label IDEX, et le projet toulousain recalé », sur Le Monde,
- « Organisation générale », sur Sorbonne Université, (consulté le )
- Direction de l'aide au pilotage, Bilan social 2020, Paris, Sorbonne Université, , 91 p. (lire en ligne), p. 9
- Direction de l'aide au pilotage, Bilan social unique 2021, Paris, Sorbonne Université, , 91 p.
- [PDF]Statuts de la nouvelle université votés par l’assemblée constitutive provisoire de Sorbonne Université le 13 juin 2017
- Arrêté du 4 août 2017 portant création de regroupements de composantes à l'université Sorbonne Université
- Direction de l'aide au pilotage, Bilan social 2018, Paris, Sorbonne Université, , 109 p. (lire en ligne), p. 7.
- « Projet annuel de performance de Sorbonne université 2022 », p. 5
- « Rapport de présentation du budget initial 2023 », sur sorbonne-universite.fr,
- « Nathalie Drach-Temam élue présidente de Sorbonne Université », sur Sorbonne Université, (consulté le )
- Shahinez Benabed, « Nathalie Drach-Temam, nouvelle présidente de Sorbonne Université enseignement supérieur », sur acteurspublics.fr, (consulté le )
- « Campus et sites », sur sorbonne-universite.fr, (consulté le )
- Nicolas Gutierrez C., « Un institut interdisciplinaire pour écouter le passé, le présent et le futur de la musique », sur sciencesetavenir.fr,
- Remy Demichelis, « Sorbonne Université lance son centre d'intelligence artificielle », sur lesechos.fr,
- « Alliance Sorbonne Université », sur sorbonne-universite.fr, (consulté le )
- « Alliance 4EU+ », sur sorbonne-universite.fr via Wikiwix (consulté le ).
- « 4EU+ : Jean Chambaz président pour un an de l’alliance européenne, les premières actions lancées », News Tank Higher Ed and Research, (lire en ligne)
- René-Luc Benichou, « Udice, une nouvelle association pour porter la voix des universités de recherche »
- (en) « ARWU World University Rankings 2019 »
- https://cwur.org/2019-2020/Sorbonne-University.php Center for World University Rankings (CWUR)
- (en) « Sorbonne University | Top Universities » (consulté le )
- , (en) « World Reputation Rankings », Times Higher Education (THE), (lire en ligne, consulté le )
- (en) « Sorbonne Universite in France - US News Best Global Universities » (consulté le )
- (en) « Sorbonne University » (consulté le )
- (en-US) Christina Marmet, « Rencontre avec Charlotte et Laura Tremble », sur Inside Synchro, (consulté le )
- François Wenz-Dumas, « Laurent Wauquiez : retour à la fac», Libération, 30 juin 2011 (https://www.liberation.fr/france/2011/06/30/laurent-wauquiez-retour-a-la-fac_746182/) consulté en octobre 2021
- « Portrait de David Castello-Lopes – Depuis quand se moque-t-on des Suisses à la télé? », sur 24 heures (consulté le )
Voir aussi
modifierLiens externes
modifier- (fr + en) Site officiel
- Ressources relatives à la recherche :
- Ressources relatives aux organisations :
- Ressource relative à la santé :
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