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Theatre Commentaire

Le document traite des fondements et des éléments essentiels de la comédie au théâtre, en mettant l'accent sur des concepts tels que le langage familier, les personnages stéréotypés et les différentes structures narratives. Il fournit également des conseils sur la manière d'analyser un texte théâtral, y compris la lecture analytique, la reconnaissance de la place de l'extrait dans l'œuvre et l'identification de la problématique. Enfin, il présente un vocabulaire spécifique au théâtre et les types de comique, ainsi que des recommandations sur la rédaction d'une introduction et d'une conclusion pour un commentaire de texte.

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Theatre Commentaire

Le document traite des fondements et des éléments essentiels de la comédie au théâtre, en mettant l'accent sur des concepts tels que le langage familier, les personnages stéréotypés et les différentes structures narratives. Il fournit également des conseils sur la manière d'analyser un texte théâtral, y compris la lecture analytique, la reconnaissance de la place de l'extrait dans l'œuvre et l'identification de la problématique. Enfin, il présente un vocabulaire spécifique au théâtre et les types de comique, ainsi que des recommandations sur la rédaction d'une introduction et d'une conclusion pour un commentaire de texte.

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Objet d’étude: Le théatre du XVIIe au XXIe siècle. Parcours: Spectacle et comédie.

Fondements de la comédie: langage familier, personnages qui appartiennent au peuple et


souvent stéréotypes, débats.
-Castigat mores ridendo= corriger les moeurs par le rire
-Élégie= plainte/souffrance amoureuse
-Le théatre dans le théâtre= La mise en abyme
-Le valet rusé= Servus Callidus
-Le maitre sévère: Pater Durus
-Le jeune homme amoureux= L’adulescens

Avant de commencer à commenter le texte de théâtre

1. Toujours avoir une première lecture basique, puis une deuxième/troisième


plus analytique où vous notez dans la marge/sur votre texte les éléments,
informations que vous repérez.
2. Repérer la place de l’extrait dans l’oeuvre. Selon sa place il aura différentes
fonctions.
3. Repérer, et mettre en évidence la structure du texte. Ainsi la manière dont il
évolue et avance.

Attention : pour ne pas donner l’impression de découper artificiellement le texte,


montrer les évolutions d’une partie à l’autre pour justifier le découpage dans
l’introduction.

Exemple : le passage d’un argument à l’autre, d’un outil à un autre etc.

Trouver le problématique d’un texte de théâtre

Pour trouver la problématique du texte, il faut commencer par saisir la spécificité du


texte. Qu’est-ce qui le rend intéressant et exceptionnel (trouver la raison pour
laquelle les jurés l’ont choisi) ?

A ne pas oublier quand vous commentez un texte de théâtre

Il faut tout d’abord faire attention au rythme du texte, à la place du narrateur et de


l’auteur dans le texte ! Il faut ensuite ne pas oublier de bien citer le texte pour
prouver ce que l’on déclare (en précisant à chaque fois exactement la ligne). Enfin,
veuillez à utiliser le vocabulaire spécifique au théâtre (on ne parle pas de ligne, mais
de vers; ne pas oublier les didascalies)

Un peu de vocabulaire essentiel sur le théâtre

Dramaturge : l’auteur d’une pièce de théâtre.

Acte : grande division d’une pièce de théâtre.

Scène : sous-division d’une pièce de théâtre ainsi que l’espace concret où jouent les
acteurs.

Hors-scène : lieu où se déroule tout ce qui n’est pas perçu par le spectateur lors de
la représentation théâtrale.

Représentation théâtrale : Jeu de la pièce devant des spectateurs.

Mise en scène : manière de jouer une pièce qui passe par le choix des décors, de la
lumière ou des acteurs.

Jeu : façon dont les acteurs jouent une pièce.

Règle des trois unités : règle imposée par le théâtre classique qui concerne l’unité
de lieu (un seul espace), de temps (24 heures) et d’action (une seule action) ainsi
que la vraisemblance de la pièce.

Vraisemblance: Impose aux auteurs de donner une impression de vérité car les
spectateurs ne peuvent pas se sentir concernés par une pièce de théâtre si elle ne
reflète pas assez la réalité. L'histoire doit donc être crédible.

Bienséance : règles morales et éthiques que le dramaturge doit respecter selon le


théâtre classique.Ne pas choquer le public. Il faut donc utiliser un langage soigné et
montrer des sentiments nobles. Par ailleurs, il est interdit de montrer des meurtres
sur scène.

Chœur : groupe de personnages qui intervient dans la pièce sous forme de chant ou
de danse.

Confident : dans la tragédie, le personnage à qui se confient les autres


personnages.
Didascalie : indication scénique insérée dans le corps du texte en italiques et/ou
entre parenthèses.

Scène de dialogue : scène dans laquelle des personnages échangent en dialoguant.

Monologue : scène ou moment de l’oeuvre où un unique personnage, seul sur la


scène, se parle à lui-même.

Tirade : longue réplique, elle est semblable au monologue mais en diffère à ceci près
qu’elle n’est pas prononcée par un personnage seul sur la scène.

Stichomythie : échange de répliques courtes et sèches entre les personnages.

Réplique : paroles prononcées par un personnage lors d’un dialogue ou d’un


monologue.

Aparté : mot ou parole prononcée à part (du dialogue) par un personnage et qui
n’est entendu que par les spectateurs.

Comédie / comique : genre théâtral et caractéristique d’une pièce lorsqu’elle inspire


le rire du spectateur. Il existe trois types de comiques ; le comique de geste, de
mots, de caractère et de situation.

Grotesque : un type de comique qui se caractérise par la caricature qui déforme la


réalité.

Burlesque : un autre type de comique qui ne respecte pas l’adéquation de la classe


sociale et des manières du personnage et inversent ce rapport. Des personnages de
la haute société agissent avec bassesse et inversement. On peut aussi appeler cette
caractéristique “carnavalesque”.

Tragédie / Tragique : genre théâtral et caractéristique d’une pièce de théâtre où les


passions sont exaltées afin d’inspirer au lecteur la morale, l’héroïsme, la compassion
ou la pitié.

Scène d’exposition : scène introductive de l’oeuvre théâtrale dans laquelle


apparaissent les clefs de compréhension de celle-ci (les personnages principaux,
l’espace, le temps, la ou les intrigues).

Intrigue : les événements qui constituent la plus grosse partie de la pièce -le
déroulement- et qui la font avancer grâce à plusieurs rebondissements.
Noeud : problème qui apparaît après la scène d’exposition.

Dénouement : résolution des noeuds de l’intrigue.

-connecteurs logiques:

-addition: ensuite, voire, quant à, ailleurs, encore, aussi, également, puis , mais encore, en outre, de surcroît,
non seulement, de plus, de même,de même que, sans compter que, ainsi que
-but: pour que, de crainte que, afin que, de peur que, en vue de, dans le but de, afin de, en vue de, pour
-comparaison: plus, moins, également, comme Locutions : de même, semblable à, pareil à, à la façon de, à
l’image de, conformément à, de même que, de la même manière que, tel
-condition: si, au cas où, en admettant que, à condition que, pourvu que, à moins que, pour peu que, à
supposer que, en supposant que, dans l’hypothèse où, en cas de, sans doute
-conclusion: ainsi, bref, finalement, en somme, pour conclure, en résumé, en un mot, en définitive, en
conclusion, en guise de conclusion, par conséquent
-explication: effectivement, comme,en effet, en raison de, grâce à, eu égard à, dans la mesure où,puisque,
étant donné que, comme, sous prétexte que, vu que, parce que, , attendu que, du fait que , c’est à dire
-opposition (pour introduire l’antithèse: 2e partie): cependant, pourtant, néanmoins, toutefois, certes,au
contraire, en revanche, malgré tout, en dépit de, au lieu de, quoique, même si, alors que, tandis que, bien
que, malgré

-types de comique:

-LE COMIQUE DE MOTS:


Il exploite les ressources du langage : répétitions, jeux de mots, calembours,
déformations (mal prononciations), recours au jargon, aux dialectes. Dans La Cantatrice
Chauve, Ionesco joue sur les répétitions de sons dans des phrases dépourvues de
sens: "Les cacaoyers des cacaoyères donnent pas des cacahuètes, donnent du cacao".

-LE COMIQUE DE GESTES


C'est l'ensemble des jeux de scènes qui provoquent le rire : coups, gifles, bastonnades,
chutes...
Dans Les Fourberies de Scapin de Molière, Scapin donne des coups de bâton à son
maître enfermé dans un sac : les coups qui pourraient être pathétiques deviennent
comiques car ils sont donnés par le valet à l’insu de son maître. Dans Rhinocéros de
Ionesco, Bérenger tend la main machinalement à Jean quand ce dernier lui reproche
d’avoir un costume poussiéreux dans l’attente de recevoir une brosse pour se
dépoussiérer puisqu’à chaque reproche Jean lui a donné l’habitude de lui fournir un
ustensile pour remettre de l’ordre dans ses apparences mais son attente est cette fois-ci
déçue.

-LE COMIQUE DE SITUATION


Rencontres fortuites, quiproquos(méprise qui fait prendre une personne, une chose
pour une autre.comme dans Les Bonnes par ex). Dans Le Jeu de l'amour et du
hasard, Marivaux fait jouer aux valets le rôle de leurs maîtres. Dans l'Ecole des Femmes
de Molière, il est amusant de voir Horace confier son amour pour Agnès à Arnolphe qui
a justement décidé de l'épouser en secret : ce dernier doit supporter d'entendre ces
confidences qui attisent sa jalousie pour essayer de déjouer les plans d'Horace.
-LE COMIQUE DE CARACTÈRE
Il est fondé sur la psychologie des personnages qui prêtent à rire (les avares, les jaloux,
les cocus...). Dans l'Avare, Molière caricature le bourgeois Harpagon en exagérant son
amour de l'argent. Met en scène des personnages, peint leur caractère, leurs
vices(défauts), leurs idées fixes. Pour faire rire, il faut comme dans une caricature, forcer
le trait dont on veut se moquer.

-LE COMIQUE DE MŒURS


Lorsque la pièce fait le tableau caricatural d'un milieu social, d'une catégorie
professionnelle en ridiculisant les habitudes et les comportements. Dans Le Malade
imaginaire, Molière dresse un portrait assez satirique des médecins de son temps. Il
souhaite, dans ses comédies montrer les vices de son temps pour les ridiculiser. Dans la
pièce moderne Art, Yasmina Reza fait la satire du snobisme des milieux bourgeois
intellectuels : l'un des personnages achète très cher un tableau entièrement peint en
blanc. Au-delà du personnage central, s'intéresse aux travers d'une société (le
libertinage, l'hypocrisie, le snobisme, etc.).

-comique de répétition (rentre dans le comique de mots)

L’introduction
Elle est composée d’un seul paragraphe mais de 4 étapes. Elle évolue d’une idée générale vers l’annonce
du plan

1. Une entrée en matière : il s’agit de mettre en avant mes connaissances littéraires (avant
d’aborder le texte à commenter). Je peux présenter dans cette partie :

- Le mouvement littéraire (présenter le réalisme par exemple si mon texte appartient à ce mouvement)
- Le contexte historique/politique/social… (Décrire le contexte dans lequel se passe l’action dans
l’extrait avant d’aborder l’extrait : parler de la Première Guerre mondiale dans un roman qui évoque la
Grande Guerre. Présenter la révolution industrielle avant d’aborder un texte qui évoque le travail des
enfants dans des usines ou dans les mines…)
- Le thème dominant de l’extrait mais en général en littérature ou en art (L’arrivisme en littérature en
général)
- L’œuvre dont est extrait le texte à commenter (Présenter le roman Bel-Ami avant de parler de l’extrait)
- Des éléments biographiques si ces éléments sont pertinents : Evoquer la noyade la fille de Victor
Hugo avant d’analyser un poème qui parle du deuil du poète. Parler de l’exil de Victor Hugo par
Napoléon III avant d’analyser un poème satirique dans lequel Hugo dénonce les abus de pouvoir de ce
dernier.
2. Présentation de l’extrait : titre(s), auteur, genre, mouvement, date de publication, thème… parties
(chapitres…). Résumé bref de l’extrait (2 phrases- sans analyse- je décris uniquement ce qui se passe
dans l’extrait).
3. Problématique : formuler une problématique (préciser l’intérêt de l’extrait et met en avant son
originalité)
4. Annonce du plan : présenter les axes de lecture choisis.
Développement
Axe 1 2 à 3 arguments 2 à 3 procédés étudiés par argument (procédé, relevé, interprétation)
Phrase de transition : une phrase qui relie les deux parties entre elles.
Axe 2 2 à 3 arguments 2 à 3 procédés étudiés par argument (procédé, relevé, interprétation)
Phrase de transition : une phrase qui relie les deux parties entre elles
Axe 3 2 à 3 arguments 2 à 3 procédés étudiés par argument (procédé, relevé, interprétation)
(Le troisième axe n’est pas obligatoire.)

La conclusion

Bilan de la reflexion (réponse à la


problématique) attention, en aucun cas, je ne
dois reprendre le plan tel qu’il a été annoncé
dans l’intro. La réflexion doit avancer.

Volet d’ouverture (ouvrir un autre


débat-dépasser le débat proposé par le sujet…)
Le moment de montrer la culture littéraire.
Comparer roman et theatre par rapport au réel
Comparer littérature et cinéma/réel

Axe choisi :

Formulation de l’axe De prime abord,


(rédigé)

Formulation du D’une part,


sous-axe 1 (argument
1)

Explication du En d’autres termes,


sous-axe 1

Procédé 1 (nommé, Ainsi,


relevé, interprété)

Procédé 2 (nommé, Plus encore,


relevé, interprété)

Formulation du D’autre part,


sous-axe 2 (argument
2)

Explication du
sous-axe 2

Procédé 1 (nommé, En effet,


relevé, interprété)

Procédé 2 (nommé, Dans le même ordre d’idées,


relevé, interprété)

Bilan de l’axe (phrase) En bref,


Procédés: figures de style, ponctuation, Le POV du narrateur/ focalisation, le ton du
texte, champs lexicaux, registres de langue, r
1) Figures de styles
2) Ponctuation:
-Le point d’exclamation - !: Peut exprimer : Surprise, Stupéfaction,
Étonnement, Colère, Exaspération, Joie, Peur, Indignation(Colère provoquée par
une action injuste), Doute.
-Le point d’interrogation - ?: Peut exprimer : Interrogation personnelle du
personnage, Question rhétorique = qui n’attend pas de réponse, Interpellation du
lecteur, Doute, Surprise, Indignation

-virgule,
Peut exprimer-
Le rythme de la phrase, Le rythme de l’action, Le débit de parole, Mise en relief de propos ou d’une idée,
Énumération, Rythme heurté = style coupé, Vivacité, Rapidité, Brutalité

4.Les deux points


Peuvent exprimer: Énumération, Développement explicatif

5.Les points de suspension


Peuvent exprimer:
Énumération incomplète, Pensée énoncée non formulée de
manière complète, Hésitation, Des propos ou citation repris qu’en partie

3) Le POV du narrateur/ Focalisation:


1. Point de vue omniscient ou focalisation zéro
Narrateur = personnage de l’histoire ou témoin de l’histoire Le narrateur sait tout et voit tout : Les
pensées des personnages , Le passé des personnages, L’avenir des personnages But : créer une
illusion réaliste forte.

2. Point de vue externe ou focalisation externe


Narrateur = observateur Le narrateur ne nous fournit que des informations sur le comportement
extérieur des personnages, mais il peut parfois faire des commentaires sur les personnages ou les
faits dont il parle. Utilisation de la 3e personne du singulier « il », « elle ».But : tenir le lecteur en
haleine.

3.
Point de vue interne ou Focalisation interne
Narrateur = personnage de l’histoire
Le narrateur raconte l’histoire à travers les yeux d’un personnage, ce que le personnage:
voit,-sait,entend,pense,sent.
Le narrateur connaît le passé et le présent du personnage.

4) Le ton du texte:
1. Le ton comique

Pour : amuser, faire rire. Procédés utilisés :

• fantaisie verbale = jeu avec les mots : utilisation de calembours, néologismes,


énumérations inattendues, etc.

• comique parodique = imitation moqueuse de quelqu’un ou de ce qui pourrait être


dit sérieusement sur un sujet : détournements de mots, exagérations, glissements
de sens

• absurde = propos déroutants par leur absence de logique et leur caractère


imprévisible : décalages entre une forme sérieuse et un contenu insensé

• humour = mise en évidence des aspects ridicules d’un personnage ou d’une


situation : petites touches successives qui révèlent petit à petit le ridicule, chute
finale qui dévoile le ridicule

• ironie = dénonciation au second degré de quelque chose d’inacceptable : utilisation


d’antiphrases

2. Le ton pathétique

Pour : attendrir, bouleverser. Procédés utilisés :

• porter à l’extrême l’expression des sentiments

• exaltation

• changements de rythme

Sujets traités : description des souffrances ou des luttes humaines dans des
situations difficiles

3. Le ton tragique
Pour : -provoquer de l’émoi = conviction intime qu’il n’y a plus d’issue, que le destin
s’acharne ; sentiment de désespoir Procédé utilisés :

- débit du discours assez égal mais toujours avec une certaine ampleur = agit par la
gravité

4. Le ton lyrique

Pour : créer une communauté d’âme = évoque de façon exaltée ou méditative, des
sentiments intimes communs à tous les hommes Procédés utilisés :

• emploi du « je »

• emploi du « on »

• emploi du « nous »

• musicalité de la langue

Le lyrisme est surtout présent en poésie

5: Le ton épique

Pour :donner aux êtres et aux événements une dimension qui les dépasse
Procédé utilisés:expression des grandes forces collectives et cosmiques
intervention du merveilleux

6: Le ton oratoire
Pour: entraîner l’adhésion du lecteur, persuader de la validité d’une thèse, d’une analyse
Procédé utilisés:
emploi de «je»
emploi de «nous»
emploi de «vous»
interrogations
apostrophes
questions oratoires
anaphores
impératifs
phrases longues et complexes

7: Le ton didactique
Pour:instruire-enseigner,Procédé utilisés:emploi des deux points, explications, exemples, citation, lexiques
spécialisés,emploi de «je», emploi de «tu»
8: Leton polémique
Pour:-critiquer
Procédé utilisés:
antithèses
parallélisme
Chiasme (Figure de rhétorique consistant à inverser deux groupes de mots (ex. « Blanc bonnet et
bonnet blanc »).

5) Champs lexicaux
6) registres de langue:
1. Registre de langue soutenu:
- mots rares, recherchés, littéraires

- structures de phrases complexes : nombreuses subordonnées

Objectif : • pour des événements banals = transfiguration du quotidien

2. Registre de langue courant


- mots habituels utilisés du plus grand nombre de personnes = pas de difficulté pour
les comprendre

- pas de relâchement

- pas d’effet particulier

Objectif : • informer le lecteur ,• donner l’illusion réaliste

3.Registre de langue familier


-mots utilisés dans les
conversations quotidiennes
-mots familiers, populaires
-mots vulgaires, argotiques
-expressions très imagées qui relèvent de la vie quotidienne
-imitation parfois de la langue parlée
-peu de concordance des temps et des modes
-syntaxe simplifiée: juxtaposition plutôt que subordination
Objectif:donner l’illusion réaliste
transmettre une vision du monde

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