Liste des familles subsistantes de la noblesse française (A à K)
Cette liste des familles de la noblesse française rassemble les familles subsistantes d'après les principaux ouvrages de généalogie et notamment l'ouvrage de Régis Valette (2002, 2007), complété par d'autres sources qui toutes sont présentées en bibliographie de bas de page.
Définition de la subsistance
[modifier | modifier le code]Par subsistante, en appui des ouvrages de la bibliographie, les auteurs entendent, toutes les familles comptant au moins un membre vivant (homme ou femme). Les familles éteintes en France, mais subsistantes à l'étranger ou devenues étrangères, sont incluses dans cette liste. A contrario, les familles françaises subsistantes qui tirent leur principe de noblesse d'un souverain étranger (noblesse étrangère), et qui n'ont pas été maintenues ou reconnues nobles en France (r.n.f.), n'y sont pas incluses.
Éligibilité
[modifier | modifier le code]Sous l'Ancien Régime, étaient nobles les individus respectant les critères suivants : être membre d'une famille qui descend en ligne masculine, naturelle, sans adoption, et légitime (dans le cadre du mariage), d’un auteur en possession de la noblesse française acquise et transmissible, par acte émanant du pouvoir souverain du territoire français[S 1]. Cette liste reprend ainsi les familles actuellement subsistantes qui descendent d’un membre respectant ces critères le .
De par les actes postérieurs à 1790 de différents gouvernements et souverains, s’ajoutent à cette liste les familles anoblies et/ou titrées au cours des différents régimes du XIXe siècle, ainsi que les familles de la noblesse des provinces réunies à la France après 1790 : le comtat Venaissin, le duché de Savoie et le comté de Nice.
Signalons toutefois que des auteurs[1] expriment des désaccords sur certaines preuves de noblesse, sur l'expression « noblesse d'Empire », sur la notion de noblesse au XIXe siècle et sur la notion de « noblesse inachevée ».
Cas particuliers
[modifier | modifier le code]Lorsqu'un titre a été attribué sans anoblissement, comme cela se faisait sous l'Empire comme sous la Restauration (contrairement à l'Ancien Régime où un titre ne pouvait être donné à un roturier, à noter que la Restauration a parfois accordé des titres joints d'un anoblissement[2]), il est mentionné : titre sans anoblissement.
Lorsqu'il existe des sources contradictoires, il est alors mentionné : noblesse non consensuelle.
Présentation des entrées
[modifier | modifier le code]Les familles sont répertoriées par ordre alphabétique du premier patronyme, avec dans la mesure du possible :
- l'origine de leur noblesse (noblesse d'extraction, anoblissement par lettres ou par charge, maintenue de noblesse avec anoblissement en tant que besoin, etc) avec la date des actes/décisions de justice ;
- en cas de noblesse d'extraction, c'est-à-dire de noblesse officiellement reconnue sans connaître l'acte initial d'anoblissement, la date de l'acte le plus ancien concernant le premier ancêtre connu des membres actuels de la famille ;
- le titre de noblesse français lorsqu'il est authentique, régulier, et subsistant, c'est-à-dire actuellement en possession de l'aîné des descendants directs en ligne masculine du premier titulaire dudit titre, ledit titre devant avoir été octroyé par lettres patentes par un souverain français ;
- le lieu d'origine (commune actuelle, nom de la ou des provinces) ;
- la mention éventuelle de l'adhésion à l'Association d'entraide de la noblesse française (ANF) et l'année d'entrée[3].
La liste des familles classées de L à Z figure dans la seconde partie de cet article.
Caractéristiques
[modifier | modifier le code]Nombre de familles et de personnes
[modifier | modifier le code]Le nombre de familles subsistantes de la noblesse française est généralement évalué à un peu plus de 3 000[4]. Pour les personnes les estimations varient de 50 000 ou de 100 000[d 1] à 140 000 individus, ce qui représente environ 0,1 à 0,2 % de la population française.
Pour Régis Valette, il restait 3 092 familles subsistantes de la noblesse française en 2007, dont 2 748 d'Ancien Régime et 344 du XIXe siècle[Note 1].
Le site de l'Association d'entraide de la noblesse française (ANF) donne la liste de quelque 2 425 familles admises en son sein depuis 1933 selon ses critères[7], dont :
- environ 2 225 familles subsistantes ;
- environ 180 familles éteintes après leur admission (de 1933 à aujourd'hui) ;
- environ 20 familles éteintes après 1900 et admises déjà éteintes (inscription à titre historique).
Mentions
[modifier | modifier le code]Certaines familles ont la mention : anoblie (confirmée) ou anoblie (maintenue), ce qui signifie que la famille a été connue comme étant roturière, mais qu'un jugement de confirmation ou de maintenue de noblesse leur a valu anoblissement par prescription. D'autres ont : anoblie (relief), ce qui signifie que des lettres patentes les ont relevées de la dérogeance.
Certaines familles sont dites « d'extraction » alors que leurs preuves de noblesse ne remontent pas jusqu'à l'an 1560 (date minimale de preuves pour la noblesse dite d'extraction, fixée lors des grandes recherches de noblesse en 1666, avec au moins 100 ans de noblesse à prouver).
Titres
[modifier | modifier le code]Ne sont indiqués dans cette liste que les titres dits « authentiques », c'est-à-dire les titres héréditaires fondés sur un acte officiel de création ou de reconnaissance d'un souverain français, et régulièrement transmis à partir du premier titulaire jusqu'à nos jours selon leurs règles particulières de dévolution. En 2007, Régis Valette recensait 182 titres subsistants d'Ancien Régime et 486 du XIXe siècle, soit au total 668 titres réguliers pour 3 092 familles nobles[d 1].
Présentation des entrées
[modifier | modifier le code]Les familles sont répertoriées par ordre alphabétique du premier patronyme, avec dans la mesure du possible :
- l'origine de leur noblesse (noblesse d'extraction, anoblissement par lettres ou par charge, maintenue de noblesse avec anoblissement en tant que besoin, etc) avec la date des actes/décisions de justice ;
- en cas de noblesse d'extraction, c'est-à-dire de noblesse officiellement reconnue sans connaître l'acte initial d'anoblissement, la date de l'acte le plus ancien concernant le premier ancêtre connu des membres actuels de la famille ;
- le titre de noblesse français lorsqu'il est authentique, régulier, et subsistant, c'est-à-dire actuellement en possession de l'aîné des descendants directs en ligne masculine du premier titulaire dudit titre, ledit titre devant avoir été octroyé par lettres patentes par un souverain français ;
- le lieu d'origine (commune actuelle, nom de la ou des provinces) ;
- la mention éventuelle de l'adhésion à l'Association d'entraide de la noblesse française (ANF) et l'année d'entrée[3].
Lorsqu'il existe des sources contradictoires, il est alors mentionné : noblesse non consensuelle.
Lorsqu'un titre a été attribué sans anoblissement, comme cela se faisait sous l'Empire comme sous la Restauration (contrairement à l'Ancien Régime où un titre ne pouvait être donné à un roturier, et même s'il est à noter que la Restauration a parfois accordé des titres joints d'un anoblissement[8]), il est mentionné : titre sans anoblissement
La liste des familles classées de L à Z figure dans la seconde partie de cet article.
Liste alphabétique des familles
[modifier | modifier le code]A
[modifier | modifier le code]- Abaquesné de Parfouru, anoblie en 1715[a 1],[9], conseiller-maître en la Cour des comptes de Rouen en 1764, Valognes en Normandie[Jougla 1], ANF (1939).
- Abbadie de Barrau (d'), olim de Barrau, puis de Barrau d'Abbadie de Sus, secrétaire du roi 1732-1747, Sus en Béarn[a 2].
- Abbadie d'Ithorrotz (d'), extraction 1504[10] ou anoblissement par charge de secrétaire du roi en 1747[11], Aroue-Ithorots-Olhaïby en Soule, Bizanos Béarn[a 3], ANF (1997).
- Abbatucci, extraction 1561, maintenue en 1773, Zicavo en Corse[a 4],[Jougla 2].
- Aboville (d'), anoblie ou maintenue en 1486 par la Cour des aides de Normandie (divergences d'auteurs), maintenue en 1666 à Caen, comte de l'Empire en 1808 (confirmé en 1815), Normandie (Cotentin)[a 5],[12], ANF (1938).
- Abrigeon (d'), extraction, maintenue en 1671, Chambonas en Vivarais[13].
- Absolut de La Gastine, anoblie en 1470 par décharge du droit de franc-fief, maintenue en 1667, baron en 1865 (sur réversion d'un titre de 1808), La Villeneuve-en-Chevrie (Yvelines), Haute-Normandie[d 2],[a 6], ANF (1939).
- Abzac (d'), extraction chevaleresque 1287, honneurs de la Cour 1781 et 1787[14], Montastruc en Périgord[a 7],[15], ANF (1946).
- Achard de Leluardière, - de La Vente, et - de Bonvouloir, extraction chevaleresque 1366[16], Passais-la-Conception en Normandie, Poitou, Bretagne[a 8],[LM 1], ANF (1967).
- Achard de la Haye, Normandie[a 9],[17].
- Achard Joumard Tison d'Argence (Tison d'Argence relevé par contrat de mariage en 1608) olim Jourmart des Achards[a 10],[Jougla 3], ancienne extraction 1441, Angoulême en Angoumois, Maine. (Famille éteinte dans les mâles avec Roland (1920-2017), reste une représentante féminine)[réf. nécessaire]
- Acher de Montgascon (d'), secrétaire du roi 1779, en charge le 23 juin 1790[18],[a 11]. Noblesse non consensuelle.
- Achon (d'), anoblie par charge d’échevin de Nantes (1588-1589) et (1607-1609) puis sous-maire de Nantes (1609-1610), maintenue par arrêt du Conseil le , Mésanger en Loire-Atlantique[a 12],[19], ANF (1978).
- Acres de L'Aigle (des), ancienne extraction 1491, marquis en 1653 (lettres patentes datées à Dijon, ), honneurs de la Cour, Basse-Normandie (L'Aigle)[a 13], ANF (1975). Famille éteinte en filiation masculine légitime[d 3]. Il existe une descendance du nom issue d’une filiation naturelle féminine.
- Adhémar (d') (olim d'Azémar de Saint-Maurice de Cazevielle)[Note 2], ancienne extraction 1477[20], maintenue en 1669, baron en 1810, Lunel en Languedoc[a 14],[a 15].
- Adhémar de Cransac (d') et - de Lantagnac, olim d'Azémar, extraction chevaleresque 1313[21], maintenue en 1668, honneurs de la Cour 1765 et 1772, Languedoc[a 16], ANF (1936).
- Adigard des Gautries, extraction, maintenue en 1599, Normandie[a 17], ANF (1950).
- Agard de Maupas, maire de Bourges (1672), marquis de Maupas (1725), Bourges en Berry, alias d'Agard de Morogues[a 18],[Jougla 4].
- Agier de Rufosse (d'), anoblie en 1652, Caen en Normandie[a 19], ANF (1983).
- Aigneaux (d'), extraction chevaleresque 1394, maintenue en 1523, 1555, 1599, 1666, Normandie[a 20], ANF (1943).
- Aigremont (d'), extraction 1529, Normandie[a 21], ANF (1976).
- Ailhaud de Brisis et de Castellet (d'), secrétaire du roi 1745-1756, Aix-en-Provence en Provence[a 22].
- Aillaud de Caseneuve (d') (alias Ailhaud de Cazeneuve), secrétaire du roi 1731-1740[d 4], Méouilles en Provence[a 23], ANF (1991).
- Ainval (d'), agrégation à la noblesse 1550, maintenue en 1717, Picardie (Ponthieu)[a 24],[Jougla 5]. (famille éteinte dans les mâles avec Henry (1919-2007)
- Alayer de Costemore (d'), décharge de franc-fief le 17 novembre 1756 par la Chambre souveraine des francs-fiefs d’Aix (AR), Digne-les-Bains en Provence (Chaix d'Est-Ange ne mentionne ni principe de noblesse ni maintenue pour cette famille)[a 25], ANF (1954).
- Albaret (d'), capitoul de Toulouse 1770, Languedoc[a 26], ANF (1955).
- Albenas (d'), extraction 1510, Languedoc[réf. nécessaire], ANF (1989).
- Albert de Luynes (d') (olim Alberti) ancienne extraction 1415, duc de Luynes 1619, duc de Chevreuse 1668, honneurs de la Cour 1777, Pont-Saint-Esprit dans le Gard, Ile-de-France[réf. nécessaire], ANF (1948).
- Albertas (d'), filiation roturière XIVe siècle, agrégation à la noblesse XVe siècle puis maintenue de noblesse en 1668 et 1669, marquis 1705, Pair héréditaire avec pairie sous le titre de Comte 1815-1831[réf. nécessaire], ANF (1949).
- Albignac (d'), extraction chevaleresque 1339, maintenue en 1669, honneurs de la Cour en 1774, Rouergue[a 27], ANF (1944).
- Albis de Razengues (d'), secrétaire du roi 1647, Toulouse[a 28], ANF (1978).
- Albon (d'), ancienne extraction 1288, honneurs de la Cour 1772 et 1786, marquis en 1828, Lyonnais[a 29], ANF (1933). (Famille éteinte en ligne masculine).
- Aldéguier (d'), capitoul de Toulouse 1603, maintenue en 1669, Toulouse[a 30],[Jougla 6].
- Alefsen de Boisredon, charge inachevée au XVIIIe siècle, baron 1822, Danemark, Bordelais[a 31], ANF (1970).
- Aleman (d'), admission aux États de Béarn 1769, Béarn[a 32], ANF (1980).
- Alès (d') et Alès de Corbet (d'), ancienne extraction 1445, Blésois[a 33], ANF (1968).
- Alexandre de Haldat du Lys, anoblie en 1766 (par reprise de noblesse maternelle), Gondrecourt-le-Château en Lorraine[a 34], ANF (1948).
- Alexandry d'Orengiani (d'), extraction 1500, Savoie[Foras 1],[a 35], ANF (1992).
- Allard (d'), extraction 1517, Vivarais[a 36], ANF (1967).
- Allard de Grandmaison, maire d'Angers 1771, Château-du-Loir en Anjou[a 37], ANF (1940).
- Allemagne (d') olim Dallemagne, Empire, baron en 1813, Bugey[a 38]. Titre sans anoblissement.
- Alnoncourt (d'), olim Georges, parlement de Metz 1758-1780, Lorraine[réf. nécessaire], ANF (1981).
- Alton (d'), Empire, baron en 1809, comte en 1814 (Restauration)[a 39],[Jougla 7]. Titre sans anoblissement.
- Alverny (d'), extraction 1549, Languedoc[a 40].
- Alziari de Malaussène, comte en 1723 par le roi de Sardaigne, comté de Nice[a 41],[22], ANF (1981). Noblesse contestée.
- Amade (d'), Restauration, anoblie en 1816[a 42], ANF (1998).
- Amaudric du Chaffaut, secrétaire du roi 1734-1754, Digne-les-Bains en Provence[a 43], ANF (1970).
- Amboise (d'), avocat général au Grand Conseil 1586, anobli par lettres patentes de chevalerie 1589[d 5],, maintenue noble en 1668, Artois (Douai)[a 44],[23],[24], ANF (1972).
- Amédor de Mollans (d'), extraction 1555, comte de Mollans 1713, Mollans en Franche-Comté[a 45], ANF (1967).
- Ameil, Empire, baron en 1810[25], Cusset en Bourbonnais[a 46], ANF (1955). Titre sans anoblissement.
- Ameline de Cadeville, anoblie en 1698, maintenue en 1717, Bretagne[a 47],[19],[LM 2].
- Amonville (d'), anoblie définitivement par charges au XVIIIe siècle, Vernon en Normandie[a 48], ANF (1938).
- Amphernet de Pontbellanger (d'), extraction chevaleresque 1371, maintenue en 1464, 1666 (br. ainée éteinte), 1786 (br. cadette), honneurs de la Cour 1784 et 1789, Normandie, Bretagne[a 49],[26],[LM 3], ANF (1948).
- Amyot d'Inville, anoblie par charge 1634 et 1653, Normandie[a 50], ANF (1995).
- Ancelin de Saint-Quentin, échevin de Saint-Jean-d'Angély 1586, Saintonge[a 51].
- Andigné (d'), extraction chevaleresque 1340, baron en 1817, honneurs de la Cour 1771 et 1787, Anjou[a 52],[27], ANF (1934).
- Andlau (d') et - Hombourg, extraction chevaleresque 1274, comte en 1750, honneurs de la Cour 1738, 1764, 1773, et 1787, Alsace[a 53], ANF (1935).
- André (d'), anoblie par charge 1637, Annot en Provence[a 54], ANF (1990).
- André de La Fresnaye, anoblie en 1725[28], baron en 1811[29], Falaise en Normandie[a 55], ANF (2007)[Note 3].
- Andurain (d') et - de Maÿtie, olim Guirail, anoblie par charge en 1731, admis aux États de Soule en 1691[30], Soule (Navarre) et Béarn[a 56], ANF (1976).
- Angély (d'), ancienne extraction 1461, maintenue en 1667, Poitou, Angoumois[a 57] (semble subsistante en ligne masculine : Jean (1900-1969) d’où Philippe (1926-2006) d’où Isabelle, Florence et Alexandre)[réf. nécessaire]
- Angenoust, conseiller au Parlement de Paris 1461, maintenues 1671 et 1697, preuves écoles militaires 1782, Champagne (Troyes)[a 58] (subsistante en ligne féminine)[réf. nécessaire]
- Angerville d'Auvrecher (d'), extraction chevaleresque 1396, maintenue en 1666, marquis en 1864, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1958).
- Anglade (d')[a 59], maintenue de noblesse 1666 puis 1698 pour la branche cadette qui est la seule subsistante et authentique écrit Chaix d'Est-Ange qui précise également qu'elle fut d'abord condamnée en 1666, Guyenne. ANF 29/05/1948.
- Angleys, anoblie par lettres, baron en 1842, Savoie[Foras 2],[a 60], ANF (1990).
- Anselme (d'), ancienne extraction 1434 (non consensuel, filiation certaine XVIe siècle en Avignon), Joucas en Provence, Comtat-Venaissin[a 61], ANF (1939).
- Anterroches (d'), ancienne extraction 1478, maintenue en 1666, Auvergne[31], ANF (1954).
- Anthenaise (d'), extraction chevaleresque 1391, maintenue en 1666[32], comte en 1828, La Chapelle-Anthenaise dans le Maine ANF (1946).
- Anthouard de Vraincourt (d'), - de Wasservas, - d'Abria, secrétaire du roi 1627-1650, comte en 1809 (pour la branche de Wasservas), Autun en Bourgogne[a 62], ANF (1959).
- Antin Tournier de Vaillac (d'), extraction médiévale 1393, honneurs de la Cour en 1787[33], Antin en Bigorre[a 63], ANF (1938).
- Antras (d'), extraction 1510[Note 4], maintenue en 1664, Marciac en Armagnac, ANF (1934).
- Aquin (d') et Daquin (olim Cresque), anoblie en 1669, Comtat-Venaissin (Carpentras), Ile-de-France[a 64], ANF (1949).
- Aram de Valada (d'), capitoul de Toulouse 1706, Toulouse[a 65], ANF (1971).
- Araquy (d'), extraction 1506, Auvergne[a 66] (rattachement à prouver).
- Arbois de Jubainville (d'), anoblie en 1584 par le cardinal de Lorraine, prince-évêque de Metz, Metz, Lorraine[a 67].
- Arces (d'), extraction chevaleresque 1322, honneurs de la Cour 1772, Dauphiné[34],[a 68], ANF (1945).
- Archambault de Montfort, maire de Bourges 1751-1755, Berry[a 69],[d 6].
- Arche de Pessan (d'), Parlement de Bordeaux 1626, Limousin, Guyenne[a 70], ANF (1991)[Note 5].
- Arcy (d'), extraction chevaleresque 1300, honneurs de la Cour 1777, Irlande, Auvergne[a 71], ANF (1992).
- Arenberg (d'), extraction chevaleresque 1142, issue de la maison de Ligne, duc français en 1824, Hainaut[a 72], ANF (1950).
- Arexy (d'), capitoul de Toulouse 1781, Comté de Foix[a 73],[a 74], ANF (1982).
- Argent de Deux-Fontaines (d'), ancienne extraction 1496, maintenues en 1641 et 1775[35], baron en 1826, Hainaut[a 75],[Jougla 8], ANF (1954).
- Argouges (d'), extraction chevaleresque 1223, maintenue en 1666, honneurs de la Cour 1761 et 1768, Normandie[a 76],[36].
- Argy (d'), extraction 1560, Champagne[a 77], ANF (2006).
- Arjuzon (d'), secrétaire du roi 1761, comte de l'Empire 1809, confirmé 1815, Gascogne, Picardie[a 78], ANF (1991).
- Arlot de Cumond (d') et - de Saint-Saud, ancienne extraction 1480, Périgord[a 79], ANF (1933).
- Armagnac de Castanet (d'), extraction chevaleresque 1399, Castanet en Languedoc, Rouergue[a 80],[37], ANF (1964).
- Armand de Châteauvieux (d'), extraction 1525, Dauphiné[38],[a 81], ANF (2021).
- Armau de Bernède (d'), extraction 1554, Armagnac[a 82], ANF (1959).
- Arminjon, Sénat de Savoie (1835, 1842 ?), Savoie[d 7], ANF (1983). Noblesse non consensuelle en France.
- Armynot du Chatelet, ancienne extraction 1495, Bourgogne[a 83], ANF (1948).
- Arnal de Serres (d'), Chambre des comptes de Montpellier 1720, Languedoc[a 84], ANF (1948).
- Arnaud de Vitrolles (d'), anoblie par charge en 1685, baron de l'Empire 1812, Dauphiné[39],[a 85], ANF (1936).
- Arnoulx de Pirey, Pirey, Parlement de Besançon 1742-1778, Franche-Comté[a 86], ANF (1964).
- Arnous-Rivière, secrétaire du roi 1774, en charge le 23 juin 1790, baron en 1828, Bretagne[18],[a 86],[40],[LM 4], ANF (1954). (Famille éteinte en ligne masculine).
- Arnoux de Maison-Rouge, anoblie par charge en 1673, baron en 1817, Auvergne[a 87], ANF (1951).
- Aronio de Romblay, deux trésoriers à Lille, 1693-1721 et 1721-1758, Flandre[a 88], ANF (1971).
- Arrighi de Casanova, extraction, maintenue de noblesse en 1783 [41], duc de Padoue en 1808[42] (éteint en 1888), baron de l’Empire en 1808[43] (éteint en 1809), Corse.
- Artaud de La Ferrière, échevin de Lyon 1677, Lyon[réf. nécessaire], ANF (1951).
- Arthuys (d'), anoblie en 1689, baron en 1811, Berry[LM 5], ANF (1949).
- Artigue de Laborde d'Arbrun (d'), anoblie en 1721, Gascogne[réf. nécessaire], ANF (1968).
- Artur de La Villarmois, anoblie en 1647, Normandie[LM 6], ANF (1940).
- Arundel d'Esquincourt de Condé (d'), anoblie en 1608, nouvelles lettres en 1671 confirmant l'anoblissement[a 89], Normandie, ANF (1965).
- Asselin de Villequier, anoblie en 1643, Normandie[a 90], ANF (2006).
- Asselin de Williencourt, Empire, chevalier en 1809, confirmé en 1863 par Napoléon III, Artois[a 91]. Titre sans anoblissement.
- Assier de Pompignan (olim Assier), anoblie en 1768 (Jean Assier, doyen du conseil supérieur de la Martinique), Languedoc, Martinique[a 92], ANF (1987).
- Astier de la Vigerie (d'), Monarchie de Juillet, comte en 1842, Vivarais[a 93]. Titre sans anoblissement.
- Astorg (d'), capitoul de Toulouse 1392, honneurs de la Cour 1783 et 1786, Toulouse[a 94], ANF (1993).
- Aubarède (d'), échevin de Lyon 1677, Lyon[a 95], ANF (1968).
- Aubé de Bracquemont, extraction 1548, Picardie, Damery en Champagne[a 96], ANF (2001)[Note 6].
- Auber de Peyrelongue (d'), preuves de noblesse 1565, marquis en 1785, Marmande en Agenais[a 97], ANF (1968). Noblesse non consensuelle.
- Aubert (d'), extraction 1573, Maine, Bretagne[a 98],[LM 7], ANF (1954).
- Aubert du Petit-Thouars, anoblie en 1714, Touraine[a 99], ANF (1970).
- Aubert de Trégomain, anoblie par charge 1690, Bretagne[a 100],[LM 8], ANF (1959).
- Aubert de Vincelles, secrétaire du roi 1659-1676, Normandie, Bretagne, Bourgogne[a 101],[LM 9], ANF (1968).
- Aubin de La Messuzière, deux trésoriers à Alençon, 1748-1769, Maine[a 102].
- Aubourg de Boury, secrétaire du roi 1653-1673, marquis en 1686, Vexin, Normandie[a 103], ANF (1944).
- Aubriot de La Palme, comte en 1839, Savoie[a 104],[44]. Noblesse non consensuelle en France.
- Audibert de Lussan (d'), ancienne extraction 1401, Languedoc[réf. nécessaire][45]. (Famille éteinte en ligne masculine)
- Audiffret (d') ancienne extraction 1390[d 8],[46],[Jougla 9], chevalier de l'ordre du Croissant en 1463[46],[Jougla 9], duc d'Audiffret-Pasquier en 1863[d 8],[46],, Provence, ANF (1952).
- Audren de Kerdrel, ancienne extraction 1467, maintenue noble à Lannilis en 1481 et à Rennes en 1669, Bretagne (Finistère)[a 105],[47], ANF (1965).
- Augé de Fleury, anoblie en 1830, Ile-de-France[a 106],[LM 10].
- Augerot (d'), Parlement de Navarre, reçu aux États de Béarn pour la seigneurie de Saint-Martin, à Cosledaa (Cosledaa-Lube-Boast), Gan en Béarn[a 107],[Note 7]
- Augier de Lagallet, secrétaire du roi 1781, en charge le 23 juin 1790, Saintonge[18]. Noblesse non consensuelle.
- Augier de Montgrémier, secrétaire du roi 1786, en charge le 23 juin 1790, Marche[18]. Noblesse non consensuelle.
- Augier de Moussac et - de Crémiers, secrétaire du roi 1747-1772, Poitou (Montmorillon)[a 108], ANF (1936).
- Augustin de Bourguisson (d'), extraction 1624, Berry, Touraine, Bretagne[LM 11], ANF (1938).
- Aumale (d'), extraction chevaleresque 1339, honneurs de la Cour, Picardie[réf. nécessaire], ANF (1995).
- Aure (d') (de Viella), maintenue en 1699 et 1715, Nébouzan[a 109].
- Aurelle de Montmorin Saint-Hérem (d'), anoblie en 1612, Auvergne[a 110], ANF (1946).
- Aurelle de Paladines (d'), extraction chevaleresque 1360, maintenue en 1669 et 1788, Auvergne[a 110], ANF (2012).
- Aubourg de Boury, secrétaire du roi 1653, 1673, 1686, Normandie[a 111], ANF (1994).
- Aussaguel de Lasbordes (d') , Parlement de Toulouse 1775, Languedoc[a 112].
- Autard de Bragard, anoblie en 1607, Dauphiné[48],[a 113]. (rattachement à prouver).
- Authier (du), extraction chevaleresque 1334, honneurs de la Cour, Limousin[a 114], ANF (1948).
- Authier de Sisgau (d'), décharge du droit de franc-fief en 1657, maintenue en 1707[49], Provence (Barcelonnette)[a 115][réf. à confirmer]. (Rattachement à prouver).
- Autier de La Rochebriant (d'), extraction chevaleresque 1388, maintenue 1638, honneurs de la Cour, Auvergne[a 116], ANF (1948).
- Autun (d'), ancienne extraction 1410, maintenue en 1669 par Claude Bazin de Bezons, Portes (Gard) en Languedoc[a 116].
- Auvray, Empire, baron en 1810, Perche puis Aunis et Touraine[a 117], ANF (1949). Titre sans anoblissement.
- Aux de Lescout (d'), extraction chevaleresque 1312, marquis d'Aux-Lally 1815 (sur réversion), honneurs de la Cour, Poitou[a 118].
- Auzac de Lamartinie (d'), confirmation de noblesse en tant que besoin en 1734 puis maintenue en 1777, Quercy, Agenais[a 119].
- Avène de Roberval (d') (alias Davène), secrétaire du roi 1708-1715, Paris[a 120],[d 9].
- Aviau de Ternay (d'), ancienne extraction 1490, Poitou[a 121],[LM 12], ANF (1948).
- Avout (d') et Davout d'Auerstaedt, extraction 1547, duc en 1864 (sur réversion), Bourgogne[a 122], ANF (1935-1954).
- Ax de Cessales (d'), voir infra à Dax d'Axat (de) (même famille).
- Aymé de La Chevrelière, Empire, baron en 1811, Melle en Poitou[a 123], ANF (1992). Titre sans anoblissement.
- Aymer de la Chevalerie, extraction chevaleresque 1397, Poitou[a 124], ANF (1943).
- Aymery (d'), extraction 1518, Ile-de-France (Viroflay)[a 125],[d 9].
- Ayrault de Saint-Hénis, maire d'Angers 1541, Anjou[a 126],[d 9].
- Azémar de Fabrègues (d'), ancienne extraction, Saint-Martin-de-Londres en Languedoc[Note 8],[Note 9], ANF (1986).
B
[modifier | modifier le code]- Baconnière de Salverte, secrétaire du roi 1759-1766, Landéan en Bretagne[a 127],[50], ANF (1948).
- Badereau de Saint-Martin (de), chambre des comptes de Bretagne à Nantes 1724-1741 et 1730-1751, Montaigu, Soullans dans la province de Poitou, Bretagne[a 128],[50], ANF (1992).
- Bagard (de), ancienne extraction 1440, Dauphiné[51], Savoie[Foras 3],[a 129], ANF (1934).
- Baglion de la Dufferie (de), ancienne extraction 1499, Maine[a 130], ANF (1948).
- Baguenault de Puchesse et - de Viéville, secrétaire du roi 1750-1762, Saint-Pryvé-Saint-Mesmin en Orléanais[a 131], ANF (1956).
- Bahezre de Lanlay, ancienne extraction 1435, maintenue en 1669, Bretagne (Trégor)[a 132],[52], ANF (1963).
- Baillou (de), ancienne extraction 1418, Touraine[d 10].
- Balalud de Saint-Jean, bourgeois honoré de Perpignan 1707, Roussillon[a 133], ANF (1990).
- Balathier-Lantage (de), extraction 1527, Dauphiné[53],[a 134], ANF (1938).
- Balby de Vernon (de), olim Cabalbi, extraction 1547, maintenue en 1668, Languedoc[a 135],[LM 13], ANF (1966).
- Bancalis de Maurel d'Aragon (de), noblesse XVIIe siècle, baron en 1819, Rouergue[a 136], ANF (1938).
- Banville (de), extraction chevaleresque 1385, Normandie[d 10].
- Bar (de), ANF (2021).
- Bar de La Garde (de), ancienne extraction 1416, maintenue en 1667, Auvergne[réf. nécessaire], ANF (1938).
- Barbara de Labelotterie de Boisséson, capitoul de Toulouse 1703, Tarn[a 137], ANF (1952).
- Barbarin (de), ancienne extraction 1487, maintenue en 1715, Poitou[a 138], ANF (1989).
- Barbat du Closel, secrétaire du roi 1734, Auvergne[a 139], ANF (1957).
- Barbeyrac de Saint-Maurice (de), trésorier à Montpellier 1716, marquis de Saint-Maurice 1753 (Montcalm par adoption de 1889), Languedoc[a 140], ANF (1934).
- Barbier d'Aucourt, Restauration, anoblie en 1819, Ile-de-France (famille éteinte en ligne masculine)[a 141].
- Barbier du Doré (charge inachevée au XVIIIe siècle), Restauration, anoblie en 1819, Nantes[a 142],[LM 14], ANF (1996).
- Barbier Lalobe de Felcourt, (olim Barbier de Lalobe de Felcourt), président trésorier général de France en Champagne 1741-1765 et 1765-1790, maintenue en 1816 et 1829, Champagne[a 143], ANF (1948).
- Barbier de La Serre, Cour des aides de Bordeaux 1630-1664 et 1664-1697, Agenais[a 144], ANF (1948).
- Barbier de Préville, secrétaire du roi 1738, Ile-de-France[a 145],[54],[Jougla 10], ANF (1971).
- Barbot (de), capitoul de Toulouse 1763, Languedoc[a 146],[d 11].
- Barbuat du Plessis de Maisonrouge (de), anoblie en 1660, Champagne[a 147], ANF (1959).
- Bardon de Segonzac, ancienne extraction 1450, baron de Ségonzac 1623, Périgord, Auvergne[a 148], ANF (1937).
- Baret de Limé (du), secrétaire du roi 1707-1724, Picardie[a 149],[a 150], ANF (1966).
- Baritault du Carpia (de), secrétaire du roi 1641-1661, Guyenne (Bordeaux)[a 151], ANF (1961).
- Barjac de Raucoules (de), extraction 1513, Vivarais[a 152].
- Baron de Montbel, anoblie par charge 1730, Languedoc[a 153], ANF (1934).
- Baroncelli-Javon (de), ancienne extraction 1465, Florence, puis Comtat Venaissin[a 154], ANF (1939).
- Barou de La Lombardière de Canson, secrétaire du roi 1760-1763, Vivarais (Annonay)[a 155].
- Barral (de), anoblie en 1643, marquis d'Arvillard (1746), cadet comte de l'Empire en 1810, Dauphiné[55],[a 156].
- Barrau (de), maintenue en 1699[56], Rouergue, ANF (1992).
- Barrau de Muratel (de), extraction 1539, Rouergue, Languedoc[d 11].
- Barraud de Lagerie, anoblie en 1663, Angoumois[d 11], ANF (1994).
- Barrigue de Fontainieu et – de Montvallon (de)[a 157], secrétaires du roi 1702 (Fontainieu) et 1702 (Montvallon), Provence (Marseille, Aix-en-Provence)[57], ANF (2001).
- Barrin (de), Parlement du Dauphiné 1685, Dauphiné[58],[a 158],[d 11], ANF (2018).
- Barruel (de) et - de Saint-Pons, secrétaire du roi 1762-1784, Vivarais[a 159], ANF (1984).
- Barry (de), extraction 1556, Gascogne[a 160], ANF (1977).
- Barthélémy de Saizieu, anoblie en 1771. Lettres patentes, baron en 1811, Aubagne en Provence[a 161], ANF (1992).
- Barthelot de Bellefonds, extraction 1591 ou anoblie, maintenue en 1678, Bourgogne[réf. nécessaire], ANF (1944).
- Barthès de Montfort (de) et Barthès de Marmorières (de), anoblie par lettres patentes en 1781, baron en 1811 pour la branche de Montfort, Languedoc[a 162], ANF (1951).
- Barthomivat de La Besse et - de Neufville, anoblie en 1752, Auvergne, Limousin[a 163],[d 12].
- Barton de Montbas, ancienne extraction 1489, Marche (Guéret)[a 164],[d 12].
- Basquiat de Mugriet (de) et - de Toulouzette, conseiller au Parlement de Bordeaux 1762 (père 23 ans + fils 5 ans : noblesse inachevée ?) pour la branche de Mugriet, secrétaire du roi (XVIIe siècle ou XVIIIe siècle) pour la branche de Toulouzette, Gascogne[a 165], ANF (1975).
- Bassecourt (de), anoblie en 1581, Artois[a 166],[59],[60].
- Bastard (de), trésorier à Toulouse 1690, baron en 1812, Toulouse, Gascogne[a 167], ANF (1948).
- Bastier de Bez de Villars (charge inachevée au XVIIIe siècle), Restauration, baron en 1825, Gard (Le Vigan)[a 168],[d 12].
- Battisti (de), extraction, maintenue en 1788, Corse[61] (non corroboré par G. Chaix d'Est-Ange)[a 169].
- Batz de Trenquelléon (de), ancienne extraction 1490, maintenue en 1667 et 1708, Gascogne[a 170], ANF (1967).
- Baucheron de Boissoudy, secrétaire du roi 1752-1757, Berry (Issoudun)[a 171],[d 12], ANF (1996).
- Baudard de Fontaine, secrétaire du roi 1713-1716, Montbazon en Touraine[a 172], ANF (2007)[Note 10].
- Baude, Empire, baron en 1810[62], Valence, Dauphiné (famille éteinte en ligne masculine)[a 173]. Titre sans anoblissement.
- Baudelet de Livois, Restauration, baron avec majorat en 1829 (charge inachevée au XVIIIe siècle), Artois[a 174],[63], ANF (1965).
- Baudenet d'Annoux, secrétaire du roi 1742-1762, Avallon en Bourgogne[a 175], ANF (1957).
- Baudinet de Courcelles (de), anoblie en 1702, Lorraine[a 176].
- Baudon de Mony et - de Mony-Colchen, secrétaire du roi 1741-1762. Baron en 1843 et comte Colchen en 1870 pour une branche éteinte, Paris[a 177], ANF (1954).
- Baudouin (de), extraction 1544, Normandie[réf. nécessaire][a 178], ANF (1959).
- Baudreuil (de), extraction 1529, maintenue en 1701, Nivernais, Normandie, Picardie[a 179],[64],[Note 11], ANF (1947).
- Baudry d'Asson (de), extraction 1535, Poitou[a 180], ANF (1951).
- Baudus de Fransures (de), capitoul de Toulouse 1742, Quercy[a 181], ANF (1978).
- Bauffremont (de), extraction chevaleresque 1202, prince du Saint-Empire en 1757, comte en 1810, duc en 1818, Lorraine, Franche-Comté, Bourgogne[a 182], ANF (1938).
- Baulny (de), anoblie en 1778, baron en 1810, Champagne[a 183], ANF (1951).
- Bausset-Roquefort (de), agrégé à la noblesse par l’acquisition du fief de Roquefort en 1569, maintenue en 1668 à Marseille[Note 12],[49], marquis en 1736, Marseille, Aubagne[a 184], ANF (1972).
- Bay (du), maintenue en 1740 par la Cour des aides de Montpellier, baron en 1816, Vivarais[a 185].
- Bayard de La Vingtrie, anoblie en 1786, Perche[a 186].
- Baynast de Septfontaines (de), ancienne extraction 1478, maintenue en 1661[65], Baynast près de Béhen, Vimeu et Artois[a 187], ANF (1991).
- Bazelaire de Lesseux (de), - de Ruppierre, - de Saulcy, et - de Boucheporn, anoblie en 1705[d 13],[66], Lorraine (Saint-Dié-des-Vosges)[a 188], ANF (1950).
- Beauchef de Servigny (de), anoblie en 1769, Bretagne, Normandie[a 189],[LM 15], ANF (1976).
- Beaucorps (de) et de Beaucorps-Créquy, ancienne extraction 1454, maintenue en 1667 en Saintonge, une branche relève Créquy en 1815[d 13], Beauce, Saintonge[a 190],[LM 16], ANF (1939).
- Beaud de Brive, Restauration, anoblie en 1816, Velay (Le Puy)[a 191], ANF (1988).
- Beaudéan (de), ancienne extraction 1414, honneurs de la Cour, Béarn[a 192], ANF (1975).
- Beaudiez (du), ancienne extraction 1449, Bretagne (Finistère)[LM 16],[67].
- Beaudrap (de), anoblie en 1596, Normandie (Coutances)[LM 17], ANF (1938).
- Beauffort (de), extraction chevaleresque 1198, Artois, Belgique[a 193].
- Beauharnais (de) devenu Leuchtenberg (de) pour la branche subsistante, extraction 1583, marquis de La Ferté-Beauharnais en 1764, prince français en 1804, Orléans, Bavière, Russie[68].
- Beaulaincourt de Marles (de), ancienne extraction 1482, vicomte de Marles en 1696, Artois[réf. nécessaire], ANF (1940).
- Beaumont d'Autichamp (de), - du Repaire, - de Verneuil, - d'Auty, et - de Beynac, extraction chevaleresque 1322, honneurs de la Cour, comte en 1817, Dauphiné[69], Périgord, ANF (1936).
- Beaunay (de), extraction chevaleresque 1393, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1957).
- Beaupoil de Saint-Aulaire (de), anoblie en 1599 (branche naturelle de La Luminade), maintenue en 1669, honneurs de la Cour, Limousin, Périgord[a 194],[d 14], ANF (1936).
- Beaurepaire (de), extraction chevaleresque 1352, pairie héréditaire instituée sous le titre de baron 1828-1831, Beaurepaire-en-Bresse en Bourgogne[a 195], ANF (1935).
- Beaurepaire de Louvagny (de) (olim Gaultier), anoblie en 1453 ou 1473 et 1553, Normandie (Bernay)[a 196], ANF (1964).
- Beausacq (de), Restauration, anoblie en 1819, Picardie (Amiens)[a 197], ANF (2021).
- Beaussier (de), chef d'escadre au XVIIIe siècle (édit militaire de 1750), Provence (Toulon) (filiation jusqu'à ce jour à confirmer)[réf. nécessaire].
- Beauvarlet de Moismont, anoblie en 1717, Picardie[a 198].
- Beauvau-Craon (de), extraction chevaleresque 1263, marquis de Beauvau 1664 (éteint), marquis de Craon 1712 (éteint), baron de l'Empire 1810 (éteint), prince du Saint-Empire 1722 (éteint), Lorraine[a 199], famille éteinte en ligne masculine[Note 13], ANF (1936).
- Becdelièvre (de), anoblie en 1442, maintenue en 1669, honneurs de la Cour, Bretagne, Normandie[a 200],[70],[LM 18], ANF (1955).
- Béchade (de), Restauration, anoblie en 1825, Bordeaux[a 201], ANF (1967).
- Bechet de Balan, secrétaire du roi 1782, en charge le 23 juin 1790, Champagne[18] Noblesse non consensuelle.
- Béchillon (de), ancienne extraction, maintenue en 1667, Aunis, Poitou[a 202], ANF (1951).
- Bedeau de L'Ecochère, échevin de Nantes en 1613, maintenue en 1669, Nantes[a 203],[71],[LM 19], ANF (1947).
- Bégon de Larouzière (de) ancienne extraction 1460, Rouergue, Auvergne[a 204], ANF (1964).
- Begoüen, Second Empire, comte en 1861, Le Havre et Bordeaux[a 205], ANF (1968). Titre sans anoblissement.
- Behaghel, Restauration, anoblie en 1822, Flandres (anoblissement seulement pour deux rameaux appartenant à la branche ainée)[a 206].
- Béjarry (de), ancienne extraction 1480, maintenue en 1715, Poitou[a 207],[LM 20], ANF (1980).
- Belenet (de), secrétaire du roi 1740-1759, Franche-Comté[a 208], ANF (1951).
- Belhomme de Franqueville, secrétaire du roi 1743-1754, confirmation de noblesse sous la Restauration, Normandie[18],[a 209], ANF (1969).
- Belin de Chantemele, Restauration, anoblie en 1824, Maine[a 210], ANF (1988).
- Bellanger de Rebourseaux (de), ancienne extraction 1482, Bourgogne[a 211], ANF (1939).
- Bellet de Tavernost et - de Saint-Trivier, parlement de Dombes 1690-1730, vicomte en 1825, Lyonnais[a 212], ANF (1985).
- Belleville (de), extraction 1503, Normandie[a 213], ANF (1992).
- Bellissen-Durban (de), anoblie en 1490, Languedoc[a 214], ANF (1986).
- Bellivier de Prin, ancienne extraction 1484, Poitou[a 215], ANF (1992).
- Belloc de Chamborant (de), capitoul de Toulouse 1647, Toulouse[a 216], ANF (1983).
- Bellomayre (de), Restauration, anoblie en 1829, Languedoc[a 217].
- Belloy de Saint-Liénard (de), extraction chevaleresque 1377, honneurs de la Cour, Picardie[réf. nécessaire], ANF (1937).
- Belsunce (de), extraction chevaleresque 1378, honneurs de la Cour, Béarn[réf. nécessaire], ANF (1946).
- Bengy de Puyvallée (de) et -des Porches, échevin de Bourges 1603, Berry[a 218], ANF (1946).
- Benoist d'Azy, maire d'Angers 1751[72], Neuvy-en-Mauges en Anjou, Nivernais[a 219], ANF (1976).
- Benoist de La Prunarède (de), extraction 1557, Languedoc[a 220], ANF (1996).
- Benoit de La Paillonne (de), Parlement de Dombes 1650, Comtat Venaissin[a 221].
- Bentzmann (de), ordonnance le 12 décembre 1757 de l'intendant défendant aux consuls de soumettre Joseph de Bentzmann à la Taille en raison de sa qualité de noble[a 222], Agenais, ANF (1975).
- Bérail (de), extraction 1551, Agenais[a 223], ANF (1950).
- Berg de Breda (de), anoblie en 1521, Hollande, Ile-de-France[a 224], ANF (1934). (noblesse non consensuelle en France ?)
- Berge, chevalier en 1810, baron en 1816, Languedoc, Roussillon[a 225], ANF (1955). Titre sans anoblissement.
- Bergevin (de), anoblie en 1775, Anjou, Bretagne (Brest)[a 226],[73], ANF (1972).
- Bermondet de Cromières (de), Parlement de Paris 1538, Limousin[a 227], ANF (1995).
- Bernard de La Grange de Tuquo (du) (olim Dubernard), anoblie en 1783, Guyenne[a 228], ANF (1995).
- Bernard (du) ou Dubernard, capitoul de Toulouse 1785, Ariège, Toulouse[a 229].
- Bernard de Dompsure, Restauration, anoblie en 1816, Franche-Comté[réf. nécessaire], ANF (2006).
- Bernard-Dutreil, Restauration, anoblie en 1814, Maine[a 230],[d 15], ANF (1951).
- Bernard de Courville et - de La Gatinais, anoblie en 1477, maintenue en 1670 et 1738, Anjou, Bretagne[74], ANF (1951).
- Bernard de Lauzière et - de Feyssal, maintenue en 1668, Provence (Authon)[a 231].
- Bernard de Lavernette et de Lavernette-Saint-Maurice, anoblie en 1699, Bourgogne[a 232], ANF (1938).
- Bernard de Montessus de Rully et - de Ballore, preuves de noblesse depuis 1487 (anoblie en 1470 ?), honneurs de la Cour en 1785, Bourgogne[a 233], ANF (1934).
- Bernard de Saint-Affrique, Restauration, anoblie en 1819, Valleraugue dans les Cévennes, puis Saint-Affrique en Rouergue[a 234],[d 15].
- Bernardi de Valernes (de), Restauration, anoblie en 1815, Avignon en Comtat Venaissin[a 235], ANF (2000).
- Bernardy de Sigoyer (de), maintenue en 1708, Provence (Sigoyer)[a 236],[49], ANF (1973).
- Bernes de Longvilliers (de), ancienne extraction 1440, Boulonnais[réf. nécessaire], ANF (1954).
- Bernon (de) (charge inachevée au XVIIIe siècle), Restauration, baron en 1818, Dauphiné[75],[a 237],[d 16]. Titre sans anoblissement.
- Bernou de Rochetaillée, secrétaire du roi 1689-1709, Forez[a 238], ANF (1992).
- Berset de Vaufleury, secrétaire du roi 1731-1751, Maine (Laval)[a 239], ANF (1981).
- Berterèche de Menditte (de), olim du Domec d'Ossas, syndic de la noblesse en 1789, Ossas-Suhare en Pays de Soule[a 240],[Note 14], ANF (2004).
- Berthe de Pommery, secrétaire du roi 1695-1723, Picardie, Champagne, Paris[a 241],[d 16], ANF (1965).
- Berthelier, trésorier à Châlons-en-Champagne 1686-1706, confirmé en 1732, Champagne (Langres)[réf. nécessaire][a 178], ANF (1998).
- Berthelot du Chesnay, ancienne extraction 1426, maintenue en 1669, Bretagne[a 242],[76].
- Berthelot de La Glétais, Chambre des comptes de Bretagne à Nantes XVIIIe siècle, Nantes[a 243],[d 16] (rattachement à prouver).
- Berthier, anoblie en 1763, comte Lasalle en 1809 (sur réversion), vicomte en 1821, Bourgogne[a 244], ANF (1964).
- Berthier de Grandry, écoles militaires en 1754[77], titre de baron Berthier de Chemilly de Courcelles de Viviers, dit baron de Viviers (1827) (titre éteint), Nivernais[a 245], ANF (1946).
- Bertier (de), admis aux États de Béarn en 1698, Béarn[réf. nécessaire], ANF (1977).
- Bertier de Sauvigny (de), secrétaire du roi 1668-1671, Bourgogne (Avallon)[a 246],[d 16], ANF (1938).
- Bertoult (de) et - d'Hauteclocque d'Œufs, preuves de noblesse 1575, marquis d'Hauteclocque d'Œufs en 1766, Artois[a 247], ANF (2006).
- Bertrand de Beuvron (de), ancienne extraction 1443, maintenue en 1715, Berry[a 248].
- Bertrand de Crozefon (de), maintenue en 1667, Agenais[a 249],[d 16].
- Bessard du Parc, Chambre des comptes de Bretagne à Nantes 1733-1759 et 1759-1781, Bretagne (Savenay)[78], ANF (1984).
- Bessey de Contenson (du) (alias Dubessey), lettres patentes Forez 1696, révocation 1715, lettres d'honneur du Parlement de la Dombes 1748[d 16],[79], ANF (1936).
- Béthery de La Brosse (de), secrétaire du roi 1778, en charge le 23 juin 1790, Bourgogne[18] Noblesse non consensuelle.
- Béthune Hesdigneul (de) (olim Desplancques), extraction 1523, lettres de chevalerie personnelle en 1614 (Pays-Bas espagnols, Archiduc Albert) et en 1632 (Philippe IV d’Espagne), honneurs de la Cour 1778 et 1786, prince de Bethune Hesdigneul le par lettres de Joseph II, empereur du Saint-Empire, titre reconnu en France le , Artois, Belgique[a 250], ANF (1972).
- Betolaud du Colombier, secrétaire du roi 1786, en charge le 23 juin 1790, Bordeaux[18] Noblesse non consensuelle.
- Beugny d'Hagerue, secrétaire du roi 1747-1771, Artois[a 251],[d 17].
- Beuverand de La Loyère, Parlement de Metz 1693, Bourgogne[a 252], ANF (2024).
- Bideran et - de Béraud de Canteranne (de), extraction 1523, Périgord[a 253],[d 17],[80], ANF (1936).
- Bigault de Cazanove (de), - de Parfourut, - de Fouchère, et - du Granrut, extraction 1562, Lorraine[a 254], ANF (1980).
- Bignicourt (de), secrétaire du roi 1692, Champagne[a 255], ANF (1984).
- Bigot de La Touanne et - de Morogues, échevin de Bourges 1487, Berry[a 256], ANF (1938).
- Billeheust d'Argenton (de), anoblie en 1475, Normandie (Bayeux)[a 257],[d 17].
- Bimard (de), extraction 1533, Gard (Anduze)[a 258].
- Binet de Boisgiroult de Sainte-Preuve, anoblie en 1718[d 17], Saint-Germain-en-Laye[a 259], ANF (1994).
- Binos de Guran (de), - de Pombarat, extraction 1542, Comminges[réf. nécessaire], ANF (1943).
- Biré (de), échevin de Nantes 1568, maintenue en 1670, Nantes[d 17], ANF (1980).
- Bittard du Cluzeau, secrétaire du roi 1786 en charge le 23 juin 1790, Auvergne[18],[a 260] Noblesse non consensuelle.
- Bizemont (de), extraction 1536, maintenue en 1631, Picardie, Melun en Ile-de-France, Orléanais[a 261], ANF (1942).
- Bizouard de Montille, secrétaire du roi près le Parlement de Metz 1679-1692, Bourgogne[a 262], ANF (2017).
- Blacas d'Aulps (de) (olim de Soleilhas), extraction chevaleresque 1390, maintenue en 1666, duc de Blacas en 1821, Soleilhas en Provence[réf. nécessaire], ANF (1950).
- Blaize de Maisonneuve, anoblie en 1786, Bretagne (Saint-Malo)[d 17].
- Blanc de La Nautte d'Hauterive, Restauration, comte en 1817, Dauphiné[81],[d 17],[82]. Titre sans anoblissement.
- Blanc de Molinès, extraction, maintenue en 1669, Vivarais[83], ANF (2011).
- Blanchard de La Buharaye et - du Val, extraction 1504, maintenue en 1669, Bretagne[a 263],[84], ANF (1939).
- Blanchaud (de), anoblie en 1778, Agenais[a 264],[d 18], ANF (1961).
- Blanchet de La Sablière, échevin de Lyon 1731, Bugey[a 265],[LM 21].
- Blanchetti (de), docteur en droit d'Avignon 1572, comte en 1742, Avignon en Comtat Venaissin[a 266],[d 18].
- Blanquet de Rouville et - du Chayla (de), Chambre des comptes de Paris 1618-1661, Serverette en Gévaudan[a 267],[85], ANF (1938).
- Blay de Gaix (de), bourgeois honoré de Perpignan 1689 (de Gaïx relevé par Gabriel de Blay 1848-1917)[86], Roussillon[a 268], ANF (1967).
- Blégiers de Pierregrosse (de) et - de Taulignan, docteur en droit d'Avignon 1623, Carpentras en Comtat Venaissin[a 269], ANF (1938).
- Blocquel de Croix de Wismes, extraction 1537, maintenue en 1710, baron en 1759, Artois, Picardie[a 270],[LM 22], ANF (1951).
- Blois de La Calande (de), extraction 1537, maintenue en 1668, Champagne, Bretagne (Finistère)[a 271],[LM 23], ANF (1945).
- Blonay (de), extraction chevaleresque 1134, Savoie[Foras 4],[Jougla 11].
- Blondel de Joigny de Bellebrune, ancienne extraction 1480, maintenue en 1669, Flandre, Ponthieu, Guyenne[a 272], ANF (1950).
- Blondin de Saint-Hilaire secrétaire du roi 1782, en charge le 23 juin 1790, maintenue de noblesse en 1817, Picardie (Abbeville)[18],[a 273].
- Bloteau (de), extraction, maintenue en 1684, Perche[réf. nécessaire], ANF (1979).
- Boberil (du), extraction chevaleresque 1379, maintenue en 1668, Bretagne[a 274],[LM 24], ANF (1951).
- Bocquillon Liger-Belair, Restauration, comte (sur réversion) en 1825, Bourgogne[a 275], ANF (1940). (noblesse non consensuelle)
- Bodard de La Jacopière (de), anoblie en 1821, Anjou[a 276],[LM 25], ANF (1944).
- Bodin de Galembert (de), extraction 1577, maintenue en 1702 et 1706, Flandre, Sologne[a 277], ANF (1945).
- Bodin de Saint-Laurent, anoblie en 1654, Guyenne[a 278], ANF (1987).
- Bodinat (de), maintenue 1786, Bourbonnais[a 279], ANF (1956)
- Boério (de), extraction 1564, maintenue par le Conseil supérieur en 1783, Corse[a 280],[LM 26], ANF (1943).
- Bois de Gaudusson (du), maintenue 1699, Quercy[réf. nécessaire][a 281], ANF (1985).
- Bois de Maquillé (du), ancienne extraction, maintenue à l'Intendance de Tours le par Voisin de La Noraye, page de la Grande Écurie le [LM 27], Maine puis Anjou[a 282].
- Bois de Montullé (du), anoblie en 1530 (franc-fief), Normandie[a 283].
- Boisbaudry (du), extraction chevaleresque 1377, Bretagne[a 284],[87],[LM 28], ANF (1974).
- Boisberranger (du), extraction 1570, Maine[a 285].
- Boisboissel (de) (olim Le Prévost), extraction chevaleresque 1317, Saint-Nicolas-du-Pélem, Bretagne[a 286],[88],[LM 29],[89], ANF (1969).
- Boisé de Courcenay (de), ancienne extraction 1452, Berry[a 287].
- Boisgelin (de), extraction chevaleresque 1378, honneurs de la Cour, marquis 1819, Bretagne (Saint-Brieuc)[a 288],[90],[LM 30], ANF (1967).
- Boisguéheneuc (du), extraction chevaleresque 1400, Bretagne[a 289],[90],[91],[LM 31], ANF (1985).
- Boishamon (du) (olim Grattemy avant 1478), ancienne extraction 1427, maintenue en 1668, Bretagne[92],[LM 32], ANF (1936).
- Boispéan (du), ancienne extraction 1486, maintenue en 1668, Bretagne[93],[LM 33], ANF (1975).
- Boissard (de), ancienne extraction 1424, Anjou[réf. nécessaire], ANF (1985).
- Boisset de Torsiac (de), extraction 1517, maintenue en 1666, Velay[a 290],[d 19], ANF (2016).
- Boissieu (de), anoblie en 1784 puis maintenue en 1787, Lyonnais[a 291], ANF (1936).
- Boistel d'Welles, anoblie par charge de secrétaire du roi en , mort en charge[94], Picardie[a 292], ANF (1960).
- Boisvilliers (de), extraction, maintenue en 1668, Orléanais, Île Bourbon[réf. nécessaire][a 281], ANF (1967).
- Boixo de Méritens (de), citoyen noble de Perpignan 1712, (de Villaret de Joyeuse par décret de 1928)[a 293], ANF (1933).
- Bon (de), extraction, Comminges[a 294], ANF (1986).
- Bonadona (de), docteur en droit d'Avignon 1447, Italie, Comtat Venaissin[a 295]. Noblesse non consensuelle en France.
- Bonafos de Bélinay (de), et - de Lamothe, anoblie en 1654, Auvergne[a 296],[LM 34], ANF (1940).
- Bonald (de) - de La Rode, ancienne extraction 1497, baron en 1824, Rouergue[a 297], ANF (1936).
- Bonamy de Villemereuil, anoblissement par charge de secrétaire du roi en 1740, Berry, Champagne[a 298],[95].
- Bonaparte, acte de reconnaissance de noblesse par le Conseil supérieur de Corse en 1771. Famille impériale en 1804 dont les membres portent depuis le titre de prince. Le nom à l'état-civil est Bonaparte bien que certains membres se fassent appeler « Napoléon », Corse[a 299].
- Bonardi du Ménil (de), Chambre des comptes de Paris 1764, baron en 1778, Digne-les-Bains en Provence[réf. nécessaire][96], ANF (1947).
- Bonchamps (de), renvoyé par l'intendant devant le Conseil d'État pour preuves insuffisantes en 1666, Normandie[a 300],[LM 35], ANF (1956).
- Bonet d'Oléon (de) , et de Partouneaux, deux docteurs en droit d'Avignon en 1628 (en 1724 pour Chaix d'Est-Ange), Valréas en Comtat Venaissin[a 301], ANF (1938). Noblesse non consensuelle en France.
- Bonnafos (de), ANF (1935)
- Bonnault d'Houët (de), ancienne extraction 1437, baron d'Empire par décret en janvier 1814 sans lettres patentes[b 1], Berry[a 302], ANF (1938).
- Bonnay de Breuille et - de Nonancourt, extraction 1555, Lorraine[a 303], ANF (1980).
- Bonnecaze (de), admis aux États de Béarn en 1724 (admission à ces mêmes États en 1686 pour G. Chaix d'Est-Ange), Béarn, Champagne[a 304], ANF (1989).
- Bonnechose (de), extraction 1510, Normandie[a 305], ANF (1965).
- Bonnefoux (Bonnefous, alias Bonnafoux) de Caminel(de), extraction 1557, Quercy[a 306].
- Bonnet de Viller (de), ancienne extraction 1469 (noblesse d'Empire 1810 (chevalier) pour Chaix d'Est-Ange et donc noblesse non consensuelle), Normandie[a 307], ANF (1951).
- Bonneval (de), extraction chevaleresque 1365, honneurs de la Cour, Auvergne[réf. nécessaire], ANF (1951).
- Bonnevie de Pogniat (de), ancienne extraction 1468, baron en 1811, Auvergne[réf. nécessaire], ANF (1948).
- Bonnin de La Bonninière de Beaumont, ancienne extraction 1450, marquis de Beaumont-La Ronce en 1757, honneurs de la Cour, Touraine[LM 36], ANF (1944).
- Bony de Lavergne (de), ancienne extraction 1401, honneurs de la Cour, Limousin[a 308], ANF (1935).
- Bordas (de), bourgeois honoré de Perpignan 1661[97], Roussillon[a 309], ANF (1953).
- Borel de Brétizel Rambures, anoblissement par charge 1760, Picardie[a 310], ANF (1954).
- Borne de Granpré (de), anoblie en 1778, Nivernais[a 311], ANF (1985).
- Borniol (de), extraction 1533, maintenue en 1700, Italie, Nivernais, St-Domingue[a 312]. (rattachement à prouver)
- Bos (du), anoblie en 1594, Picardie[a 313], ANF (1935).
- Boscal de Réals de Mornac, extraction 1524, Saintonge[a 314],[LM 37], ANF (1934).
- Boscq de Beaumont (du), anoblissement 1697, révoqué 1715, secrétaire du roi 1775, en charge le 23 juin 1790, Normandie[18] Noblesse non consensuelle.
- Bosquillon de Frescheville et - de Jenlis, secrétaire du roi 1706-1711, Picardie (Montdidier)[a 315], ANF (1953).
- Bosredon Combrailles (de), (olim Dacbert) extraction chevaleresque 1344[a 316], Auvergne, ANF (1978).
- Bossoreille de Ribou (de), secrétaire du roi 1774-1778, Auvergne, Anjou[a 317], ANF (1964).
- Botherel (de), anoblie en 1595, maintenue en 1668, Bretagne[LM 38], ANF (1985).
- Botmiliau (de), ancienne extraction 1481, maintenue en 1669, Bretagne[a 318],[98],[LM 39], ANF (1958).
- Bottée de Toulmon, Restauration, chevalier en 1815, Hainaut[a 319].
- Boüan du Chef du Bos, ancienne extraction 1460, maintenue en 1669, Bretagne[a 320],[LM 40], ANF (1934).
- Bouays de Couësbouc (du), ancienne extraction 1447, Bretagne[a 321],[LM 41], ANF (1988).
- Bouays de La Bégassière (du), ancienne extraction 1420, maintenue 1669, Bretagne[a 322].
- Boucaud (de), secrétaire du roi 1595, Guyenne[a 323], ANF (1986).
- Bouchard d'Aubeterre de Saint-Privat, olim de Saint-Privat, extraction 1553, Auvergne[a 324], ANF (1952).
- Bouchard de La Poterie, secrétaire du roi 1738-1747, Anjou[a 325], ANF (1997).
- Bouchaud de Mazaubrun (du), déchargé comme noble en 1756 par la Cour des aides de Clermont, Limousin[a 326],[b 2]
- Bouchelet de Vendegies, secrétaire du roi 1761-1782, Artois[a 327], comte du Saint Empire (1605)[99], ANF (1965).
- Boucher d'Argis, Parlement de Dombes 1660, Lyonnais[a 328], ANF (1980).
- Boucher de Boucherville, établie en Nouvelle-France et anoblie par Louis XIV, lors d'un séjour en France, en 1661-1662. La famille subsiste au Québec[a 329].
- Boucher de La Rupelle, anoblie en 1612, maintenue en 1666, Bourgogne[a 330], ANF (1946).
- Bouet du Portal (de), extraction 1539, Saintonge[a 331], ANF (1952).
- Bouët-Willaumez, comte en 1845 (sous Louis-Philippe, sur réversion), Bretagne[a 332],[LM 42].
- Bouëtiez de Kerorguen (du), ancienne extraction 1443, Bretagne[100],[a 333],[LM 43], ANF (1946).
- Bouëxic (du) de Pinieux, de La Driennays, de Guichen, extraction 1562 ou anoblissements, vicomte (pour la branche de la Driennays) en 1657, comte de Guichen en 1828, Bretagne[a 334],[LM 44], ANF (1936).
- Bougrenet de la Tocnaye (de), ancienne extraction, maintenue par la Chambre de Réformation de Bretagne 1668, Pays de Retz en Bretagne[LM 45], ANF (1948).
- Bouillé du Chariol (de), extraction chevaleresque 1328, honneurs de la Cour, Auvergne[a 335], ANF (1938).
- Boula de Mareüil et de Coulombiers, secrétaire du roi 1705, Picardie, Île-de-France[a 336], ANF (1987).
- Boulard (de), anoblie en 1603, Lorraine[a 337], ANF (1990).
- Boulard de Gatellier, secrétaire du roi 1747-1768, échevin de Lyon en 1778[101], Lyonnais[a 338], ANF (1982).
- Boulard de Vaucelles, anoblie en 1717, Paris[a 337], ANF (1948).
- Boulay de La Meurthe, Empire, comte de l'Empire par L.P. du , Lorraine[a 339]. Titre sans anoblissement, (Famille éteinte en ligne masculine).
- Boulet de La Boissière (du), extraction, Île-de-France, Valois[a 340], ANF (1958).
- Bouly de Lesdain, secrétaire du roi 1787, en charge le 23 juin 1790, Flandres[18] Noblesse non consensuelle.
- Bouquet des Chaux, ANF (2024).
- Bourayne (de), baron d'Empire , confirmé le par Louis XVIII, Beauce, Bretagne (Finistère)[a 341], ANF (1982). Titre sans anoblissement.
- Bourblanc (du), ancienne extraction 1500, Bretagne[LM 46], ANF (1942).
- Bourbon-Busset (de) et -Chalus, branche naturelle légitimée, issue en 1464 de la maison capétienne de Bourbon, comte de Busset 1578, pair de France 1823, Bourbonnais [102], ANF (1992).
- Bourdeau de La Judie, secrétaire du roi 1762, Limousin[réf. nécessaire], ANF (2009).
- Bourdier de Beauregard, admission aux États de Béarn en 1773, Béarn[réf. nécessaire], ANF (1992).
- Bourdieu (du) (alias Dubourdieu), baron par L.P. du , Vitré en Bretagne (noblesse non consensuelle)[a 342].
- Bourg (du) (de Boismarquer), secrétaire du roi (1701-1711), Bretagne[a 343],[LM 47].
- Bourg de Bozas-et de Luzençon (du), extraction 1554, Languedoc[a 344], ANF (1949).
- Bourgeois de Boynes, secrétaire du roi 1719-1740, honneurs de la Cour, marquis en 1867, Lyonnais[a 345],[LM 48], ANF (1979).
- Bourgeois de Lavergne, extraction, maintenue en 1668, Limousin[réf. nécessaire][a 281], ANF (1963).
- Bourgnon de Layre, chevalier de l'Empire en 1811, baron en 1815, Poitou[a 346]. Titre sans anoblissement.
- Bourgoing (de), Parlement de Paris 1522, comte en 1830, Nivernais[a 347].
- Bourlon de Rouvre, secrétaire du roi 1775, en charge le 23 juin 1790, Champagne[18] Noblesse non consensuelle.
- Bournonville (de), lettres de légitimation 1574, Boulonnais[a 348], ANF (1984).
- Bourqueney (de), Empire, baron en 1838, comte en 1859, Franche-Comté[a 349],[LM 49], ANF (1987). Titre sans anoblissement.
- Bourran (de), Parlement de Bordeaux 1585, Guyenne[a 350], ANF (1940).
- Bousquet de Florian (de), deux conseillers maîtres en la Chambre des comptes de Montpellier à la fin du XVIIIe siècle ou secrétaire du roi 1774-1778[b 3], Montpellier (Languedoc)[a 351], ANF (1973).
- Boussac (de), capitoul de Toulouse 1720, Languedoc[a 352], ANF (1994). (porte les armes d'une famille homonyme éteinte)
- Boussiers (de), extraction 1559, Périgord[103], ANF (1979). Chaix d'Est-Ange donne une filiation prouvée qu'à partir de 1590[a 353].
- Boussineau (de), échevin de Nantes en 1668, Bretagne[a 354],[LM 50].
- Bout de Marnhac, secrétaire du roi 1747-1769 (non corroboré par Chaix d'Est-Ange), Rouergue, Gévaudan[a 355], ANF (1970).
- Boutaud de Lavilléon (de), anoblie par L.P de Louis XVIII du , Tournon en Vivarais[a 356].
- Boutechoux de Chavanes (de), anoblie en 1471 par charge de conseiller-maître des requêtes du duc de Bourgogne[104], comte en 1765, Franche-Comté[a 357], ANF (1934).
- Bouteiller (de), chevalier 1811, confirmé en 1816, Picardie[a 358]. Titre sans anoblissement.
- Bouteville (de), baron en 1824, Picardie[a 359], ANF (1938). Titre sans anoblissement.
- Bouthillon de La Serve, Restauration, anoblie en 1819, baron en 1820, Bourgogne[a 360].
- Boutiny (de), extraction 1531, Hyères en Provence[réf. nécessaire], ANF (1992).
- Boutray (de), échevin de Paris 1735, baron 1830, Île-de-France[LM 51], ANF (1949).
- Bouvet (de), anobli en 1501, baron en 1724, Barrois[a 361], ANF (2024).
- Bouvier d'Yvoire, extraction, Savoie[Foras 5],[a 362], ANF (1948).
- Boux de Casson, anoblissement par charge 1602, maintenue 1668, Bretagne[LM 52], ANF (1968).
- Boyer de Castanet de Tauriac (de), extraction 1538, Languedoc[a 363], ANF (1995).
- Boyer d'Éguilles (de), Parlement de Provence 1571, marquis d'Argens en 1722[105], Ollioules, puis Éguilles en Provence[a 364],[106],[107].
- Boyer de Fonscolombe de La Môle, secrétaire du roi 1724, baron de La Môle en 1864, Aix-en-Provence en Provence[a 365], ANF (1967).
- Boyer du Montcel, Empire, baron en 1812 (non confirmé par G. Chaix d'Est-Ange), Champagne[a 366], ANF (1995).
- Boyer-Montégut (de), Restauration, anoblissement en 1815, Comté de Foix[a 367],[108].
- Boyer de Rebeval, Empire, baron en 1809, Lorraine[a 368], ANF (1998). Titre sans anoblissement.
- Boys (du), anoblie en 1816, Dauphiné[109],[a 369], ANF (1958).
- Boys de Riocour (du) (olim Dubois et du Bois de Riocourt) anoblie en 1622, comte en 1763, Lorraine[a 370].
- Brac de La Perrière- et de Bourdonnel, échevin de Lyon 1737, Beaujolais[réf. nécessaire], ANF (1947).
- Brach (de), secrétaire du roi 1571, Guyenne, Poitou[a 371], ANF (1952).
- Bragelongne (de), Chambre des comptes Paris 1580, Île-de-France[a 372].
- Branges de Bourcia (de), reconnu noble 1734, lettres de relief 1747, Franche-Comté[a 373].
- Braquilanges (de), anoblie (relief) en 1720, Bas-Limousin[a 374], ANF (1973).
- Bras de Fer (de), anoblie (franc-fief) en 1470, Normandie[a 375], ANF (1952).
- Brassier de Jocas (de), ancienne extraction 1477, Pernes-les-Fontaines en Comtat Venaissin[a 376], ANF (1998). Noblesse non consensuelle en France.
- Bray (de), Restauration, confirmation de noblesse 1819, baron en 1827, Picardie (Amiens)[a 377],[110].
- Bréart de Boisanger, secrétaire du roi 1688, maintenue 1701, Bretagne[a 378],[LM 53], ANF (1962).
- Brébisson (de), extraction 1551 (prouvé en 1666), Normandie[a 379], ANF (1938).
- Breil de Pontbriand de la Caunelaye (du), extraction chevaleresque 1399, comte en 1650, Bretagne[LM 54], ANF (1938).
- Brem (de), anoblie en 1725, Lorraine[réf. nécessaire], ANF (1975).
- Brémond d'Ars (de), extraction chevaleresque 1340, maintenue 1666, Saintonge[LM 55], ANF (1934).
- Bresson (de), Second Empire, comte en 1865 (sur réversion d'un titre de 1838), Lorraine[réf. nécessaire], ANF (1938). Titre sans anoblissement.
- Bressy de Guast (de), anoblie par le pape Pie VI en 1781, Gordes en Provence, Comtat Venaissin[a 380], ANF (1977).
- Brettes (de), extraction 1537, Poitou[réf. nécessaire], ANF (1950).
- Breuil-Hélion de La Guéronnière (du), ancienne extraction 1413, Poitou[a 381], AN (1950).
- Brévedent d'Ablon (de) et - du Plessis, anoblie (confirmée) en 1596, Normandie (Lisieux)[réf. nécessaire], ANF (1950).
- Brezetz (de), anoblie par charge sous l'Ancien Régime, baron de l'Empire le , Guyenne[a 382], ANF (2015).
- Briançon (de) (alias Brianson), extraction, maintenue 1667, Périgord[a 383], ANF (1937).
- Briant de Laubrière, anoblie par L.P. du , Bretagne (Finistère)[a 384],[LM 56], ANF (1951).
- Bricogne, anoblie en 1814, Île-de-France[a 385],[111].
- Bridiers (de), ancienne extraction 1425, Limousin[a 386], ANF (1996).
- Brie (de), extraction 1562, Limousin[a 387], ANF (1954).
- Briet de Rainvillers, anoblie en 1701, puis anoblissement révoqué en 1715, secrétaire du roi 1743, Picardie (Abbeville)[a 388], ANF (1998).
- Briey (de), extraction chevaleresque 1247, honneurs de la Cour, Barrois[a 389],[112], ANF (2024).
- Brillet de Candé- et de Villemorge, filiation suivie depuis 1547 et agrégation à la noblesse vers 1617[113].
- Brincard, Empire 1810, baron en 1866, Île-de-France[a 390], ANF (1954). Titre sans anoblissement.
- Brindejonc de Bermingham de Tréglodé, maintenue 1818[a 391], Bretagne.
- Brinon (de), charge anoblissante fin XVIe siècle ou début XVIIe siècle, maintenue 1667, Bourbonnais[a 392].
- Briot de La Crochais et de La Mallerie, anoblie en 1823, Bretagne[a 393],[LM 57], ANF (1951),
- Brisoult (de), anoblie en 1817, Île-de-France[a 394], ANF (1973).
- Brisset de Morcour, anoblie en 1782, Normandie[a 395], ANF (1947).
- Broc (de), ancienne extraction 1483, honneurs de la Cour, Anjou, Bretagne[a 396],[LM 58], ANF (1982).
- Broch d'Hotelans (de), Parlement de Dôle 1652, Franche-Comté[a 397], ANF (1935).
- Brochant de Villiers, Cour des monnaies de Paris 1703, Paris[a 398], ANF (1996).
- Brochard de La Rochebrochard, ancienne extraction 1438, Poitou[a 399],[LM 59], ANF (1966).
- Broglie (de), extraction chevaleresque 1394, duc par L.P. de [114], princes du Saint-Empire par diplôme du , Chieri en Piémont, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1933).
- Brommer (de), r.n.f. 1788, Hambourg, Bordelais[a 400].
- Brondeau d'Urtières (de), secrétaire du roi 1785 (charge acquise en 1768 - mort en charge 1785), Libourne en Guyenne[a 401], ANF (1967).
- Brossard (de), extraction 1598, Normandie[a 402], ANF (1959).
- Brossard de Corbigny-Fontenay, noblesse inachevée[115], Restauration, baron en 1830[116], Pithiviers en Orléanais[a 403], ANF (2007)[117]. Titre sans anoblissement.
- Brosse (de) olim Desbrosses ou des Brosses, filiation 1605, branche cadette (éteinte) condamnée en 1667 puis maintenue en 1717, branche aînée (subsistante) maintenue en 1697 et en 1708 sur preuves de 1535 mais inquiétée d'où maintenue par le Conseil d'État en 1716, Beaujolais[a 404], ANF (2018).
- Brosses (de), extraction ou anoblie 1530, Savoie, Bourgogne[a 405], ANF (1947).
- Brossin de Méré (de), extraction chevaleresque 1369, Touraine, Anjou[a 406], ANF (1963).
- Brossin de Saint-Didier (de), secrétaire du roi 1751, Normandie[a 407], ANF (1955).
- Bruc (de), et de Malestroit de Bruc, ancienne extraction 1439, marquis en 1682, (a relevé Montplaisir en 1861 et Chabans en 1924), Bretagne[a 408],[LM 60],[118], ANF (1994).
- Bruce (de), extraction en Écosse, r.n.f. 1715, Poitou[a 409], ANF (1990).
- Bruchard (de), ancienne extraction 1485 ou extraction 1550, Limousin[a 410], ANF (1951).
- Brugière de Barante, baron en 1810, Auvergne[a 411], ANF (1934). Titre sans anoblissement.
- Brun (de) et de Brun du Bois Noir, extraction 1519, maintenue en 1667, Velay, Auvergne[a 412].
- Brunet d'Evry, secrétaire du roi 1667, marquis d'Evry en 1724, Bourgogne[a 413], ANF (1953).
- Brunet de La Charie, preuves de noblesse 1631, maintenue 1718, Poitou[a 414], ANF (1933).
- Brunet de Sairigné, charge anoblissante de trésorier de France en 1734, lettres d'honneur en 1754, lettres patentes de confirmation de noblesse en 1755, Poitou[a 414].
- Brunier (de), anoblie par L.P. en , Comtat Venaissin, Vendômois[a 415], ANF (2016).
- Brunville (de), extraction, maintenue 1667, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1971).
- Bryas (de), ancienne extraction 1414, Artois[119].
- Brye (de), secrétaire du roi en l'Hôtel de Ville de Metz 1712, Picardie[a 416].
- Buchère de L'Épinois (de), Lettres Patentes de trésorier royal du [120], Picardie[a 417], ANF (2013)[121].
- Buchet (de), anoblie en 1825, Franche-Comté[a 418], ANF (1980).
- Bucy (de), extraction 1535, Picardie[réf. nécessaire], ANF (1989).
- Budes de Guébriant, extraction chevaleresque 1300, honneurs de la Cour, baron en 1829, Bretagne[a 419],[LM 61].
- Buhan (de), anoblie en 1786, Bordelais[a 420], ANF (1976).
- Buirette de Verrières, anoblie en 1819, Champagne[a 421], ANF (1937). (famille éteinte en ligne masculine).
- Buisson de Courson (du), preuves de noblesse 1636, maintenue 1701, Normandie[a 422], ANF (1970).
- Buor de Villeneuve (de) et de La Voy, extraction 1545, Poitou[réf. nécessaire], ANF (1957).
- Bureau de Pusy Lafayette, anoblissement chambre des comptes de Dole 1737, (Dumotier de Lafayette par décret de 1892 et 1928)[b 4], Franche-Comté[a 423], ANF (1977).
- Buretel de Chassey (de), anoblie en 1607 (autorisation de reprise de noblesse maternelle de la famille Grégoire)[b 4], Franche-Comté[a 424], ANF (1958).
- Burignot de Varenne, Chambre des comptes de Dole 1706-1730, Bourgogne[a 425],[b 4], ANF (2016).
- Busnel (de), anoblissement 1592, maintenue 1669, Bretagne[a 426],[LM 62]. (Famille éteinte en ligne masculine).
- Busquet de Caumont, anoblissement 1460 ou extraction 1542, Normandie[a 427], ANF (1955).
- Butler (de), certificat de noblesse irlandaise du enregistré à Saint-Domingue le [122], ancienne extraction, Irlande, Aunis, Saint Domingue[Passage problématique], ANF (1935)
- Buttet (de), ancienne extraction 1460, Savoie[Foras 6],[a 428], ANF (1985).
- Buxeuil de Roujoux (de) (olim Roujou), anoblissement par lettres[réf. nécessaire], baron de l'Empire 1810[123], Bretagne (vérifier l'anoblissement par lettres)[a 178], ANF (1938).
- Buyer-Mimeure (de) et Buyer (de), maintenue de noblesse en 1772 à Besançon par le Parlement de Franche-Comté[124], (a relevé "Mimeure" de la famille Fyot de Mimeure éteinte en 1874), Agenais, Franche-Comté[a 429], ANF (1951). Noblesse non consensuelle.
- Buzelet (de), ancienne extraction 1486, Maine, Lorraine[a 430] (rattachement à prouver).
C
[modifier | modifier le code]- Cabannes de Cauna (de), anoblie en 1714, confirmée en 1756 (?), Gascogne[a 431],[b 4],[Jougla 12] (les lettres d'anoblissement achetées en 1714 auraient été confirmées en 1756[125]).
- Cacqueray-Valménier (de) et de Cacqueray de Saint-Quentin, ancienne extraction 1470, Normandie[a 432],[Jougla 13], ANF (1938).
- Cadaran de Saint-Mars (de), ancienne extraction 1460, Bretagne[a 433],[Jougla 14],[LM 63], ANF (1939).
- Cadenet (de), anoblie en 1549[126], maintenue 1693, Salon-de-Provence en Provence, Bretagne[a 434],[Jougla 15], ANF (1978).
- Cadier de Veauce, extraction 1524, Bourbonnais[a 435].
- Cadoine de Gabriac (de), extraction chevaleresque 1279, maintenue en 1668, honneurs de la Cour en 1789, Pair de France en 1841, Gévaudan[d 20],[a 436], ANF (2011).
- Cadolle (de), ancienne extraction 1439, Languedoc[a 437],[Jougla 16], ANF (1997).
- Cadoret (de), échevin de Nantes 1641, maintenue 1669, Bretagne[a 438],[Jougla 17],[LM 64], ANF (1956).
- Cadoudal (de), anoblie en 1815, Bretagne[Jougla 18],[LM 65], ANF (1938).
- Caffarelli (de), comte de l'Empire 1810, pair de France en 1815, Languedoc[a 439], ANF (1953). Titre sans anoblissement.
- Cahouët (de), anoblie en 1817, Anjou[a 440],[LM 66], ANF (1979).
- Caillard d'Aillières, maintenue en 1671, Maine[a 441], ANF (1938).
- Caillebot de La Salle (de), extraction 1543, marquis de La Salle 1673, Normandie (Cerisy-la-Salle), Île-de-France[a 442].
- Calbiac (de), filiation suivie depuis 1630, maintenue en 1778, confirmation de noblesse en 1817, Agenais[a 443], ANF (1984).
- Calignon (de), anoblissement 1592 confirmé en 1602, Dauphiné, Limousin[127],[a 444].
- Calmès (de), agrégés à la noblesse au XVIe siècle, maintenue en 1669, Aude[a 445].
- Calonne d'Avesnes (de), extraction 1532, Picardie (Avesnes-Chaussoy)[a 446], ANF (1970).
- Camaret (de), docteur en droit d'Avignon 1635, Caromb puis Pernes-les-Fontaines en Comtat Venaissin[a 447], ANF (1984). Le comtat Venaissin a été rattaché à la France après l'abolition de la noblesse en France, donc noblesse non consensuelle en France.
- Cambolas (de), conseiller au Parlement de Toulouse le , Rouergue, Languedoc[réf. nécessaire], ANF (1968).
- Cambourg (de), extraction[128], filiation prouvée 1651[Jougla 19] (informations non consensuelles pour Chaix d'Est-Ange)[a 448], maintenue noble en 1669, Poitou[a 448], ANF (1935).
- Campou de Grimaldi-Regusse (de), secrétaire du roi 1724, Marseille en Provence[a 449], ANF (1985).
- Canat de Chizy, secrétaire du roi 1703, Bourgogne[a 450], ANF (1973).
- Canaux de Bonfils, vote noble à Orange en 1789, Provence (Orange)[129], ANF (2019).
- Candolle (de), ancienne extraction 1432[130], Marseille en Provence[a 451], ANF (1967).
- Capèle (de) et de Capèle d'Hautpoul, capitoul de Toulouse 1602, Comminges[a 452],[b 5].
- Cappel de Prémont (van), ANF (2019).
- Capitant de Villebonne, Restauration, anoblie en 1816, Orléanais (Coulmiers)[a 453].
- Carbonnel (de), extraction 1507, Artois, Picardie[b 5].
- Carbonnel de Canisy (de), extraction chevaleresque 1313, maintenue par Montfaut en 1463, marquis de Canisy par L.P. de [131], pages de la Grande Écurie du Roi 1745 et 1746, Honneurs de la Cour 1753, 1770 et 1783, Canisy en Normandie, Bretagne[réf. nécessaire]. (famille éteinte en ligne masculine)
- Carbonnières de Saint-Brice (de), extraction chevaleresque 1254, honneurs de la Cour, Saint-Brice-sur-Vienne en Limousin, Provence[réf. nécessaire], ANF (1934).
- Cardaillac (de), extraction 1549, maintenue noble en 1667, Quercy[d 21][réf. non conforme], ANF (1935).
- Cardaillac Lomné (de), ancienne extraction 1463, Bigorre[réf. nécessaire], ANF (1938).
- Cardevac d'Havrincourt (de), anoblissement par le roi Philippe III d'Espagne en 1596, marquis en 1693, honneurs de la Cour, Artois[a 454], ANF (1933).
- Cardes (de), secrétaire du roi 1783, en charge le 23 juin 1790, Gascogne[18] Noblesse non consensuelle.
- Cardon de Garsignies, secrétaire du roi 1714, Flandre[réf. nécessaire], ANF (1961).
- Cargouët de Ranléon (de), ancienne extraction 1423, Bretagne (Lamballe)[LM 67], ANF (1961).
- Carheil (de), ancienne extraction 1423, Bretagne[LM 68], ANF (1938).
- Carlet de La Rozière, anoblie en 1777 (trois générations de chevaliers de Saint-Louis), marquis en 1780, Champagne (Rethel)[a 455],[132]. (famille éteinte en ligne masculine)
- Carmantrand de La Roussille (de), secrétaire du roi 1642, Auvergne[a 456],[133], ANF (1980).
- Carmejane-Pierredon (de) et - de Vesc, docteur en droit d'Avignon en 1638[b 5], preuves pour les écoles militaires 1781, baron en 1810, Ménerbes en Comtat Venaissin[a 457].
- Carné (de), - Marcein, - Carnavalet, - Trecesson de Coëtlogon, ancienne extraction 1423, Bretagne[a 458],[LM 69], ANF (1933).
- Carpentier (de) (de Juvigny), secrétaire du roi 1697-1709, Soissonnais[a 459], ANF (1948).
- Carpentier de Changy, anoblie (relief) en 1662, Nivernais[a 460], ANF (1957).
- Carra de Vaux Saint-Cyr, secrétaire du roi 1750, Lyonnais[a 461].
- Carré de Busserolle, maire de Poitiers en 1639, Poitou[a 462], ANF (1986) (famille éteinte en ligne masculine).
- Carré de Lusançay, secrétaire du roi 1659-1675, Bretagne[a 463],[LM 70], ANF (1956).
- Carrelet, Second Empire, comte en 1866, Dijon, Bourbonnais[a 464]. Titre sans anoblissement.
- Carrelet de Loisy (de), - et Carrelet de Loisy d'Arcelot (de), Chambre des comptes de Dijon 1684-1688 et 1688-1732 (Valette)[b 6] ou anoblissement 1777 (Chaix d'Est-Ange), Bourgogne[a 465], ANF (1957).
- Carrière (de), capitoul de Toulouse 1592, baron héréditaire par L.P. du [134] Languedoc[a 466], ANF (1978).
- Carrière de Montvert (de), ancienne extraction 1476, comparution de la noblesse de la sénéchaussée du Périgord en date du , Périgord[a 467], ANF (2010)[135].
- Carron de La Carrière, anoblie en 1815, Bretagne[a 468],[LM 71].
- Casabianca (de), preuves de noblesse 1564, maintenue 1771, Corse[a 469].
- Cassagne de Beaufort, - de Miramon, - de Miramon-Pesteils et - de Miramon Fitz-James[136], extraction chevaleresque 1399, marquis de Beaufort en 1768, honneurs de la Cour, Auvergne[a 470], ANF (1946).
- Cassin (de), Restauration, anoblie par lettes patentes en 1825, titre de baron (branche aînée)[137],[138], Anjou[a 471], ANF (2005).
- Castel (de), extraction chevaleresque 1390, Bretagne[LM 72], ANF (1959).
- Castelbajac (de), extraction chevaleresque 1380, Bigorre[d 22],[a 472], ANF (1950).
- Castellan (de), extraction 1575, Bretagne[LM 73], ANF (1936).
- Castellane (de), - Esparron, - Majastres et - Norante, extraction chevaleresque 1089, honneurs de la Cour, marquis en 1829, Castellane en Provence[a 473], ANF (1942).
- Castelnau d'Essenault (de), Parlement de Bordeaux 1676, Guyenne[a 474], ANF (1964).
- Castillon de Saint-Victor (de), extraction 1508, Languedoc[a 475], ANF (1944).
- Catalan de La Sarra (de), Parlement des Dombes 1771, Lyonnais[a 476], ANF (1993).
- Cathelineau (de), Restauration, anoblie en 1817, Anjou[d 23], ANF (1983).
- Catoire et Catoire de Bioncourt, dispensé du marc d'or de noblesse le [a 477]. Deux générations d'avocats et trésoriers au Bureau des finances de Metz morts en charge (1746-1760) et (1767-1781)[139],[140], ANF (2024).
- Caubet de Bardies-Montfa (de), capitation noble en 1786 (Chaix d'Est-Ange écrit que cette famille n'a pas fait reconnaître sa noblesse lors des grandes recherches[a 478]), Comté de Foix, ANF (1946).
- Caumia-Baillenx (de), extraction 1538, Béarn[a 479], ANF (1935).
- Caumont La Force (de), extraction 1528, duc en 1788 (sur réversion), honneurs de la Cour, Agenais[d 23],[a 480], ANF (1946).
- Caupenne d'Aspremont (de), extraction chevaleresque 1391, honneurs de la Cour, Gascogne[Jougla 20].
- Cauvel de Beauvillé, Restauration, anoblie en 1821[b 7], Picardie (Montdidier)[a 481], ANF (1952)[141].
- Cauvigny (de), anoblissement 1585, Normandie[a 482], ANF (1970).
- Cauzé de Nazelle (du), extraction (sur quelles dates ?), maintenue en 1680, marquis en 1735, Condomois[a 483], ANF (1939).
- Cavelier de Cuverville, ancienne extraction 1419, maintenue noble le à Rouen par les commissaires aux francs-fiefs, Normandie[a 484],[LM 74],[142], ANF (1978).
- Cazaux (de), admis aux États de Béarn en 1740, Béarn[b 7],[a 281], ANF (1979).
- Cazenave de Lacaussade, - et de Mauduit, secrétaire du roi 1756, Guyenne[a 485], ANF (1955).
- Cazenave de Mathecoulon et de Libersac (de), Libournais, Périgord, Haute-Loire, maintenue en 1669 par arrêt du Conseil d’État, confirmée noble en 1697, vote à Libourne en 1789[a 486].
- Cazenove de Pradines (de), extraction 1548, Guyenne[a 487],[LM 75], ANF (1939). (Famille éteinte en ligne masculine).
- Ceccaldi -et Colonna-Ceccaldi, maintenue noble le 21 février 1772 par le Conseil supérieur de la Corse, Corse[143].
- Cellard du Sordet olim Cellard/Celard, secrétaire du roi 1776, Dauphiné, Mâconnais[144],[a 488], ANF (1950).
- Cellès (de), bourgeois honoré de Perpignan 1661[145], Roussillon[a 281], ANF (1985).
- Cenat de l'Herm, noblesse d'extraction, maintenue le 15/1/1671[146],[147], Velay. (Famille subsistante en ligne masculine sous le seul nom Cénat)[a 281].
- Certaines (de), extraction chevaleresque 1392, maintenue 1634 et 1701, honneurs de la Cour 1788, Nivernais[a 489], ANF (1951).
- Cézac (de), anoblie le [148], maintenue par Pellot le [149], Périgord[a 490], ANF (1967).
- Chabannes (de) et Chabannes Curton La Palice (de), extraction chevaleresque 1352, honneurs de la Cour 1787[150], Curton depuis le début XIXe siècle, Chabannes de Vergers (de)[151], pair de France héréditaire qualifié de "cousin du roi" avec pairie instituée sous le titre de marquis 1815-1831, et Chabannes La Palice (de)[150],[d 24][réf. non conforme], honneurs de la Cour 1787[Jougla 21],[b 8], Moustier-Ventadour en Limousin[a 491], ANF (1935).
- Chabert, baron en 1823, Franche-Comté[a 492]. Titre sans anoblissement.
- Chabert d'Hières, anoblie en 1825, Dauphiné[a 493].
- Chabot de Souville (de), extraction 1571, maintenue 1667, Orléanais et Paris[a 494],[Jougla 22], ANF (1954).
- Chabot (de) et Chabot-Tramecourt (de), extraction chevaleresque 1347, Poitou[a 495], ANF (1948). (voir aussi Maison de Rohan-Chabot).
- Chacaton (de), trésorier à Riom 1750, Bourbonnais[a 496] ANF (1969).
- Chagrin de Saint Hilaire, anoblie en 1657, Normandie[a 497], ANF (1945).
- Chaignon (de), extraction 1522, Périgord[a 498], ANF (1979).
- Chaillou (de), secrétaire du roi 1786, en charge le 23 juin 1790, Bourgogne[18]. Noblesse non consensuelle.
- Chalendar (de), maintenue noble en 1760, Vivrais, Libournais[a 499].
- Chalon (de), extraction 1567, Île-de-France[réf. nécessaire], ANF (1962).
- Chalup (de), extraction 1553, maintenue par La Bourdonnaye le , page de la Grande Écurie le [152], Périgord[réf. nécessaire], ANF (2006).
- Chalus (de), ancienne extraction 1470, Maine, Bretagne[LM 76], ANF (1967).
- Chalus (de) (de Prondines), ancienne extraction 1412, Auvergne[153], ANF (1967).
- Chalvet de Rochemonteix (de), extraction 1533, Auvergne[a 500], ANF (1995).
- Chambarlhac (de), extraction 1510, Vivarais[a 501].
- Chamboduc de Magnieu et de Saint-Pulgent (de), secrétaire du roi (1727-1741), Forez[a 502],[b 8], ANF (1935).
- Chambrun d'Uxeloup de Rosemont, secrétaire du roi 1760, Bourbonnais[a 503].
- Champeaux (de) et Champeaux de La Boulaye (de), secrétaire du roi 1691-1693, Bourgogne[a 504], ANF (1939).
- Champeaux (de) (Le Vauxdimes), maintenue en 1698 sur preuves de 1593[b 9], Bourgogne (Montigny-sur-Aube), ANF (1997). (Chaix d'Est-Ange écrit que le personnage de cette famille qui a été maintenu noble n'a pas eu de descendance et que le jugement de maintenue ne mentionne pas son frère dont descend la famille actuelle[a 505])
- Champs de Boishébert (des), ancienne extraction 1471, Normandie[a 506], ANF (1994).
- Champs de Saint Léger (de), anoblie en 1638, Nivernais[a 507],[LM 77], ANF (1953).
- Chanlaire (de), secrétaire du roi 1767, Champagne[a 508].
- Chapelain de Séréville, baron en 1819, Orléanais[a 509], ANF (1958). Titre sans anoblissement.
- Chapelet de Maillebois (du), ancienne extraction 1469, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1942).
- Chappedelaine (de), ancienne extraction 1427, Normandie, Maine[a 510], ANF (1944).
- Chappedelaine (de)(Famille différente de la précédente), maintenues en 1710 et en 1774 (contestations), Bretagne[a 511],[LM 78], ANF (1935).
- Chaptal de Chanteloup, anoblie par Louis XVI en 1788[a 512], ANF (1973).
- Chapuys Montlaville (de), baron en 1820, Bourgogne[a 513], ANF (1979).
- Chardon du Ranquet, un trésorier de France à Riom (1712-1730) et un conseiller à la Cour des aides de Clermont (1751-1771), confirmation de noblesse le 10 février 1773, Auvergne[a 514], ANF (1950).
- Charette de La Contrie (de), extraction, maintenue en 1668 à Rennes[154], baron de la Contrie en 1824, Bretagne[a 515],[LM 79], ANF (1938).
- Chargères du Breuil, extraction 1528, maintenue le [155], Nivernais, ANF (1938).
- Charpin Feugerolles (de), ancienne extraction 1446, Forez[réf. nécessaire], ANF (1989).
- Charrin (de), secrétaire du roi 1733, comte en 1843, Lyonnais[réf. nécessaire], ANF (1987).
- Charry (de), extraction chevaleresque 1316, honneurs de la Cour, Nivernais[réf. nécessaire], ANF (1951).
- Chassaigne, secrétaire du roi 1753, Auvergne[réf. nécessaire], ANF (1973).
- Chassepot de Pissy (de), Cour des aides de Paris 1675, baron en 1813, marquis en 1820, Picardie[a 516], ANF (1988)[156].
- Chasteigner de La Rocheposay (de), extraction chevaleresque 1318, honneurs de la Cour, Poitou[réf. nécessaire], ANF (1940).
- Chastellier (de), ancienne extraction, confirmée en 1575, honneurs de la Cour, Dauphiné[157],[a 517].
- Chastellux (de), extraction chevaleresque 1335, honneurs de la Cour, marquis de Duras en 1819, (duc de Rauzan sans lettres patentes), Bourgogne[a 518], ANF (1968).
- Chastenet de La Ferrière (de), extraction 1573, Saintonge[a 519], ANF (1956).
- Chastenet de Puységur (de), famille marchande agrégée à la noblesse au XVIe siècle[158], honneurs de la Cour 1738 sur dispense de preuves (maréchal de France), Gascogne[a 520], ANF (1959).
- Chateaubodeau (de), extraction 1524, Bourbonnais[a 521].
- Chateaubriand (de), extraction chevaleresque 1150, comte et vicomte de Chateaubriand en 1817, honneurs de la Cour 1787 et 1788, famille éteinte en ligne masculine, Bretagne[159],[160]
- Châteauneuf Randon du Tournel (de), extraction chevaleresque 1135, honneurs de la Cour, Gévaudan[réf. nécessaire], ANF (1945).
- Châtillon de Forceville de Merlimont (de), extraction, Poitou[réf. nécessaire], ANF (2018).
- Chauchart du Mottay, extraction, maintenue en 1668, Bretagne[LM 80], ANF (1988).
- Chauchat, anoblie par la charge d'échevin de Paris le , dispensé du marc d'or le , Auvergne puis Île-de-France[a 522], ANF (1973).
- Chaudruc de Crazannes, charge graduelle inachevée XVIIIe siècle, baron d'Empire 1813, Saintonge[a 523]. Noblesse non consensuelle.
- Chaumont de Quitry (de), extraction chevaleresque 1358, honneurs de la Cour les , et [161], comte en 1852[162], Chaumont-en-Vexin en Île-de-France[réf. nécessaire], ANF (1950).
- Chaumontel (de), extraction 1540, maintenue de noblesse par Chamillart le [Jougla 23], Falaise en Normandie, ANF (1946).
- Chaunac de Lanzac, de Montlogis (de), extraction chevaleresque 1393, honneurs de la Cour, Périgord[a 524], ANF (1986).
- Chaurand (de), secrétaire du roi 1751, lettres d'honneur 1771, Bretagne (Nantes)[a 525], ANF (1954).
- Chauveau de Quercize (de), secrétaire du roi 1779-1782, Bourgogne[a 526], ANF (1971).
- Chauvelin, Parlement de Paris (1553), honneurs de la Cour pour la branche -de Grisenoy, Vendômois[a 527], Paris.
- Chauveron (de), extraction chevaleresque (1361), honneurs de la Cour, Limousin[a 528], ANF (1994).
- Chauvigny de Blot (de), ancienne extraction 1458, certificat de noblesse du [163], honneurs de la Cour, Bourbonnais[réf. nécessaire], ANF (2013)[164].
- Chavagnac (de), ancienne extraction 1446, honneurs de la Cour, marquis en 1720, Auvergne[LM 81], ANF (1938).
- Chaylard (du), ancienne extraction 1483, Périgord[réf. nécessaire], ANF (1984).
- Chazeaux (de), extraction 1546, maintenue 1669, Velay[a 528].
- Chazelles (de) et - de Chazelles-Lunac (olim Chazel), maintenue en 1784 (sur présentation de pièces manifestement fausses la rattachant à une famille homonyme), Baron d'Empire le , Languedoc (Nîmes)[a 529],[b 10].
- Chazettes de Bargues (de), secrétaire du roi 1722-1750, Auvergne[a 530], ANF (1983).
- Chazotte de Clavière (de), conseiller au parlement de Dombes 1767, Vivarais[a 531], ANF (1971).
- Chebrou de La Roulière, L.P. d'anoblissement du [165], Niort en Poitou[a 532],[Jougla 24], ANF (2002)[166].
- Chefdebien-Zagarriga (de), ancienne extraction 1457, Roussillon, Languedoc[a 533], ANF (1933).
- Chérade de Montbron (de) anoblissement par charge de maire d'Angoulême en 1695[167], comte en 1766[a 534], Angoumois, ANF (1936).
- Chéreil de la Rivière, secrétaire du roi 1738-1754, Bretagne (Rennes)[a 535],[LM 82], ANF (1937).
- Chergé (de), ancienne extraction 1489, Poitou[a 536], ANF (1951).
- Chérisey (de), extraction chevaleresque 1400[168],[169][réf. non conforme], honneurs de la Cour le [170][réf. non conforme], Chérisey en Moselle, ANF (1935).
- Chesne (du), anoblie en 1816, Orléanais[réf. nécessaire], ANF (1955).
- Chevalier d'Almont, extraction 1572, Orléanais[a 537].
- Chevignard, secrétaire du roi le (ou 1728-1731), Beaune en Bourgogne[a 178], ANF (1965).
- Chevigné (de), extraction chevaleresque 1370, honneurs de la Cour. Vicomte en 1827 pour une branche éteinte, Bretagne[a 538],[LM 83], ANF (1946).
- Chevron Villette (de), extraction chevaleresque 1328, baron en 1604, Savoie[Foras 7],[a 539], ANF (1960).
- Cheyron du Pavillon (du), secrétaire du roi 1677[171],[b 11] (lettres d'honneur en 1712)[a 540] Cheyron de Beaumont (du), Cheyron de Beaumont d'Abzac de La Douze (du) jugement de décharge en 1713[172], une branche relève d'Abzac de La Douze par adoption en 1929, Périgord[réf. nécessaire], ANF (1934).
- Chicoyneau de Lavalette et du Coëtlosquet, Cour des comptes de Montpellier 1678, Languedoc[a 541],[LM 84], ANF (1934).
- Chieusses de Combaud Roquebrune (de), maintenue en 1708 comme gouverneur de Lorgues depuis 1705, Lorgues (Provence)[d 25],[a 542], ANF (1973).
- Chillaz (de) (olim Machard de Chillaz), anoblie le par L.P. de Janus de Savoie, Savoie[Foras 8], ANF (1959).
- Chivré (de), ancienne extraction 1494, marquis en 1633 (titre contesté dans Chaix d'Est-Ange), Normandie, Maine[a 543], ANF (1988).
- Choderlos de Laclos, secrétaire du roi 1696, Champagne[a 544].
- Chodron de Courcel, Second Empire, baron en 1867 (seule la branche issue d'Alphonse Chodron de Courcel est titrée), Lorraine (Toul)[a 545]. Titre sans anoblissement.
- Choin du Double (de), secrétaire du roi 1744-1757, Dauphiné[a 546], ANF (1955).
- Choiseul Praslin (de) , extraction chevaleresque 1060, honneurs de la Cour, cousin du roi, duc de Praslin en 1762, Champagne, Lorraine[a 547], ANF (1937).
- Cholet (de), (charge inachevée au XVIIIe siècle), comte de l'Empire 1808 (confirmé en 1817), pair de France héréditaire avec pairie instaurée sous le titre de Comte 1815-1831, Guyenne (Bordeaux)[a 548], ANF (1944). Titre sans anoblissement.
- Cholier de Cibeins (de), échevin de Lyon 1618, comte en 1721, Lyonnais[a 549], ANF (1953).
- Chossat de Montburon (de), secrétaire du roi 1686-1694, Bresse[a 550].
- Chouly de Permangle (de), anoblie en 1591 Limousin[a 551], ANF (1979).
- Clamorgan (de), ancienne extraction 1463[173], Normandie[a 552]. (famille éteinte en ligne masculine).
- Clapiers-Collongues (de), extraction 1550, Hyères, puis Collongues en Provence[a 553], ANF (1970).
- Claret de Fleurieu, échevin de Lyon 1686-1687 et 1689-1690, président en la Cour des monnaies de Lyon le , Nantua puis Lyon[a 554], ANF (1955).
- Clarke de Dromantin, r.n.f. 1766, Irlande, Bordelais[a 555], ANF (1958).
- Clausel de Coussergues (de), Chambre des comptes de Montpellier 1754, Rouergue[a 556], ANF (1951). Noblesse non consensuelle.
- Clauzade de Mazieux (de), capitoul de Toulouse 1693, Languedoc[a 557], ANF (1962).
- Clauzel, Empire, baron en 1810, comte en 1813, confirmé en 1814, Ariège[a 558]. Titre sans anoblissement.
- Clavière (de), échevin de Lyon 1754 et 1770, Bourgogne[a 559], ANF (1936). (Chaix d'Est-Ange rapporte que pas de preuves de rattachement à l'ancienne famille de ce nom en Vivarais malgré une reconnaissance de celle-ci)
- Clebsattel (de), anoblie (relief) en 1693 et confirmé noble en 1710, Alsace, Flandre[a 560],[d 26]. (à vérifier)
- Clédat de la Viguerie (de), secrétaire du roi 1784, en charge le 23 juin 1790, Limousin[18]. Noblesse non consensuelle.
- Clément de Givry et- de Blavette, anoblie en 1711, Provence, Paris[a 561], ANF (1947).
- Clérel de Tocqueville, ancienne extraction 1425, comte en 1820, Normandie[a 562], ANF (1935).
- Clermont-Tonnerre (de), extraction chevaleresque 1080 (Clermont), comtes de Tonnerre (devient : Clermont-Tonnerre), honneurs de la Cour, duc de Clermont-Tonnerre en 1759, pair de France, Dauphiné[a 563], ANF (1935).
- Clinchamp Bellegarde (de), ancienne extraction 1424, Normandie[a 564], ANF (1989).
- Clock (de), secrétaire du roi 1757-1770 ou 1777, baron en 1865 pour une branche éteinte, Hollande, Guyenne[a 565], ANF (1996).
- Cloüet, anoblissement 1512, dérogeance, relief de dérogeance 1765 pour une branche éteinte, anoblissement par charge de secrétaire du roi en 1788 pour une autre, en charge le 23 juin 1790, Meuse[18]. Noblesse non consensuelle.
- Coataudon-Tromanoir (de) et - de Kerdu, ancienne extraction 1423, maintenue 1669[LM 85], Bretagne (Finistère), ANF (2004)[174].
- Coatgoureden (de) et - Kerjean, ancienne extraction 1427, Bretagne, ANF (1952)[LM 86].
- Coattarel (de), ancienne extraction 1480, Bretagne[LM 87], ANF (1988).
- Cochet de Savigny de Saint-Vallier, ancienne extraction 1414, maintenue en 1669, Bourgogne[175][réf. nécessaire].
- Cochin, échevin de Paris 1748, Île-de-France, Paris[a 565], ANF (1997).
- Cochon de Lapparent, chevalier d'Empire 1808, comte en 1809, Poitou[a 566]. Titre sans anoblissement.
- Cockborne (de), extraction 1570, Écosse, Champagne[a 567], ANF (1937).
- Coëtlogon (de), extraction chevaleresque 1371, honneurs de la Cour 1781 et 1784, Bretagne[LM 88], ANF (1946)
- Coëtnempren de Kersaint (de), ancienne extraction, Baron d’Empire le 25 février 1811, comte le 21 avril 1830, Bretagne (Finistère)[LM 89], ANF (1967).
- Cognets de Correc de Kerdréoret (des), ancienne extraction 1488, Plurien en Bretagne[LM 90], ANF (1946).
- Cointet de Fillain (de), baron en 1866, Alsace[a 568], ANF (1949). Titre sans anoblissement.
- Colas des Francs, Colas des Francs de Parabère, Colas de Brouville devenue Colas de Malmusse (une branche Colas de Malmusse de Chanaleilles de La Saumes), Colas de la Noue, extraction 1511, maire d'Orléans au XVIIe siècle, Orléanais[a 569],[176], ANF (1954).
- Colbert (de), - Cannet et - de Turgis (olim Colbert), anoblie en 1603, branche du ministre éteinte, Champagne (Reims, Troyes)[a 570], ANF (1937).
- Colin de Verdière, secrétaire du roi 1765-1778, Champagne, Île-de-France[a 571], ANF (2016).
- Collas de La Baronnais, extraction, maintenue en 1669, Bretagne[a 572],[LM 91].
- Collinet de La Salle, anoblie en 1655, Lorraine[a 573], ANF (1984).
- Collot d'Escury, anoblie par LP de 1675 en France, reconnaissance aux Pays-Bas en 1814[177].
- Colnet (de), extraction 1520, maintenue de noblesse le , chevau-léger le [178], Fontaine-l'Évêque au Pays de Liège, Picardie[a 574].
- Colombel (de), anoblissement 1598, Normandie[a 575].
- Colonna d'Istria, extraction chevaleresque 1331, maintenue en 1773, comte en 1825, Corse[a 576], ANF (1971).
- Colonna de Lecca, maintenue en 1772, Corse[a 577].
- Combarel du Gibanel (de), extraction 1517, Limousin[a 578], ANF (1994).
- Combas, extraction, maintenue en 1670, Languedoc[a 281], ANF (1975). Famille subsistante sous le nom Combes de Montagut de Combas (de).
- Combettes de Caumon (de), trésorier à Montauban 1715, vicomte en 1817, Languedoc[a 579].
- Commarque (de), extraction chevaleresque 1317, Périgord[a 580], ANF (1988).
- Commines de Marcilly (de), secrétaire du roi 1730, Bourgogne[a 581].
- Comminges (de) , extraction chevaleresque 1385, maintenue noble 1698, honneurs de la Cour 1781, Comminges[a 582],[d 27], ANF (2010). (Famille éteinte en ligne masculine).
- Condé (de), extraction 1584, Lorraine[réf. nécessaire], ANF (1958).
- Coniac (de), anoblie en 1619, Guyenne, Bretagne[a 583],[LM 92], ANF 1942).
- Conny de Lafay (de), conseiller au Parlement de Dombes 1745-1767, vicomte en 1816, Bourbonnais[réf. nécessaire], ANF (1946).
- Constantin (de), extraction 1517, comte en 1870, Périgord[a 584]. (Subsistance à établir).
- Constantin de Magny (de), anoblie en 1560, Savoie[Foras 9],[a 585],[179].
- Contades (de), Conseil d'État 1619, honneurs de la Cour, comte en 1809, Anjou, Bretagne[a 586],[LM 93], ANF (1950).
- Contes d'Esgranges (de), six générations de noblesse avant 1761, Bucamps en Picardie[a 587], ANF (2001)[180].
- Cools (de), baron 1822, Guadeloupe[a 588], ANF (1956). Titre sans anoblissement.
- Copin de Miribel, conseiller au Parlement du Dauphiné le [181], Grenoble, Dauphiné[a 589], ANF (1954).
- Coppier (de), extraction 1565, Savoie[Foras 10],[a 590], ANF (1966).
- Coquebert de Neuville, extraction 1565, Champagne, Bretagne[réf. nécessaire], ANF (1936).
- Coquet (de), extraction 1558, Guyenne[réf. nécessaire], ANF (1936).
- Coral (de), ancienne extraction 1426, maintenue de noblesse le [182], Sillars en Poitou (ancienneté de noblesse différente entre Valette[réf. nécessaire] et Chaix d'Est-Ange[a 591]), ANF (2004)[183].
- Corbier (de), ancienne extraction 1448, Limousin[réf. nécessaire], ANF (1997).
- Corday (de), ancienne extraction 1463, Normandie[184],[185][réf. à confirmer].
- Cordon (de), légitimation 1558, honneurs de la Cour, Bugey, Savoie[Foras 11],[a 592], ANF (1963).
- Cordoüe (de), extraction 1553 (qualifications de noblesse fin XVIe siècle pour Barcilon et Chaix d'Est-Ange), - de Cordoüe-Hecquard par adoption de 1934, Aurons en Provence[a 593], ANF 1951).
- Coriolis (de), conseiller au Parlement d'Aix 1554, marquis en 1651, Marcoux[186], puis Aix-en-Provence, Provence[a 594], ANF (1956).
- Corlieu (de), ancienne extraction 1480, Angoumois[a 595].
- Cornaro de Curton, maintenue noble en 1784, preuves pour les écoles militaires en 1789[187],[188], originaire de Venise, Cantal[Jougla 25].
- Corneillan (de), ancienne extraction 1487, Armagnac, Rouergue[réf. nécessaire], ANF (1958).
- Cornet d'Hunval, anoblie en 1816, Picardie[a 596].
- Cornette de Saint-Cyr et- Cornette de Venancourt, anoblie en 1676, Martinique, Champagne[a 597], ANF (1969).
- Cornois (de), baron d'Empire en 1810, Île-de-France[a 598], ANF (2000). Titre sans anoblissement.
- Cornulier-Lucinière (de), ancienne extraction 1487, Bretagne[LM 94], ANF (1946).
- Cos de La Hitte (du), extraction 1530, Gascogne, Toulousain[réf. nécessaire], ANF (1969).
- Cosnac (de), extraction chevaleresque 1223, maintenue noble en 1667, honneurs de la Cour 1782 et 1783, Limousin[Jougla 26], ANF (1935).
- Cossart d'Espiès (de), extraction 1517, honneurs de la Cour, Picardie[réf. nécessaire], ANF (1961).
- Cossé-Brissac (de), ancienne extraction 1492, honneurs de la Cour, duc de Brissac en 1611[a 599], Anjou, ANF (1948).
- Cosseron de Villenoisy, échevin de Paris 1783, Île-de-France[a 600], ANF (1988).
- Cossette (de), ancienne extraction 1437, Picardie[réf. nécessaire], ANF (1961).
- Costa de Beauregard, ancienne extraction 1389, marquis de Saint-Genix de Beauregard en 1700, Gênes, Savoie[Foras 12],[a 601], ANF (1935).
- Costard de Saint-Léger (de), extraction 1537[189], maintenue de noblesse par de Barrin de La Galissonnière le [190], Martot, Normandie[a 602].
- Costart (de) (de Méry), ancienne extraction 1485, maintenue noble en 1666, Basse-Normandie[a 603].
- Costé de Bagneaux, anoblie en 1819, Orléanais[a 604].
- Cotton (de), échevin de Lyon 1676, Lyonnais[réf. nécessaire], ANF (1960).
- Cotton de Bennetot, secrétaire du roi 1560, Normandie[a 605], ANF (1959).
- Coüasnon (de), ancienne extraction 1417, honneurs de la Cour, Bretagne[LM 95], ANF (1987).
- Coudenhove (de), ancienne extraction 1460, admission aux écoles royales militaires le [191], Flandre[réf. nécessaire], ANF (1967).
- Couderc de Saint-Chamant, secrétaire du roi 1783, en charge le 23 juin 1790, Montpellier[18]. Noblesse non consensuelle.
- Couëdic de Kergoualer (du), extraction chevaleresque 1370. (Titre éteint) vicomte en 1827, honneurs de la Cour, Bretagne (Finistère)[LM 96], ANF (1950).
- Couëspel (de), anoblie en 1428, Normandie[LM 97], ANF (2022).
- Couessin du Boisriou (de), ancienne extraction 1453, Bretagne[LM 98], ANF (1955).
- Couët de Lorry (de), qualifications de noblesse à partir du XVIe siècle (G. Chaix d'Est-Ange mentionne une condamnation, des maintenues et des anoblissements ultérieurs), Lorraine[a 606],[192].
- Couppé de Kerloury, Couppé de Kermartin, Couppé de Lahongrais, extraction 1540, Bretagne, Guadeloupe[193], ANF (2019)
- Couraye du Parc, anoblie par lettres du 22 mai 1778 enregistrées à la Cour des aides de Rouen le 14 mai 1779, Normandie[réf. nécessaire].
- Courbis, reconnue noble en France, maintenue en 1667, Toscane, Vivarais[194], ANF (1960).
- Courlet de Vregille, conseiller au Parlement de Besançon 1704-1719, Franche-Comté (Pontarlier)[194], ANF (1949).
- Courrèges (de), Courrèges d'Agnos (de), Courrèges d'Agnos de Parage (de) et Courrèges d'Ustou (de), secrétaire du roi 1711-1720[b 12], a relevé Parage (de) et Ustou (d'), éteints, Béarn[a 607], ANF (1939).
- Cours de Saint-Gervasy (de), ancienne extraction 1409, maintenue 1715, Gascogne[a 608], ANF (2014).
- Courseulles (de), extraction chevaleresque 1347, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1956).
- Courson de La Villeneuve (de), ancienne extraction 1437, Bretagne[195],[LM 99], ANF (1953).
- Court de Fontmichel, secrétaire du roi 1783-1786 (Chaix d'Est-Ange émet une réserve), Cabris et Grasse en Provence[a 609], ANF (1953).
- Courtilloles (de), Courtilloles d'Angleville (de), olim Chausson jusqu'en 1766, anoblie en 1698, Normandie[a 610], ANF (1954).
- Courtils (des) et Courtils de Merlemont (des), ancienne extraction 1417, Beauvaisis[a 611], ANF (1934).
- Courtois (de) et Courtois d'Arcollières (de), anoblie en 1517 par le duc de Savoie, maintenue en 1718 à Beaucaire (branche cadette)[196], Savoie, Gard[a 612], ANF (1956).
- Courtot de Cissey, anoblie en 1533, Franche-Comté[197].
- Cousin de Mauvaisin (de), secrétaire du roi 1740, Mauvaisin, Languedoc[a 613].
- Coustin du Masnasdaud (de), extraction chevaleresque 1364, Marche[a 614], ANF (1982).
- Coux (de), extraction 1548, marquis 1866, Limousin[réf. nécessaire], ANF (1960).
- Coye de Castelet (de) et- de Brunelis, secrétaire du roi 1766-1785, Les Baux-de-Provence et Arles (Provence)[réf. nécessaire], ANF (1989).
- Cramail du Tronchet, secrétaire du roi 1782, en charge le 23 juin 1790, Île-de-France[18]. Noblesse non consensuelle.
- Crécy (de), extraction chevaleresque 1370, honneurs de la Cour, (a relevé -Liliac par alliance), Picardie[réf. nécessaire], ANF (1973).
- Cremoux (de) (alias de Crémoux), extraction 1546 ou agrégé à la noblesse au XVIIe siècle[a 615], maintenue de noblesse le rendu par La Bourdonnaye, maintenue de noblesse le , Sarlat en Périgord[a 615], ANF (2008).
- Crespin de Billy (de), échevin d'Angers 1501, Anjou, Orléanais[réf. nécessaire], ANF (1949).
- Cressac (de), et -de Soleuvre, anoblie en 1776, Poitou[a 616], ANF (1934).
- Cretté de Palluel, secrétaire du roi 1783, en charge le 23 juin 1790, lettres de noblesse en 1817, baron en 1827, Île-de-France[18],[a 617].
- Crevoisier d'Hurbache (de), et - de Vomécourt, anoblie en 1623, Lorraine[réf. nécessaire], ANF (1943).
- Crevoisier Gouy de Bellocq Feuquières (de), même famille que la précédente, anoblissement par lettres 1623, Lorraine[réf. nécessaire], ANF (1943).
- Crocquet de Guyencourt (du), secrétaire du roi 1721, Picardie[réf. nécessaire], ANF (1988). (Famille éteinte en ligne masculine).
- Croix (de), extraction chevaleresque 1285, comte en 1808 et en 1824, Flandre[réf. nécessaire], ANF (1967).
- Crosnier de Briant, maintenue par arrêt du Conseil souverain de la Martinique du , Saint-Malo en Bretagne, La Trinité en Martinique[réf. nécessaire], ANF (2002)[198][réf. à confirmer].
- Croÿ (de), extraction chevaleresque 1350, prince du Saint-Empire, duc en 1817 (branche ducale fixée en Allemagne), honneurs de la Cour, Picardie, Hainaut[réf. nécessaire], ANF (1938).
- Crozé de Clesmes (de), agrégé à la noblesse au XVIIIe siècle, comparution pour l'ordre de la noblesse en la sénéchaussée de Saumur en [199], Anjou[a 618], ANF (1985). (principe de noblesse à déterminer).
- Crublier de Fougères, président trésorier de France [président du Bureau des finances ?] à Bourges le [200][réf. à confirmer], Châteauroux en Berry, ANF (2004)[201].
- Crussol d'Uzès (de) (olim Bastet), extraction chevaleresque 1215, honneurs de la Cour, duc d'Uzès 1565, Vivarais, Languedoc[a 619], ANF (1959).
- Cugnac (de), ancienne extraction 1447, honneurs de la Cour, marquis 1861, Périgord[a 620], ANF (1939).
- Cugnon de Sevricourt d'Alincourt, extraction 1518, Champagne[réf. nécessaire], ANF (1994).
- Cuneo d'Ornano, extraction, maintenue 1771, Gênes, Corse[a 621], ANF (1975).
- Curel (de), anoblie (confirmée) en 1718, vicomte en 1819, Lorraine (Gondrecourt-le-château)[a 622], ANF (1939).
- Curial de Brévannes, Empire, baron 1808, pair de France héréditaire avec pairie instaurée sous le titre de comte 1817-1831, Savoie[Foras 13],[a 623], ANF (1937). Titre sans anoblissement.
- Curières de Castelnau (de), extraction chevaleresque 1264, maintenue de noblesse en 1700 sur preuves remontant à 1531, honneurs de la Cour en 1776 pour une branche éteinte en 1798, Rouergue[a 624], ANF (1939).
- Cussy (de), ancienne extraction 1471, maintenue de noblesse par Louis Pierre d'Hozier en 1761, Bayeux en Normandie[réf. nécessaire], ANF (2008)[202].
- Cyresme (de), anoblie en 1559, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1948).
D
[modifier | modifier le code]- Dadvisard, parfois Dadvisard de Talairan, secrétaire du roi 1577, capitoul de Toulouse 1677, marquis 1863, Languedoc[a 625],[Jougla 27], ANF (1936).
- Dalmas (de), extraction 1443, secrétaire du roi 1696, Languedoc, Paris[a 626],[Jougla 28].
- Damas (de) (branche de Cormaillon), extraction chevaleresque 1315, baron en 1827, Bourgogne[d 28], ANF (1936).
- Dambrines de Ramécourt, anoblie en 1700, Artois[a 627],[Jougla 29], ANF (2015).
- Dampierre (de), ancienne extraction 1405, baron-pair en 1827, Picardie[d 28],[203], ANF (1938).
- Danzel d'Aumont, arrêt du Conseil d'État 1671 puis maintenues 1701 sur preuves de 1543, actes de roture mais écartés par le Conseil d'État[a 628], Picardie, ANF (1976)
- Darassus (de), trésorier à Montauban 1667, Quercy[réf. nécessaire], ANF (1977).
- Dargier de Saint-Vaulry (alias Argier de Saint-Vaulry (d')), extraction 1537, Marche[a 629].
- Daru, capitoul de Toulouse 1769, comte en 1809, Languedoc[a 630], ANF (1953).
- Dasnières de Veigy (olim Gantelet d'Asnières de Veigy), voir Gantelet d'Asnières de Sales (ci-dessous), anoblie 1628, vérifié 1639[204], naturalisé français par L.P. d', maintenue de Noblesse par L.P. du [205], Vallières en Savoie[a 631], ANF (2007).
- Dauger, anoblie pour services militaires par L.P. de , Champagne, Normandie[206], ANF (1953).
- David de Beaufort, secrétaire du roi par L.P. du -1730, Autun en Bourgogne[a 632].
- David de Sauzéa, secrétaire du roi 1789, en charge le 23 juin 1790, Forez[18] Noblesse non consensuelle.
- David-Beauregard (de), Écoles militaires, confirmé en 1788, Provence[a 633], ANF (1988).
- Davy de Virville, extraction[207], Normandie[a 634], ANF (1982).
- Dax d'Axat (de) et d'Ax de Cessales, anoblie par L.P. du , maintenue en 1668, Languedoc[d 29],[a 635], ANF (1956).
- Déan de Luigné, secrétaire du roi 1700, Maine[a 636],[LM 100], ANF (1956).
- Decazes, comte sur majorat 1816, duc de Glücksberg 1818, duc Decazes 1820, Guyenne[a 637], ANF (1967). (titres sans anoblissements)
- Decouz (De Couz ou De Coux) baron par L.P. du (titre transmissible)[208], Annecy, Savoie[Foras 14],[a 638]. Titre sans anoblissement. ANF (2008).
- Dein, Empire, baron en 1811, confirmé en 1822, Bretagne[a 639],[LM 101]. Titre sans anoblissement. ANF (1956).
- Dejean de La Bâtie, secrétaire du roi le [209] (ou 1750), Dauphiné, Nivernais, Vivarais[210],[a 640], ANF (1980).
- Delamalle, Empire, chevalier 1811, confirmé en 1816, vicomte en 1830 à titre personnel, Paris[a 641]. Titre sans anoblissement. ANF (1980)
- Delarüe-Caron de Beaumarchais, conseiller secrétaire du roi en la Grande Chancellerie de France le , résigne le , Beaumarchais par décret du , Paris[a 642].
- Delfau de Pontalba, - et de Belfort, capitoul de Toulouse 1746, baron de Pontalba en 1810, baron de Belfort en 1868, Languedoc[a 643],[211].
- Delherm de Novital, capitoul de Toulouse 1739, Languedoc[a 644].
- Delolm de Lalaubie, Restauration, anoblie en 1816, Auvergne (Aurillac)[d 29],[a 645].
- Delom de Mézerac, famille de haute-bourgeoisie[a 646], maintenue de noblesse par arrêt de la Cour des aides de Montpellier de 1767, Languedoc (Albi)[212], ANF (1954).
- Delort, capitoul de Toulouse 1718, Languedoc[a 647], ANF (1980).
- Delpuech de Comeiras, pas de principe de noblesse antérieur à la maintenue de noblesse enregistrée à Montpellier en 1721 et 1725 en faveur de Jean Delpuech (en 1692 qualifié maître Jean del Puech, fils de maître Pierre del Puech) et de 4 de ses frères, Languedoc[a 648], ANF (1977).
- Demandolx-Dedons (de) (olim Dedons), Parlement de Provence 1554, marquis en 1682, Demandolx, Provence[a 649], ANF (1997).
- Mont d'Aurensan (de), maintenue en 1716, Bigorre (Bagnères-de-Bigorre)[a 650].
- Denesvre de Domecy (de), secrétaire du roi près le Parlement de Bourgogne reçu le [213] (ou 1704-1706), Avallon/Domecy-sur-le-Vault en Bourgogne[a 651].
- Denis du Péage, anoblie en 1769, Flandre[a 652], ANF (1950).
- Denis de Senneville-Grave, échevin de Paris 1720, Paris[a 653], ANF (1961).
- Denis de Trobriand, maintenue 1715, Bretagne (Finistère)[a 654],[LM 102], ANF (1981).
- Denys de Bonnaventure, anoblie en 1668, Touraine, Aunis[a 655], ANF (1987).
- Desazars de Montgailhard, capitoul de Toulouse 1753, baron en 1810, confirmé en 1864, Languedoc[a 656], ANF (1996).
- Desbiez de Saint-Juan, avocat-général au parlement de Besançon 1736, baron héréditaire de Saint Juan par Louis XVI en 1786[a 657],[214],[215],[216],[217] (éteinte en ligne masculine ).
- Descantons de Montblanc, comte en 1841, Paris[a 658], ANF (1972). (noblesse non consensuelle).
- Desclos de La Fonchais, secrétaire du roi 1711, Bretagne[d 30],[a 659], ANF (2021).
- Desfrançois de Pontchalon (alias des François), secrétaire du roi 1767-1782, Normandie[a 660], ANF (1955).
- Desfriches Doria, ancienne extraction 1457, Picardie[a 661].
- Desgrées du Loû, extraction chevaleresque 1385, Bretagne[a 662],[LM 103], ANF (1957).
- Desjardins de Gérauvilliers, anoblie en 1664, Lorraine[a 663].
- Desjars de Keranrouë, extraction (aveu en 1586), déboutée et condamnée en 1668 puis maintenue en 1670, Bretagne[a 663], ANF (1992).
- Desmiers de Chenon, et -Desmier de Ligouyer, ancienne extraction 1406, Angoumois[LM 104], ANF (1956).
- Desmousseaux de Givré, échevin de Paris 1789, baron en 1810[218], Île-de-France, ANF (1981).
- Desplaces de Charmasse, secrétaire du roi 1729-1731[réf. nécessaire][219], Autun, Bourgogne, ANF (1951).
- Desprez de La Morlaye et de La Villetual, reconnu noble en 1746 et 1770[LM 105],[220], ou anoblie (confirmée) en 1770[b 13], et filiation non noble avant ces dates, Bretagne (Rennes)[a 664], ANF (1976).
- Desrousseaux de Medrano et - de Vandières, anoblie en 1815, Champagne (Sedan)[a 665], ANF (1933).
- Dessayettes de Clairval et Ayettes de Clerval (des), Cour des aides de Paris 1707-1709, Paris[a 666].
- Desvernay, secrétaire du roi 1780-1787, Forez[a 667], ANF (1933).
- Detours, Empire, baron en 1811, confirmé en 1817, Moissac, Quercy[réf. nécessaire], ANF (1973). Titre sans anoblissement.
- Devaulx de Chambord, anoblie en 1815, Bourbonnais[a 668], ANF (1968).
- Dianous (de), docteur en droit d'Avignon 1739, baron en 1811, Comtat Venaissin[a 669], ANF (1938). Noblesse non consensuelle en France.
- Dibart de La Villetanet, ancienne extraction 1460, Bretagne[221], ANF (1962).
- Didelot, anoblie en 1566, baron en 1811, Lorraine[LM 106], ANF (1945).
- Diesbach de Belleroche (de), anoblie par le Saint-Empire 1434, honneurs de la Cour, Suisse, Artois[a 670], ANF (1951).
- Dietrich (de), anoblie en 1768 (branche aînée) et 1761 (branche cadette, seule subsistante), Alsace[a 671], ANF (1939).
- Dieuleveult (de), anoblie le [b 13], Carhaix puis Tréguier en Bretagne[a 672],[LM 107], ANF (1938).
- Dillon, r.n.f 1759, extraction chevaleresque 1343, honneurs de la Cour, Irlande, Guyenne[a 673].
- Dion (de), extraction chevaleresque 1390, honneurs de la Cour, Artois[a 674].
- Dionis du Séjour, échevin de Paris 1698, secrétaire du roi 1719-1738[b 14], Île-de-France[a 675],[222], ANF (1994).
- Doë de Maindreville, secrétaire du roi 1691-1719, Champagne[a 676], ANF (1947).
- Domet de Mont, Chambre des comptes de Dole 1713-1738, Franche-Comté, ANF (2022).
- Domet de Vorges, Chambre des comptes de Dole 1713-1738 et 1741-1779, parlement de Besançon 1741, Franche-Comté[a 677], ANF (1951).
- Dompierre d'Hornoy (de), trésorier à Amiens 1720, Picardie[a 678],[223], ANF (1934).
- Donin de Rosière, secrétaire du roi 1747-1771, Dauphiné[224],[a 679], ANF (1976).
- Donjon de Saint-Martin, secrétaire du roi 1731-1737, Artois[a 680].
- Doquin de Saint-Preux, Restauration, anoblie en 1816, Champagne[a 681].
- Doré-Graslin (olim Doré), secrétaire du roi 1785, en charge le 23 juin 1790, Bretagne[18] Noblesse non consensuelle.
- Dorlodot (de), extraction 1525, Champagne[a 682], ANF (2016).
- Doublet de Persan, secrétaire du roi 1670, Champagne, Paris[a 683],[225], ANF (1947).
- Doudinot de La Boissière, greffier en chef au bureau des finances de Limoges 1740-1755 et 1755-1759, Limousin[a 684], ANF (1977).
- Douezy et Douëzy d'Ollandon, extraction 1540, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1972).
- Douglas (de), ancienne extraction 1440, maintenue 1668, Écosse, Bourgogne[d 31], ANF (1945)[226].
- Douhet d'Auzers (de), anoblie 1483, baron d'Auzers 1579, Auvergne[a 685], ANF (1967).
- Douville de Franssu , et- Douville de Maillefeu (de), secrétaire du roi 1775-1780, Picardie (Abbeville)[réf. nécessaire], ANF (1956).
- Doynel de La Sausserie, extraction chevaleresque 1364, honneurs de la Cour, Normandie[LM 108], ANF (1957).
- Drée (de), extraction chevaleresque 1343, marquis en 1767[227], honneurs de la Cour 1782 et 1783, Drée, Bourgogne[a 686], ANF (1967).
- Dresnay (du), ancienne extraction 1424, honneurs de la Cour, Bretagne (Finistère)[a 687],[228],[LM 109], ANF (1971).
- Dreuille (de) ANF (1967) et Dreüille Sénecterre (de), ancienne extraction 1404, Bourgogne[a 688].
- Dreux-Brézé (de), secrétaire du roi 1594, marquis en 1685, honneurs de la Cour, Poitou[a 689], ANF (1940).
- Drier de Laforte, secrétaire du roi 1720, Dauphiné[229],[a 690].
- Drouas (de), secrétaire du roi 1628, Bourgogne[a 691], ANF (1939).
- Drouet de Montgermont, secrétaire du roi 1652, Bretagne[a 692],[LM 110], ANF (1963).
- Drouilhet de Sigalas, anoblie par L.P. données à Paris en [230] (Chaix d'Est-Ange rapporte que ces lettres ne furent pas visées et qu'elles furent annulées en 1664 puis il cite une fonction anoblissante (1696-1737) et un anoblissement en 1784), vicomte par L.P. du et du sur institution de majorat pour la branche cadette, Agen et Marmande en Guyenne[a 693], ANF (1935).
- Drouin de Bouville (de), extraction 1518, comte en 1767, Gâtinais[a 694], ANF (1933).
- Dubois de Hoves de Fosseux olim du Bois de Hoves de Fosseux, ancienne extraction 1491, Fosseux, Flandres/Artois[a 695].
- Dubois de La Cotardière, anoblie en 1817, Normandie[a 696],[LM 111].
- Dubois de La Patellière, anoblie en 1817, Bretagne[a 697],[LM 112].
- Duboys de Labarre, maréchal de camp 1788, brevet de pension le [231], Saint-Amant-de-Boixe en Angoumois[a 698], ANF (2004)[232].
- Dubuard, olim Marin-Dubuard, Empire, baron en 1811, Île-de-France[a 281], ANF (1959)[233]. Titre sans anoblissement.
- Duchassaing de Ratevoult, preuves de noblesse pour admission aux Écoles Royales Militaires le [234], Sainte-Alvère, Aquitaine[a 699], ANF (2004)[235].
- Duchaussoy Delcambre de Champvert, Second Empire, baron en 1864, Paris[a 700]. Titre sans anoblissement.
- Duchemin de Chasseval, secrétaire du roi 1765-1782, (mort en charge), Orléanais[a 701],[d 32], ANF (1985)[236].
- Duchesne de Lamotte, secrétaire du roi 1735-1755, Picardie[a 702], ANF (1933).
- Duclaux de L'Estoille, extraction 1509, Auvergne[a 703],[d 33], ANF (1985).
- Duclos de Bouillas, capitoul de Toulouse 1748[a 704], ANF (1954). (famille éteinte en ligne masculine).
- Dudon de Boynet, parlement de Bordeaux 1698, Guyenne[a 705], ANF (1968).
- Dufaure de Citres, extraction 1522, Vivarais, Velay[réf. nécessaire], ANF (1997).
- Dufour de Quetteville, anoblie sous le règne de Charles VII (confirmation en 1582), Normandie (Honfleur)[a 706],[b 15], ANF (1988).
- Dufourcq (de) et de Dufourcq de Salinis, admis aux États de Béarn 1772[a 707][réf. à confirmer].
- Dugaigneau de Champvallins, anoblie en 1676, Orléanais[a 708], ANF (2018).
- Dugas de la Boissonny, secrétaire du roi 1785, en charge le 23 juin 1790, Forez[18] Noblesse non consensuelle.
- Dugas de La Catonnière, baron en 1816, Saint-Martin-la-Plaine, Forez[a 709]. Titre sans anoblissement.
- Dugas du Villard, anoblie en 1777, Forez[a 709], ANF (1968).
- Dugon, (olim d'Hugon), preuves de noblesse 1565, maintenue de noblesse à l'intendance de Bourgogne par Bouchu en 1666, confirmation du titre de comte par L.P. du , Bergerac en Périgord[a 710], ANF (1933).
- Duhamel (olim Fougeroux), secrétaire du roi 1735, Paris[a 711], ANF (2006).
- Dujat des Allymes, secrétaire du roi 1739, Bugey, Béarn[d 32].
- Dulong de Rosnay, Empire, baron en 1813, comte en 1827, Champagne[a 712], ANF (1958). Titre sans anoblissement.
- Dumon, secrétaire du roi 1717 (mort en charge en 1725), Brie, Provence (Marseille)[237],[d 32].
- Dunoyer de Noirmont (olim Coffinhal), baron par lettres patentes du , Auvergne[238], ANF (2017). Titre sans anoblissement.
- Dunoyer de Segonzac, 1787 procès devant le parlement de Toulouse, Quercy[a 713], ANF (1963). Preuve non valide.
- Dupin de Saint-Cyr (branche cadette de la famille du Pin de La Guérivière, voir à la lettre P), ancienne extraction 1433, Poitou, Limousin, Périgord[a 714], ANF (1995).
- Dupin des Vastines, anoblie en 1583, Normandie[a 715], ANF (1957).
- Dupont de Compiègne, anoblie en 1640, Béarn[a 716].
- Dupont de Dinechin, anoblie en 1756 par décharge de franc-fief, Bourgogne (Charlieu)[d 34],[a 717], ANF (1956). (principe de noblesse contesté par Philippe du Puy de Clinchamps).
- Duport de Rivoire et - de Loriol, anoblie par lettres de relief en 1655 pour la branche de Loriol et en 1734 par charge de conseiller au parlement de Dombes pour la branche de Rivoire, comte en 1743 pour la branche de Loriol, Bresse (Nantua)[d 35],[a 718], ANF (1980).
- Dupré de Boulois, anoblie en 1821, Bourgogne[a 719], ANF (1973).
- Dupuy (olim Dupuy de Ruffieu), secrétaire du roi 1777, en charge le 23 juin 1790, Forez[18] Noblesse non consensuelle.
- Dupuy de La Grand'Rive, secrétaire du roi 1737, Auvergne[a 720], ANF (1949).
- Durand, anoblie en 1789, Languedoc[a 721], ANF (1982).
- Durand et - de Fontmagne, baron en 1816, Roussillon[a 722], ANF (1939). Titre sans anoblissement.
- Durand de Distroff et - de Villers, anoblie en 1596, Lorraine[a 723], ANF (1942).
- Durand de Gevigney, maintenue de noblesse en 1702, Franche-Comté[a 724], ANF (1975).
- Durand de Monestrol et - d'Esquilles, extraction, maintenue 1671, Languedoc[a 725], ANF (1985).
- Durant de Mareuil, Empire, baron en 1809, Champagne[a 726], ANF (1992). Titre sans anoblissement.
- Durant de Saint-André, baron en 1847, Champagne[a 726], ANF (1955). Titre sans anoblissement.
- Durat (de), ancienne extraction 1445, Guyenne, Auvergne[a 727], ANF (1948).
- Durègne de Launaguet, secrétaire du roi 1720, Béarn, Languedoc[réf. nécessaire], ANF (1962).
- Durey de Noinville, secrétaire du roi 1683, comte 1827, Bourgogne[réf. nécessaire], ANF (1991).
- Durfort-Civrac de Lorge (de), extraction chevaleresque 1262, duc de Lorge 1774, honneurs de la Cour, Languedoc, Guyenne, Bretagne[a 728],[LM 113], ANF (1944).
- Durival (olim Luton), Empire, chevalier en 1810, confirmé en 1817, anoblie en 1827, Calvados, Lorraine[a 729],[d 36],[239].
- Duroy de Suduiraut et - de Bruignac, Parlement de Bordeaux en 1654, baron en 1863 pour une branche éteinte, Guyenne[réf. nécessaire], ANF (1936).
- Durye, greffier en chef au bureau des finances de Moulins 1742-1753 et 1753-1775, Bourbonnais[a 730], ANF (1945).
- Dutheil de La Rochère, ancienne extraction 1467, maintenue en 1667 à Poitiers[240], Poitou (Vienne)[a 731], ANF (1955).
- Dutour de Salvert-Bellenave, anoblie par charge de secrétaire du roi 1710[241], Riom (Puy de Dôme) en Auvergne[a 732], ANF (2013)[242].
- Duval de Fraville, Empire, baron en 1820, Champagne[a 733]. Titre sans anoblissement.
- Duverney ou Verney (Du), trésorier à Grenoble 1746-1771, Dauphiné[243], Roussillon[244],[245], ANF (1997).
E
[modifier | modifier le code]- Eblé (olim Billebaut) Second Empire, comte en 1867, Lorraine[a 734]. Titre sans anoblissement.
- Eimar de Jabrun et - de Palaminy de Laloubère (d') (alias Aimar), capitoul de Toulouse 1727, Marvejols en Gévaudan, Languedoc[a 735], ANF (1938).
- Elbée (d'), extraction 1500, Orléanais[a 736], ANF (1938).
- Elbreil (d'), Cour des aides de Montauban 1750, Quercy[a 737], ANF (1977).
- Élie-Lefebvre, anoblie en 1788, baron 1822, Normandie[a 738].
- Encausse de Ganties (d') et - de Labattut (d'), extraction 1549, maintenue par Legendre le (pour la branche de Ganties)[246], Encausse dans le Comminges, ANF (1952). (pour la branche de Labatut).
- Ernault de Moulins, échevin d'Angers 1589, Anjou[réf. nécessaire], ANF (1979).
- Ertault de la Bretonnière, échevin de Nantes 1662, Bretagne[LM 114].
- Escatha (d'), maintenue de noblesse par Bezons le (avec des titres faux), révocation de noblesse le (avec 2 000 livres d'amende), puis maintenue par le Conseil d'État en 1751 et L.P. du , Saint-Astier en Périgord[a 739].
- Esclaibes (d'), extraction chevaleresque 1290, Hainaut, Bourgogne[a 740],[d 1], ANF (1936).
- Escrots d'Estrée (d'), ancienne extraction 1472, Bourgogne, Bretagne[LM 115], ANF (1961).
- Esmangart de Bournonville, anoblie en 1776, Île-de-France[réf. nécessaire], ANF (1993)[247].
- Espagnet (d'), Parlement de Provence 1573, Brignoles en Provence[248], ANF (1976).
- Espaigne de Venevelles (d'), extraction chevaleresque 1373, honneurs de la Cour, reconnaissance du titre de marquis par décret impérial en 1861, Maine[a 741].
- Espalungue d'Arros (d'), anoblissement 1496, qualification noble 1520, Béarn[a 742], ANF (1948).
- Esparron (d'), maintenue en 1789, Esparron-de-Pallières en Provence[a 743], ANF (1951).
- Esperies (d'), maintenue en 1780, Languedoc (Le Vigan)[réf. nécessaire], ANF (1991).
- Espic de Ginestet (d'), une branche relève le nom de Palaminy-Puivert, anoblie en 1741 par charge de conseiller maître en la Chambre des comptes de Montpellier[249], Languedoc, ANF (1949).
- Espinay (d'), anoblie en 1608, Normandie, Poitou (branche cadette)[250],[a 744].
- Espinay Saint-Luc (d'), extraction chevaleresque 1352, honneurs de la Cour, Normandie[251][réf. à confirmer], ANF (1935).
- Espine (d') ou Despine, baron en 1782, transféré par adoption (1794) et par autorisation royale (patentes royales de 1841), Savoie/Suisse[Foras 15],[a 745] ANF (1979).
- Espinose (d'), anoblissement par charge d'échevin de Nantes en 1594, maintenue en 1669, Bretagne[a 746].
- Espivent de La Villesboisnet et - de Catuelan, ancienne extraction 1427, Bretagne[LM 116], ANF (1980).
- Estampes (d'), anoblie par lettres patentes en 1392, honneurs de la Cour, Berry[a 747],[Jougla 30],[252], ANF (1981).
- Esterno (d'), ancienne extraction 1415, comte en 1724, honneurs de la Cour, Franche-Comté[Jougla 31], AN (1946).
- Estève, Empire, comte en 1809[d 37], Languedoc, ANF (1970). Noblesse non consensuelle.
- Estienne de Saint-Jean de Prunières (d'), anoblissement par charge (président à mortier au Parlement de Provence 1572), Aix-en-Provence en Provence/Dauphiné[253],[Jougla 32],[a 748], ANF (1936).
- Estienne d'Orves (d'), même famille que la précédente, anoblissement par charge (président-trésorier général de France en Provence 1639), Aix-en-Provence en Provence[Jougla 33], ANF (1935).
- Estourneau de Tersannes, Poitou, Bretagne[LM 117], ANF (1951).
- Estresse de Lanzac de Laborie (d'), extraction 1534, maintenue en 1667, Limousin[254][réf. à confirmer].
- Estriché de Baracé (d'), secrétaire du roi 1736, Anjou[réf. nécessaire], ANF (1992).
- Estutt d'Assay (d'), ancienne extraction 1474, honneurs de la Cour, Écosse, Bourgogne[réf. nécessaire], ANF (1968).
- Eudes d'Eudeville, secrétaire du roi 1629-1665, Normandie (Caudebec)[LM 118]
- Everlange de Bellevue (d'), extraction 1545, Luxembourg, Lorraine[réf. nécessaire], ANF (1981).
F
[modifier | modifier le code]- Fabre de Latude (de), extraction 1551, maintenue 1724, Languedoc[a 749].
- Fabre de Roussac, Empire, baron en 1810, baron héréditaire en 1816, Languedoc[a 750], ANF (1981). Titre sans anoblissement.
- Fabry (de), Empire 1810, baron en 1811, Rians puis Brignoles en Provence[a 751],[255],[LM 119], ANF (1987). Titre sans anoblissement.
- Fages de Latour de Rochemure (de), extraction 1520, Languedoc, Périgord[a 752], ANF (1967).
- Failly (de), extraction 1509, Champagne[a 753],[256], ANF (1958).
- Fain, Empire, baron en 1809, Paris, Île-de-France[a 754], ANF (1959). Titre sans anoblissement.
- Falcon de Longevialle, secrétaire du roi 1719-1739, Gévaudan, Auvergne[a 755], ANF (1935).
- Falguerolles (de), extraction 1530, maintenue 1702, Languedoc[a 756].
- Fallois (de), anoblie en 1704, Lorraine[a 757].
- Falvelly (de), secrétaire du roi 1777, en charge le 23 juin 1790, Auvergne[18]. Noblesse non consensuelle.
- Fanget (de), anoblie en 1476, admise aux États de Béarn en 1631, Béarn[a 758].
- Faramond (de) et Framond (de), ancienne extraction 1435, Rouergue, Gévaudan[a 759], ANF (1997).
- Farcy de Pontfarcy (de) et - de Lavilledubois (de), lettres de confirmation de noblesse et d'anoblissement en tant que besoin en 1643, Normandie, Maine, Bretagne[a 760], ANF (1995).
- Faubournet de Montferrand (de), ancienne extraction 1407, honneurs de la Cour, Périgord[a 761], ANF (1950).
- Faucher (de), extraction 1519, maintenue 1697, Comtat Venaissin[a 762].
- Faucher de La Ligerie (de), anoblie 1594, Chermignac, Périgord/Saintonge[a 763], ANF (1939).
- Faucigny-Lucinge (de), extraction chevaleresque 1180, honneurs de la Cour, prince en 1828, cousin du roi, Savoie[Foras 16],[a 764].
- Fauconpré/Fauconpret (de), secrétaire du roi 1773, admission au Collège Mazarin en 1782, en charge le [18], une seconde branche anoblie par lettre en 1778, selon Chaix d'Est-Ange, Flandres[a 765]. (Noblesse non consensuelle).
- Faultrier (de), maréchal de camp 1788, Bourgogne, Lorraine[a 766], ANF (1938).
- Fauque de Jonquières (de), anoblie par deux arrêts successifs du parlement de Provence du et du , Roussillon en Provence[a 767].
- Faur de Pibrac (du), ancienne extraction 1444, Languedoc[a 768], ANF (1962).
- Faure (de), capitoul de Toulouse 1643, Roussillon[réf. nécessaire][a 178], ANF (1978).
- Favier du Noyer de Lescheraine (ajout de Lescheraine par adoption, décret du ), président du Sénat de Savoie en 1610, baron en 1750, Savoie (Curienne)[Foras 17], ANF (2007).
- Favre d'Echallens de La Paillerie (anciennement Favre), r.n.f. 1755, Poitou (Chaix d'Est-Ange rapporte qu'elle pourrait être issue d'une famille originaire de Lorraine mais sans preuves)[a 769], ANF (1977).
- Faÿ (de) et - Faÿ d'Athies (de), ancienne extraction 1402, Puisieux-et-Clanlieu, Picardie[réf. nécessaire], ANF (1967).
- Faydit de Terssac (de), extraction chevaleresque 1361, honneurs de la Cour, Saint-Lizier, Limousin, Languedoc[réf. nécessaire], ANF (1953).
- Fayet (de), (de Peychaud), secrétaire du roi 1590, Ambarès-et-Lagrave, Guyenne/Normandie[a 770], ANF (1990).
- Fayet de la Tour (du), ancienne extraction 1421, Auvergne[a 771], ANF (1945).
- Fayet de Montjoye (de), maintenue 1717, Gévaudan[a 772], ANF (1947).
- Fayolle (de), extraction chevaleresque 1330, marquis en 1724, Périgord[a 773], ANF (1938). (Famille éteinte en ligne masculine)
- Féraudy (de), maintenue noble en 1769, Auvergne[a 774], ANF (1937).
- Férault de Falandre, anoblie en 1653, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1939).
- Feray, anoblie en 1775, Normandie[a 775], ANF (1953).
- Ferluc (de), capitoul de Toulouse 1718, Quercy, Languedoc[a 776], ANF (1959).
- Fernex de Mongex, comte par L.P. du Roi de Sardaigne le , Mégevette en Savoie[Foras 18],[a 777], ANF (2000).
- Ferrand de La Conté, anoblie aux francs-fiefs 1471, Saint-Sauveur-Lendelin, Poitou[a 778], ANF (1961).
- Ferrier du Chatelet (de), secrétaire du roi 1740-1748, baron en 1843, Salon-de-Provence en Provence, Luxeuil-les-Bains en Franche-Comté[a 779].
- Ferrier de Montal (de), deux docteurs en droit d'Avignon 1558 et 1683, Comtat Venaissin, Dauphiné[257],[a 780],[d 38]. Noblesse non consensuelle en France.
- Ferrières de Sauvebœuf (de), ancienne extraction 1483, Périgord, Limousin[réf. nécessaire], ANF (1944).
- Ferron du Chesne (de), extraction chevaleresque 1381, (Branche de La Ferronnays éteinte, honneurs de la Cour) Bretagne[258],[LM 120], ANF (1948).
- Ferry et - de Fontnouvelle (de) ANF (1957) et de Ferry, ANF (1975), ancienne extraction 1476, Provence (Revest-du-Bion)[réf. nécessaire].
- Feuardent (de), extraction 1537, Normandie[a 781], ANF (1970).
- Feydeau de Saint-Christophe (de), anoblie (relief) en 1771, Marche (Felletin puis Bellac) puis Angoumois (Saint-Christophe)[a 782], ANF (1938).
- Finance (de), - d'Attigny, - de Claibois, - de Valcourt, noblesse 1577, Lorraine[réf. nécessaire], ANF (1970).
- Fitte de Garies (de), capitoul de Toulouse 1738, Languedoc[réf. nécessaire], ANF (1980)[a 281].
- Fleurian (de), maintenue de noblesse le , maintenue le sur preuves remontant à 1583, Comminges, Saintonge[a 783], ANF (1956).
- Fleuriot de La Coliniere (de), maintenue en 1732 à Rennes[d 39], Nantes, Ancenis, Île Maurice[a 784]. (principe de noblesse de la branche ainée éteinte à confirmer pour la branche cadette subsistante).
- Fleuriot de Langle, ancienne extraction 1427, Bretagne[a 785],[LM 121], ANF (1967)
- Fleuriot de Touchelongue, secrétaire du roi 1785 ou 1771, en charge le 23 juin 1790, Poitou[18]. Noblesse non consensuelle.
- Fleury (de), extraction 1530, maintenue le par la Cour des aides de Montpellier (principe de noblesse remis en question par Chérin), Languedoc (Hérault)[d 1]
- Flury-Hérard, Empire, chevalier en 1811, confirmé en 1814 et 1866, Versailles[a 786],[d 39]. Titre sans anoblissement.
- Foäche, charge inachevée de secrétaire du Roi, Restauration, baron en 1823, Normandie[259].
- Folin (de), Parlement de Dijon 1593, marquis en 1717, Bourgogne[a 787], ANF (1957).
- Fontaine de Resbecq (de), maintenue par lettres du 16 mars 1769, Cambrésis, Flandre, ANF (1965).
- Fontaines (de), ancienne extraction 1463, Normandie[a 788], ANF (1938).
- Fontanges (de), extraction chevaleresque 1373, honneurs de la Cour, Auvergne[a 789], ANF (1957).
- Fontenay (de), ancienne extraction 1460, Normandie (Mortain)[a 790],[d 39].
- Foras (de), extraction chevaleresque 1392, Savoie[Foras 19], ANF (1986).
- Forcade La Roquette (de)[a 791], anoblie en 1651 (lettres de relief), maintenue en 1697, Agenais[a 792],[d 40], ANF (1938).
- Forceville (de), ancienne extraction 1422, maintenues 1667 et 1700, Picardie[a 793].
- Foresta (de), extraction 1519 pour la branche de Provence (Christophe de Foresta, qui était médecin du roi, eut des lettres de naturalité de Louis XII en [260]) ou agrégé par inféodation (se reporter à la source, pages 298 à 299)[49], maintenue en 1668, Italie (Ligurie), Provence. Une autre branche implantée dans le Comté de Nice est redevenue italienne après 1860, ANF (1948).
- Forestier de Coubert (de), Restauration, vicomte en 1822, Genève, Île-de-France[a 794]. Titre sans anoblissement.
- Forges (de), (de La Boucelaye), ancienne extraction 1441, Rieux, Bretagne[LM 122].
- Forges de Parny (de), extraction chevaleresque 1353, honneurs de la Cour, Berry[réf. nécessaire], ANF (1949).
- Forsanz (de), ancienne extraction 1467, maintenue de noblesse par la chambre de réformation de Bretagne le à Rennes[261], pages de la Grande Écurie le [262], Plestin-les-Grèves en Bretagne[LM 123], ANF (1942).
- Fortescu (de), ancienne extraction 1463, Normandie[b 16].
- Forton (de), preuves de noblesse en 1758, marquis en 1817, Languedoc[a 795], ANF (1935).
- Fou (du) et Fou de Kerdaniel (du), ancienne extraction 1426, comte en 1817, Bretagne[LM 124], ANF (1947).
- Foucaud et d'Aure (de), extraction chevaleresque 1329, conseiller au Parlement de Toulouse le , Gaillac en haut Languedoc[a 796],[263], ANF (1956).
- Foucauld (de), - de Malembert, - de Pontbriand , extraction chevaleresque 1298, honneurs de la Cour, Périgord[a 797], ANF (1963).
- Foucher de Brandois[a 798], extraction chevaleresque 1245, Poitou[réf. nécessaire], ANF (1940).
- Foucher de Careil[a 799], ancienne extraction 1451, Anjou, Bretagne[LM 125].
- Fouchier (de)[a 800], ancienne extraction 1492, Poitou[réf. nécessaire], ANF (1957).
- Fougeroux de Campigneulles (de), Restauration, anoblie en 1817, Picardie (Campigneulles-les-Grandes)[a 801], ANF (1943).
- Fougières (de), ancienne extraction 1480, Berry, Poitou[a 801], ANF (1977).
- Foulhiac de Padirac (de), capitoul de Toulouse 1756, Rignac (Lot), Quercy[a 802], ANF (1966).
- Fouquet (de), extraction 1538, Anjou[a 803].
- Fournas de La Brosse (de) et - de Fabrezan, anoblie en 1615, Languedoc (Carcassonne)[a 804], ANF (1948).
- Fraguier (de), Chambre des comtes de Paris 1503, Île-de-France[réf. nécessaire], ANF (1957).
- Fraix de Figon (de), extraction 1538 (R. Valette)[réf. nécessaire] ou agrégé à la noblesse au XVIIIe siècle sans principe régulier de noblesse (G. Chaix d'Est-Ange), Velay[a 805], ANF (1972).
- Framond (de) (voir aussi Faramond (de)), maintenue noble d'extraction en 1700 dans la généralité de Montauban, preuves pour les écoles royales militaires en 1786, Rouergue[réf. nécessaire], ANF (1997).
- France (de), extraction chevaleresque 1362, maintenue de noblesse le , Guignen en Bretagne[a 806],[LM 126], ANF (1959).
- France (de), - de Noyelles et - d'Hezecques, anoblie en 1585, marquis de Noyelles-Wyon par L.P. de , et marquis de Mailly par LP de , Arras, Artois[a 807], ANF (1934, pour la branche d'Artois).
- France (de), extraction 1543, maintenue le par Nicolas Bretel de Grimonville et le par Lefebvre de Caumartin, intendant de Champagne, Crugny en Champagne[a 808], ANF (1958 pour la branche de Champagne).
- Francheville (de), - du Pélinec , ancienne extraction r.n.f. 1477, Écosse, Bretagne[LM 127], ANF (1967).
- François de Ponchalon (des), anoblie en 1767[a 809],[a 810], ANF (1955).
- Francqueville (de) et Francqueville d'Abancourt (de), anoblie en 1678, Cambrésis[réf. nécessaire], ANF (1951).
- Frédy de Coubertin (de), anoblie en 1629. Baron en 1821 pour une branche éteinte, Italie, Île-de-France[LM 128].
- Freslon de La Freslonnière (de), extraction chevaleresque 1386, honneurs de la Cour, Bretagne[LM 129], ANF (1938).
- Fresne de Beaucourt (du), mort en charge d'Alexandre Dufresne (1692-1763), conseiller-secrétaire du Roi en la Grande Chancellerie, père de Charles maintenu noble en 1785, Picardie[a 811],[220], ANF (1936).
- Fresne de Virel (du), ancienne extraction 1426, Bretagne[LM 130], ANF (1940).
- Fresnoye de Flers (de), extraction 1550, baron de Landrethunn en 1667, Boulonnais[réf. nécessaire], ANF (1942).
- Fresquet (de), secrétaire du roi 1712, Guyenne[réf. nécessaire], ANF (1973).
- Frévol d'Aubignac de Ribains, maintenue 1753, Velay[a 812], ANF (2019).
- Frizon de Lamotte de Règes, anoblie en 1687, Champagne[d 41], ANF (1982).
- Froidefond des Farges (de), extraction, maintenue 1704, Périgord[réf. nécessaire], ANF (1992).
- Froissard de Bersaillin (de) et Froissard de Broissia (de) ancienne extraction 1447, anoblie par charge de conseiller en la Chambre des comptes de Dole en 1590 selon F. de Saint-Simon[264], marquis de Froissard de Bersaillin en 1748 (dit "marquis de Froissard")[b 17], marquis de Broissia par lettres patentes d'[b 18], Bourgogne et Franche-comté[a 813], ANF (1945).
- Froment (de), Restauration, baron héréditaire le (titre sans anoblissement), Marche, Bourbonnais[d 41],[a 814], ANF (2012).
- Fromont de Bouaille (de), maintenue 1717, Normandie[a 815], ANF (1960).
- Frotier de La Messelière, - de La Coste-Messelière, - de Bagneux, extraction chevaleresque 1393, maintenue en 1667, honneurs de la Cour, Poitou, Angoumois[d 41],[a 816], ANF (1933).
- Frotté (de), secrétaire du roi 1541, Bourbonnais, Normandie[a 817].
- Fry (de), anoblie 1596, maintenue 1668, Normandie[a 818]. (Famille éteinte en ligne masculine)
- Fumel (de), extraction chevaleresque 1388, honneurs de la Cour en 1753[265], certificat de noblesse du pour être admis comme élève de la marine[266], Fumel en Agenais[267], ANF (2005).
G
[modifier | modifier le code]- Gaalon (de), anoblie en 1691, Normandie, Martinique, Guadeloupe[a 819],[Jougla 34],[LM 131], ANF (1990).
- Gaborit de Montjou, maire de Poitiers 1747, Poitou[a 820], ANF (1954).
- Gail (de), anoblie 1573, Alsace[a 821], ANF (1968).
- Gaillard de Saint Germain, anoblie vers 1750 par la charge de conseiller-secrétaire du roi, Beauvaisis[a 822], ANF (1950).
- Gaigneau de Champvallins (du), anoblie en 1676, Orléanais[a 823], ANF (2018).
- Galand de Longuerue, secrétaire du roi 1768, Picardie[a 824].
- Galard de Brassac de Béarn (de), extraction chevaleresque 1303, comte de Brassac en 1609, honneurs de la Cour, Gascogne[a 825], ANF (1936).
- Galard Terraube (de), extraction chevaleresque 1320, marquis en 1683, honneurs de la Cour, Gascogne[a 825], ANF (1936).
- Galbaud du Fort, Chambre des comptes de Bretagne 1766, Bretagne[a 826],[LM 132], ANF (1949).
- Galbert (de), ancienne extraction 1458, Dauphiné[a 827], ANF (1966).
- Gallery des Granges et de Gallery de La Servière, anoblie en 1656, Basse-Normandie (Domfront)[a 828], ANF (1985).
- Galliard de Lavernée, anoblie en 1656, Franche-Comté[d 42], ANF (1987).
- Gallier (de) et Gallier de Saint Sauveur (de) olim Ginouze, anoblie en 1750 (lettres patentes d'anoblissement à la suite de l'exercice de la charge de chevalier d'honneur au bureau des finances de Grenoble depuis 1745), Dauphiné[268].
- Gamet de Saint-Germain, secrétaire du roi 1786, en charge le 23 juin 1790, Besançon[18] Noblesse non consensuelle.
- Ganay (de), Chambre des comptes de Dijon 1628, maintenue de noblesse par Bouchet le [269], Chassenay en Bourgogne[a 829], ANF (1968).
- Ganne de Beaucoudrey, secrétaire du roi 1774, Normandie[a 830], ANF (1968).
- Gantelet d'Asnières de Sales (alias Gantelet d'Asnières), -et de Veuillet de Vigie (de) (anciennement Veigy) (branche de Pondichéry), voir Dasnières de Veigy (ci-dessus), anoblie 1615 et 1628, vérifié 1639[204], Vallières (Savoie)[a 831].
- Gantès (de), Parlement de Provence (au XVIIe siècle ?), honneurs de la Cour 1765[270], Cuers en Provence, Artois[a 832], ANF (1955).
- Gardane (de), Empire, comte d'Empire le , Marseille en Provence[a 833], ANF (1965). Titre sans anoblissement.
- Gardin du Boisdulier, secrétaire du roi 1720, Bretagne[LM 133].
- Garempel de Bressieux (de), Empire, baron en 1810, Dauphiné[réf. nécessaire], ANF (1953). Titre sans anoblissement.
- Garnier de Boisgrollier de Ruolz, extraction 1517, Poitou[d 43], ANF (2013).
- Garnier de Falletans, Parlement de Dole 1586, Gy en Franche-Comté[a 834], ANF (1982).
- Garnier des Garets d'Ars (de), anoblie (confirmée) en 1644, Beaujolais[a 835], ANF (1940).
- Garnier de Labareyre, baron en 1818, Vivarais[d 43],[a 836], ANF (1989). (selon Jules Villain extraction 1450[271])
- Garnier de La Villesbret, maintenue en 1670, Champagne, Bretagne[a 837], ANF (1973).
- Garreau de La Méchenie (du), extraction 1541, Limousin[a 838],[LM 134], ANF (1950).
- Garrigues de Flaujac (de), anoblie (maintenue) en 1784[b 19], Quercy[a 839], ANF (1975).
- Garron de La Bévière (de), anoblissement 1664, certificat de sous-lieutenance du , Châtillon en Bourgogne[a 840], ANF (2003)[272].
- Gary (de), capitoul de Toulouse 1771, baron en 1809, Quercy[a 841].
- Gasquet (de), avocat général à la Chambre des requêtes du Parlement de Provence le [273], Cuers en Provence[274].
- Gasté (de), secrétaire du roi 1752, Maine[a 842],[LM 135].
- Gastebled (de), extraction 1539, Normandie[a 843].
- Gaudart d'Allaines (de), ancienne extraction 1494, Beauce[a 844], ANF (1950).
- Gaudemaris (de), deux docteurs en droit d'Avignon 1733 et 1757, marquis en 1755, Comtat-Venaissin[a 845], ANF (1962).
- Gaudemont de la Monforière (de), extraction, maintenue en 1668, Bretagne[a 846],[LM 136], ANF (1995).
- Gaudin de Lagrange, secrétaire du roi 1746-1768, Paris, Comtat-Venaissin[a 847], ANF (1953).
- Gaudin de Saint-Rémy, anoblie en 1676, Maine[a 848], ANF (1980).
- Gaudin de Villaine, anoblie en 1587[b 20], Normandie (Mortain)[a 849], ANF (2015).
- Gaufridy de Dortan (de), extraction 1546, Apt en Provence[275],[a 850].
- Gaulejac (de), ancienne extraction 1484, Quercy[a 851], ANF (1953).
- Gaullier des Bordes et - de La Grandière, anoblie en 1785, baron de Gaullier des Bordes en 1825, Orléanais, Touraine[a 852], ANF (1956).
- Gaulmyn (de), extraction 1539, Bourbonnais[réf. nécessaire], ANF (1936).
- Gaultier de Carville, ancienne extraction 1472, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1967).
- Gaultier de La Ferrière, Empire, chevalier en 1810, Touraine (Loches)[276]. Titre sans anoblissement.
- Gaultier de Saint-Basile, extraction 1541, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1947).
- Gautier de Charnacé, secrétaire du roi 1773, en charge le 23 juin 1790, baron en 1810 (confirmé en 1816), Île-de-France[18], ANF (1950).
- Gay de Nexon, preuves de noblesse 1587, Limousin[réf. nécessaire], ANF (1967).
- Gayardon de Fenoyl (de), ancienne extraction 1432[b 21], Lyonnais, ANF (1975).
- Gayffier (de), ancienne extraction 1446, maintenue en 1670, Gévaudan, Auvergne[277]
- Gazeau (de), ancienne extraction 1446, Poitou[LM 137].
- Gazet du Châtellier, échevin de Nantes 1576, Bretagne[LM 138], ANF (1971).
- Geffrier (de), anoblie en 1820, Larochemillay, Orléanais[réf. nécessaire], ANF (1939).
- Geffroy de Villeblanche, anoblie en 1653, vicomte en 1816, Bretagne (Quimperlé, puis Hennebont)[d 44], ANF (1978).
- Gelis (de), trésoriers à Montauban 1723 et 1762, Languedoc[278], ANF (1957).
- Genet de Chatenay, anoblie en 1823, Picardie[réf. nécessaire], ANF (1981).
- Gennes (de), maire de Poitiers 1679, Poitou[réf. nécessaire], ANF (1991).
- Gentil, Restauration, anoblie par L.P. du [279], Franche Comté.
- Gentil de Rosier (de), extraction 1515, Limousin, Marche[réf. nécessaire], ANF (1992).
- Gentile (de) (olim Avogari), maintenue noble en 1771, Corse[réf. nécessaire], ANF (1998).
- Genty de la Borderie, secrétaire du roi 1781, en charge le 23 juin 1790, Limousin[18] Noblesse non consensuelle.
- Geoffre de Chabrignac (de), ancienne extraction, maintenue noble en 1789 après dérogeance, Limousin, Dauphiné[b 22], ANF (1951).
- Geoffroy (de), secrétaire du roi 1737, Champagne, Île-de-France[280][réf. à confirmer].
- Geoffroy d'Assy (de), secrétaire du roi 1731, Brie[réf. nécessaire], ANF (1970).
- Geoffroy du Rouret (de), extraction 1517, Le Rouret, Provence[réf. nécessaire], ANF (1966).
- Georgette du Buisson de La Boulaye, Restauration, vicomte héréditaire par L.P. du [281], Coutances en Normandie. Titre sans anoblissement.
- Gérard du Barry et de Saint-Quentin (de), extraction 1510, Majorque (Îles Baléares), Périgord[LM 139], ANF (1938).
- Gérault de Langalerie (de), ancienne extraction 1486, maintenue de noblesse du , Guyenne, Agenais, ANF (2008)[282][réf. nécessaire].
- Gères (de), extraction 1533, Guyenne[réf. nécessaire], ANF (1981).
- Gérin-Ricard (de), anoblissement par charge de conseiller secrétaire du roi en 1756[49], Toscane, Marseille en Provence[réf. nécessaire], ANF (1937).
- Germain (de), Chambre des comptes de Montpellier 1694-1696 et 1696-1766, Languedoc[réf. nécessaire], ANF (1978).
- Germay (de) et Germay de Cirfontaine (de) (olim Certain de Germay de Cirfontaine), secrétaire du roi 1704-1726, Lorraine, Champagne[a 853], ANF (1972).
- Gervais de Rouville, maintenue de noblesse d'extraction par un arrêt du Conseil d'État du , signé d'Aguesseau et Chauvelin[283][réf. nécessaire].
- Gestas de Lesperoux (de), ancienne extraction 1458, honneurs de la Cour, Gascogne, Champagne[réf. nécessaire], ANF (1995).
- Geyer d'Orth (de), extraction en Suède 1533, r.n.f. 1701, Suède, Alsace[LM 140], ANF (1965).
- Ghaisne de Bourmont (de), Restauration, pair héréditaire sous le titre de baron en 1828, Anjou[d 45], ANF (1946).
- Gibon (de), extraction chevaleresque 1370, honneurs de la Cour, Bretagne[LM 141], ANF (1961).
- Gigou (de), extraction 1523, Poitou[réf. nécessaire], ANF (1985).
- Gilart de Keranflec'h, extraction 1503, Bretagne (Finistère)[LM 142], ANF (1938).
- Gilbert de Vautibault, secrétaire du roi 1775-1785, Touraine[réf. nécessaire], ANF (1989).
- Gillet d'Auriac de Brons, secrétaire du roi 1708, Auvergne[réf. nécessaire], ANF (1979).
- Gillet de Chalonge, Chambre des comptes de Dijon le , Beaune en Bourgogne[réf. nécessaire], ANF (1945).
- Ginestel (de), extraction 1547, Rouergue[réf. nécessaire].
- Ginestous (de), extraction chevaleresque 1215, honneurs de la Cour, Languedoc[réf. nécessaire].
- Ginestous de La Liquisse (de), extraction chevaleresque 1215, Languedoc, ANF (2022).
- Girard de Charbonnières du Rozet (de), anoblie par L.P. de , maintenue par Fortia en 1668[284][réf. non conforme]. Vicomte par L.P. du pour une branche éteinte, Auvergne[285], ANF (1934).
- Girard de Charnacé (de), ancienne extraction 1500, Anjou[réf. nécessaire], ANF (1945).
- Girard de Pindray, extraction 1541, Poitou[réf. nécessaire], ANF (1954).
- Girard de Saint-Gérand, Chambre des comptes de Dijon 1699-1719, Bourgogne (Châlon-sur-Saône)[réf. nécessaire], ANF (1951).
- Giraud d'Agay (de), anoblie en 1708, Draguignan, Provence[réf. nécessaire], ANF (1974).
- Girot de Langlade, Restauration, baron Girot par L.P. du 30 août 1827 (titre personnel). Monarchie de Juillet, baron de Langlade par L.P. du 23 octobre 1834 sur réversion du titre et des terres du baron Favard de Langlade[d 46]. Dignité de pair de France en 1845, Château de Langlade, Auvergne, ANF (2008).
- Girval (de), maintenue noble en 1743, Châtillon-sur-Seine en Bourgogne[286][réf. à confirmer], ANF (1984).
- Gislain de Bontin (de), extraction, maintenue 1666, Bourgogne[réf. nécessaire], ANF (1946).
- Goësbriand (de), extraction chevaleresque 1328, honneurs de la Cour, Bretagne (Finistère)[LM 143], ANF (1980).
- Goguet de La Salmonière, Chambre des comptes de Bretagne 1734, Bretagne[LM 144], ANF (1978).
- Goislard de Monsabert (de), secrétaire du roi 1608-1643, Anjou[réf. nécessaire], ANF (1934).
- Gondallier de Tugny et - de Tugny-Vergennes, anoblie en 1677, baron en 1812, Champagne. Une branche a relevé le nom de Vergennes et porte Gondallier de Tugny-Vergennes par adoption[réf. nécessaire], ANF (1994).
- Gontaut-Biron (de), extraction chevaleresque 1124, comte en 1810, honneurs de la Cour, Périgord, Gascogne, Ile-de-France[réf. nécessaire], ANF (1935).
- Gorguette d'Argœuves (de), ancienne extraction 1491, Picardie[réf. nécessaire], ANF (1946).
- Gouberville (de) (olim Picot), noblesse prouvée 1578, Normandie[287][réf. à confirmer], ANF (1974).
- Goudon de Lalande de L'Héraudière, anoblie en 1703, comte en 1868, Poitou[réf. nécessaire], ANF (1956).
- Goué (de), extraction 1526, Poitou[réf. nécessaire], ANF (1981).
- Gouhier de Fontenay, ancienne extraction 1424, Normandie (Orne)[réf. nécessaire], ANF (1939).
- Goujon de Grondel, maréchal de camp 1788, Alsace, Bretagne[LM 145].
- Goujon de Thuisy, anoblie en 1523, marquis en 1680, Reims en Champagne[réf. nécessaire].
- Goulaine (de), extraction chevaleresque 1304, Bretagne (Nantais)[LM 146], ANF (1938).
- Goullard d'Arsay (de), extraction chevaleresque 1349, Vouillé (Deux-Sèvres), Poitou[288], ANF (1938).
- Goullet de Rugy, lettres de confirmation de noblesse et d'anoblissement en tant que de besoin en 1785, Lorraine[réf. nécessaire], ANF (1945).
- Goupil des Pallières, anoblissement en 1820, Ile-de-France[289]
- Gourcuff (de), extraction 1512, maintenue en 1669 à Rennes, Bretagne (Finistère)[290], ANF (1980).
- Gourcy (de), extraction chevaleresque 1270, comte en 1713, Barrois[b 23], ANF (1934).
- Gourgaud et - du Taillis, Empire, baron 1812, Île-de-France[réf. nécessaire], ANF (1956). Titre sans anoblissement.
- Gourlez de La Motte, Empire, baron en 1808, Bretagne[LM 147], ANF (1979). Titre sans anoblissement.
- Gourmont (de), ancienne extraction 1498, marquis en 1866, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1956).
- Goury du Roslan, baron en 1846, Ile-de-France (Brie), Bretagne[LM 148]. Titre sans anoblissement.
- Goussencourt (de), ancienne extraction 1427, Picardie[réf. nécessaire], ANF (1970).
- Gouvello de Keriaval (de), Le Gouvello de La Porte et - du Timat, ancienne extraction 1443, honneurs de la Cour, Bretagne[LM 149], ANF (1936).
- Gouvion Saint-Cyr (de), Empire, comte en 1808, marquis en 1817, Lorraine[réf. nécessaire], ANF (1977). Titre sans anoblissement.
- Gouyon de Coipel (de), ancienne extraction 1400, Bretagne[LM 150], ANF (1950).
- Gouyon-Matignon (de) et Gouyon de Pontouraude, extraction chevaleresque 1209, honneurs de la Cour, Bretagne[LM 151], ANF (1934).
- Gouzillon de Bélizal (de), ancienne extraction 1486, Bretagne (Finistère)[réf. nécessaire], ANF (1959).
- Goyon (de), secrétaire du roi 1699-1718, duc de Feltre par décret du (sur réversion du titre de duc de Feltre créé en 1809 en faveur de Henri-Jacques Clarke et éteint en 1852 avec le fils de ce dernier)[291], Gascogne (Condom).
- Goÿs de Mézeyrac (de), extraction chevaleresque 1327, Vivarais[réf. nécessaire], ANF (1959).
- Grailly (de), ancienne extraction 1405, Savoie (Pays de Gex), Guyenne[292],[Foras 20], ANF (1934).
- Grammont (de) et Grammont-Crillon (de), extraction chevaleresque 1335, marquis en 1718, honneurs de la Cour, Franche-Comté[293][réf. à confirmer], ANF (1940).
- Gramont (de), extraction chevaleresque 1381, duc en 1648 (la Branche de Lespare a relevé Moncey de Conegliano en 1913), Comminges, Béarn[réf. nécessaire], ANF (1951).
- Grandin de L'Eprevier, secrétaire du roi 1784, en charge le 23 juin 1790, Limousin[18] Noblesse non consensuelle.
- Grandsaignes d'Hauterive (de), secrétaire du roi 1731, Rouergue[294], ANF (1935).
- Granges de Surgères (de), extraction chevaleresque 1261, honneurs de la Cour, Mauléon (Deux-Sèvres), Poitou[réf. nécessaire], ANF (1983).
- Granier de Cassagnac (de), extraction, maintenue noble 1668, Armagnac[réf. nécessaire], ANF (1952.
- Grasse (de), extraction chevaleresque 1341, honneurs de la Cour, Provence[295][réf. à confirmer].
- Grasset (de), anoblie par charge en 1766, Pézenas en Languedoc, Provence[réf. nécessaire], ANF) 1943.
- Gratet du Bouchage (de), trésorier de Grenoble 1640, baron en 1809, Dauphiné[réf. nécessaire], ANF (1948).
- Gravier de Vergennes, Trésorier à Dijon 1681, honneurs de la Cour, (patronyme relevé en 1957 par un membre de la famille Jourda de Vaux de Foletier qui l'a substitué au sien en 1965[296]), Bourgogne[réf. nécessaire].
- Grégoire de Roulhac, secrétaire du roi 1766-1782, baron en 1811 et 1816, Limousin[réf. nécessaire], ANF (1948).
- Greling (de), anoblie (confirmé) en 1817, Berne en Suisse, puis Marseille en Provence[réf. nécessaire], ANF (1984).
- Grenier de La Sauzay, extraction 1548, Saintonge[réf. nécessaire], ANF (1966).
- Grenier de Lassagne (de), extraction, maintenue noble 1666, Auvergne[réf. nécessaire], ANF (1934).
- Grenier de Monner, extraction, maintenue en 1702, Languedoc[297], ANF (1949).
- Gressot (de), Empire, baron en 1809, Suisse, Île-de-France[réf. nécessaire], ANF (1987). Titre sans anoblissement.
- Greyfié de Bellecombe, anoblie en 1737, comte en 1825, Savoie[Foras 21], ANF (1993).
- Griffolet d'Aurimont (de), extraction 1532, Limousin[réf. nécessaire], ANF (1956).
- Griffon du Bellay, anoblie par Charles VII le 4 août 1441[298], chevalier et échevin de Saint-Jean d'Angély 1567[299], Saintonge.
- Grimoüard (de), extraction, maintenue 1667, Poitou[réf. nécessaire], ANF (1938).
- Grivel de Grossouvre, baron en 1846, Limousin[b 24].
- Grivel (de), anobli (lettres de relief) en 1659, Franche-Comté[réf. nécessaire], ANF 1963
- Grosourdy de Saint-Pierre (de), anoblie en 1514, maintenue en 1666 et 1669 à Caen et à Rouen[300], Normandie[LM 152], ANF (1936).
- Grouchy (de), extraction chevaleresque 1371, comte en 1809, honneurs de la Cour, Normandie[réf. nécessaire].
- Grout de Beaufort, cour des monnaies de Paris 1740-1770, Île-de-France[réf. nécessaire], ANF (1988).
- Grouvel, Empire, 1810, baron en 1816, Alsace[d 47], ANF (1936). Titre sans anoblissement.
- Gualy de Saint-Rome (de), ancienne extraction 1419, Rouergue[réf. nécessaire], ANF (1950).
- Guardia (de) : citoyen d'honneur de Barcelone et lettres patentes du maintenant les citoyens d'honneur de Barcelone et Perpignan dans la noblesse (Catalogne)[d 47], ANF (2017).
- Guéheneuc de Boishue (de), ancienne extraction 1416, comte en 1866, Bretagne[d 48], ANF (1942). Famille éteinte en ligne masculine
- Guéneau de Mussy et de Montbeillard, secrétaire du roi 1713-1724, Bourgogne[d 48], ANF (1990).
- Guénon des Mesnards, secrétaire du roi 1701, Saintonge[d 48], ANF (1983).
- Guérin du Masgenêt, secrétaire du roi 1785, en charge le 23 juin 1790, Limousin[18] Noblesse non consensuelle.
- Guernon (de), extraction 1552, Normandie[b 25].
- Guerpel de Renneville (de), ancienne extraction 1471, honneurs de la Cour, Bannes (Mayenne), Normandie[réf. nécessaire], ANF (1942).
- Guerre (de), extraction 1544, Périgord[b 25]. (famille subsistante originaire de Lorraine et descendante d’un marchand tanneur.)
- Guerrier de Dumast, Restauration, baron en 1817, Lorraine[réf. nécessaire], ANF (1944). Titre sans anoblissement.
- Guerry de Beauregard (de) et - de Tremont[301], extraction 1506, Poitou[réf. nécessaire], ANF (1945).
- Guespereau, anoblie en 1816, Paris[réf. nécessaire], ANF (1962).
- Guibert (de), capitoul de Toulouse 1692, Languedoc[réf. nécessaire], ANF (1976).
- Guichard des Âges, extraction 1543, Poitou[réf. nécessaire], ANF (1954)
- Guignard de Germond Prévost de Sansac de La Vauzelle (de), certificat de noblesse délivré par Chérin le 2 mai 1783[réf. nécessaire], ANF (2022).
- Guilhem de Lataillade (de) extraction 1550, maintenue de noblesse du 12 janvier 1699[302][réf. incomplète]
- Guilhermier (de), anoblie en 1732, Comtat-Venaissin[réf. nécessaire], ANF (1988).
- Guillaume de Sauville de La Presle, Cour des monnaies de Paris 1769-1790[d 48] ou noblesse inachevée[303], Champagne, ANF (1979) (sources non consensuelles).
- Guillebert de Govin, extraction, maintenue 1668, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1952).
- Guillebon (de) ou Le Thoillier de Guillebon, extraction 1528, Picardie[réf. nécessaire], ANF (1955).
- Guillemot de la Villebiot, extraction, maintenue 1668, Bretagne (Saint-Brieuc)[d 49]
- Guillet de Chatellus, secrétaire du roi 1723, Lyonnais, Forez[réf. nécessaire], ANF (1946).
- Guillet de La Brosse, secrétaire du roi 1786, en charge le 23 juin 1790[18],[d 49], Bretagne. Noblesse non consensuelle.
- Guillotou de Keréver, secrétaire du roi 1739, Bretagne (Finistère)[d 50], ANF (1964).
- Guingant de Saint-Mathieu, trésorier à Limoges au XVIIe siècle, Limousin[d 50], ANF (1974).
- Guiny (du), extraction chevaleresque 1315, Thouaré-sur-Loire, Bretagne[réf. nécessaire], ANF (1945).
- Guiot du Doignon, ancienne extraction 1499, Marche[d 50], ANF (1977).
- Guyon des Diguères, ancienne extraction 1448, Normandie[d 50], ANF (1949).
- Guyon de Geys de Pampelonne (de), ancienne extraction 1488, Vivarais[d 50], ANF (1964).
- Guyon de Montlivault, anoblie en 1636, Orléanais[d 50], ANF (1939).
- Guyot de La Pommeraye, échevin de Paris en 1720, Paris[d 51], ANF (1990).
H
[modifier | modifier le code]- Haincque de Saint-Senoch, secrétaire du roi 1732, Touraine[304][réf. à confirmer], ANF (1937). (Famille éteinte en ligne masculine).
- Halna du Fretay, extraction 1532, Bretagne (Côtes-d'Armor)[LM 153], ANF (1978).
- Halewyn (d'), secrétaire du roi 1754, Flandre, Artois[d 52]
- Hamel de Breuil (du), extraction 1578, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1947).
- Hamel de Canchy (du), extraction 1528, maintenue par jugement du 2 février 1706, Picardie, ANF (2006)[Jougla 35].
- Hamel de Fougeroux (du), olim Duhamel de Fougeroux, secrétaire du roi 1735, Orléanais[réf. nécessaire], ANF (1961).
- Hamel de Milly (du), extraction 1543, Milly en Normandie[réf. nécessaire], ANF (2005).
- Hamoir, secrétaire du roi 1761, Flandre[réf. nécessaire], ANF (1955).
- Haranguier de Quincerot (d'), extraction 1514, Bourgogne, Picardie[réf. nécessaire], ANF (1960).
- Harcourt (d'), extraction chevaleresque 1094, honneurs de la Cour, branche ainée d'Olonde : marquis d'Harcourt 1817, branche cadette de Beuvron : duc d'Harcourt 1700, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1935).
- Hardivilliers (d'), anoblie en 1711, Picardie[réf. nécessaire], ANF (1985).
- Harpedanne de Belleville, extraction 1521, Poitou, Saintonge[réf. nécessaire], ANF (1992).
- Harscouët de Saint-George, ancienne extraction 1440, Bretagne[LM 154], ANF (1953).
- Harty de Pierrebourg, olim Harty de Flekenstein, Empire, baron en 1813, Irlande, Île-de-France[réf. nécessaire], ANF (1971). Titre sans anoblissement.
- Haudos de Possesse, secrétaire du roi 1755, Champagne[réf. nécessaire], ANF (1964).
- Haulles (des), extraction, maintenue en 1666, Conches-en-Ouche en Normandie[réf. nécessaire], ANF (1979).
- Hausen de Weidesheim (d'), anoblie en 1722, Lorraine[réf. nécessaire], ANF (1951).
- Hauteclocque (de) et Leclerc de Hauteclocque[305], extraction chevaleresque 1340, Picardie[réf. nécessaire], ANF (1955).
- Hautpoul (d'), extraction chevaleresque 1394, baron de l'empire en 1810, honneurs de la Cour, Languedoc[réf. nécessaire].
- Hay des Nétumières, extraction chevaleresque 1369, baron en 1629, Bretagne (Rennes)[réf. nécessaire], ANF (1934). (famille éteinte en ligne masculine).
- Hay de Slade, r.n.f. 1763, Irlande, Bretagne[LM 155], ANF (1960).
- Hays de Gassart (des), extraction 1515, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1948).
- Hébert de Beauvoir du Boscol, Parlement de Normandie 1757, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1937).
- Hébrail (d'), extraction chevaleresque 1349, Languedoc[réf. nécessaire], ANF (1938).
- Hédouville (de), extraction 1503[d 53], maintenue en 1668 et 1669[Jougla 36], comte de l'Empire en 1808 pour une branche éteinte, Ile-de-France (Vexin), Picardie (Laonnais), ANF (1968).
- Heeckeren d'Anthès (de), olim Anthès (d')[306], anoblie en 1731, Alsace[b 26].
- Heere (de), Cour des Aides de Paris 1606, Flandre (Bruges), Orléanais[réf. nécessaire], ANF (1970).
- Hellouin de Ménibus, trésorier à Caen 1610, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1967).
- Hémery (d'), anoblie le [307], Poitou, ANF (1935).
- Hémery de Goascaradec, - de La Villeauray, ancienne extraction 1427[Jougla 37],[308], maintenue en 1671 à Rennes[LM 156], Bretagne.
- Hennezel (d'), - d'Ormois, -de Francogney, - du Mesnil, extraction chevaleresque 1392, baron en 1818 pour une branche éteinte, Lorraine, Picardie[réf. nécessaire], ANF (1933).
- Henrion Staal de Magnoncourt de Tracy[309], anoblie en 1697, Franche-Comté[réf. à confirmer].
- Henry de Villeneuve, ancienne extraction, maintenue en 1669 à Rennes, Bretagne (Morbihan)[LM 157].
- Henrys d'Aubigny d'Esmyards, anoblie (confirmé) en 1648, Forez, Bretagne[LM 158], ANF (1996).
- Hérail de Brisis (d'), extraction chevaleresque 1328, maintenue en 1699, Ponteils en Languedoc[310], ANF (1954).
- Hérain (de), secrétaire du roi 1777, en charge le 23 juin 1790, Île-de-France[18]. Noblesse non consensuelle.
- Herbais de Thun d'Avine d', r.n.f. 1661, Hollande, Cambraisis[LM 159], ANF (1984).
- Hercé (de), extraction 1529, maintenue en 1667, Normandie, Maine[LM 160], ANF (1953).
- Héricourt (de), maintenue de noblesse le par Dorieu, intendant de Soissons, Picardie[réf. nécessaire], ANF (2017).
- Héron de Villefosse, Restauration, anoblie en 1830, Paris[réf. nécessaire], ANF (1945).
- Hersart de La Villemarqué et - de Cornouaille, ancienne extraction 1476, Bretagne (Côtes-d'Armor)[LM 161], ANF (1948).
- Hervé du Penhoat, Restauration, anoblie en 1815, Bretagne (Finistère)[LM 162], ANF (1980).
- D'Hespel extraction, maintenue en 1663, comte en 1815, Flandre[réf. nécessaire], ANF (1944).
- Heurtault de Lammerville, secrétaire du roi 1618, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1998).
- Hillaire de Moissac (d'), extraction 1506, Poitou[réf. nécessaire], ANF (1955).
- Hillerin (de), - de Boistissandeau (de), et - de Mouillebert (de), ancienne extraction 1468, maintenue en 1706, Vendée, Aunis[d 54], ANF (1986).
- Hillerin de Pressec (de) et Dehillerin, branche de la famille précédente, maintenue en 1758 et 1759, Vendée, Roumanie[311].
- Hingant de Saint-Maur, ancienne extraction 1423, Bretagne[LM 163], ANF(1994).
- Hoffelize (d'), ancienne extraction 1363[d 55] ou page de la grande écurie du roi le sur preuves de 1456[312], comte en 1726, honneurs de la Cour 1788[d 56], Hoffelize en Hainaut, Lorraine
- Hottinguer, Empire, baron en 1810, Suisse, Paris[réf. nécessaire], ANF (1946). Titre sans anoblissement.
- Houdet, Restauration, anoblie en 1830, Ile-de-France (Meaux)[d 57].
- Houdetot (d'), extraction chevaleresque 1360, marquis en 1724, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1989).
- Houitte de La Chesnais, Restauration, anoblie en 1814, Bretagne (Saint-Malo)[LM 164], ANF (1938).
- Houlier de Villedieu, anoblie en 1776, Poitou[réf. nécessaire], ANF (1986).
- Huart (d'), extraction, chevalier du Saint-Empire en 1613, r.n.f en 1689[d 58], baron en 1785[313], Belgique, Luxembourg, Lorraine, ANF (1967).
- Huchet de La Bédoyère, - de Quenétain, - de Cintré et -de Kernion, ancienne extraction 1427, honneurs de la Cour 1784, Bretagne[LM 165], ANF (1938-1979-2003).
- Hüe, Restauration, baron en 1818, Île-de-France[314], ANF (1993). Titre sans anoblissement.
- Huet de Froberville, anoblie en 1618, Normandie, Orléanais[réf. nécessaire], ANF (1968).
- Hugon de Scœux, extraction 1556, Limousin[réf. nécessaire], ANF (1947).
- Hugonneau (d'), Restauration, anoblie en 1816, Poitou[d 57] (famille éteinte en ligne masculine).
- Hullin de Boischevalier, anoblie (maintenue) en 1775, Anjou[réf. nécessaire], ANF (1996).
- Hulot (de Mazerny) et -de Tocqueville, Empire, baron en 1813, Lorraine. Titre sans anoblissement.[réf. nécessaire]
- Humières (d'), extraction 1521[d 59], maintenue en 1646, 1668, 1671, 1718, comte en 1869[315], Rouergue, ANF (1971).
- Humilly de Chevilly (d'), ancienne extraction, maintenue en 1566, Savoie[Foras 22].
- Huon de Kermadec, extraction chevaleresque 1354, Bretagne (Finistère)[LM 166], ANF (1938).
- Hurault de Gondrecourt de Ligny, anoblie en 1503 (autorisation de reprise de noblesse maternelle), Lorraine, Guadeloupe, Martinique[réf. nécessaire], ANF (1971).
- Hurault de Vibraye, anoblie en 1349, marquis en 1625, Blésois[316][réf. à confirmer], ANF (1936).
- Husson de Sampigny, anoblie en 1631 (autorisation de reprise de noblesse maternelle), Lorraine[réf. nécessaire], ANF (1971).
- Hutteau d'Origny, Restauration, anoblie en 1815, Beauce, Paris[réf. nécessaire], ANF (1976).
I
[modifier | modifier le code]- Imbert de Balorre, secrétaire du roi 1769, en charge le 23 juin 1790, comte héréditaire sur institution de majorat en 1828, Moulins en Bourbonnais[18], ANF (1946).
- Imbert des Granges (Imbert-Desgranges)[317], Restauration, anoblie en 1817[réf. nécessaire], Dauphiné.
- Imbert de Trémiolles, secrétaire du roi 1789, en charge le 23 juin 1790, Auvergne[18] Noblesse non consensuelle.
- Indy (d'), extraction 1624, maintenue en 1778, Vivarais[réf. nécessaire], ANF (1952).
- Inguimbert (d'), ancienne extraction 1474 ou anoblie par l’obtention du grade de docteur en droit de l’université d’Avignon au XVIe siècle (se reporter à la source, page 369)[49], maintenue en 1668, Provence (Vaucluse)[réf. nécessaire].
- Irumberry de Salaberry (d'), ancienne extraction 1466, Béarn, Navarre[LM 167], ANF (1947).
- Isarn de Villefort (d'), extraction 1504, Languedoc[réf. nécessaire], ANF (1981).
- Isle de Beaucheine, extraction chevaleresque 1392, maintenue en 1666, honneurs de la Cour en 1789, Saintonge[LM 168], ANF (1985).
- Isnards (des), ancienne extraction 1441, honneurs de la Cour 1780, Comtat-Venaissin[réf. nécessaire], ANF (1934).
- Isoard de Chénerilles (d'), ancienne extraction 1427, maintenue en 1668[318], Provence, ANF (1942).
- Izarny-Gargas (d'), extraction 1528, Toulousain[réf. nécessaire], ANF (1971).
J
[modifier | modifier le code]- Jacobé de Haut et Jacobé de Haut de Sigy, secrétaire du roi 1739-1753, relève Duroux de Sigy par décret de 1873, Champagne[réf. nécessaire], ANF (1953).
- Jacops d'Aigremont, anoblie en 1652, marquis en 1773, Flandre[Jougla 38], ANF (1984).
- Jacquelot du Boisrouvray (de), Parlement de Paris 1553, maintenue en 1669 à Rennes, Bretagne[Jougla 39],[LM 169], ANF (1939).
- Jacquet de Heurtaumont, Chambre des Comptes de Béarn 1670, Normandie (Perche)[d 60].
- Jacquinot, Empire, baron en 1808[319], Pagny-sur-Meuse en Lorraine. Titre sans anoblissement.
- James (de), extraction 1537, maintenue en 1654, Irlande, Bourbonnais, Angoumois[d 60].
- Janson de Couet, secrétaire du roi 1781, en charge le 23 juin 1790, Orléanais[18]. (Noblesse non consensuelle).
- Janzé (de), baron 1809, anoblie 1818, comte héréditaire sur constitution de majorat nouveau pour la terre de Kerguehenec avec dissolution de l’ancien majorat du titre de baron le 19 février 1829, Bretagne (subsistance féminine du nom)[220][réf. à confirmer].
- Javel (de) (de Villers-Farlay), Villers-Farlay[d 60],[320], Chambre des Comptes de Dole 1697-1721, Franche-Comté[Jougla 40], ANF (1976).
- Jégou du Laz[321], ancienne extraction, maintenue en 1668 à Rennes, Bretagne (Poher)[Jougla 41],[LM 170], ANF (1961).
- Jehannot d'Huriel de Bartillat, secrétaire du roi 1665-1686, marquis d'Huriel-Bartillat en 1744, Bourbonnais[Jougla 42], ANF (1949).
- Jehannot de Penquer, ancienne extraction 1441, Bretagne (Côtes-d'Armor)[Jougla 43].
- Jerphanion (de), secrétaire du roi 1718-1719, baron de l'Empire en 1810[322], Saint-Maurice-de-Lignon en Velay[Jougla 44], ANF (1935).
- Jessé (de), - Charleval, et - Levas, ancienne extraction 1446, Languedoc (Hérault)[Jougla 45], ANF (1938).
- Joannis de Verclos (de), maintenue 1661, Comtat-Venaissin[Jougla 46], ANF (1965).
- Joly de Sailly, secrétaire du roi 1759-1774 (une branche a relevé en 1923 Nays-Candeau éteint), Montdidier en Picardie[Jougla 47] ANF (1942).
- Jouan de Kervenoaël, ancienne extraction 1426, maintenue en 1675, Bretagne (Finistère)[Jougla 48],[LM 171], ANF (1948).
- Jouffroy d'Abbans (de) et de Jouffroy-Gonsans, ancienne extraction 1444[323], marquis en 1707, Bourgogne, Franche-Comté[Jougla 49],[324], ANF (2004).
- Jourda de Vaux de Chabanolle, anoblie en 1678, honneurs de la Cour, Velay (branche ainée)[325].
- Jourda de Vaux de Foletier (même famille que la précédente), Restauration[b 27], deux vicomtes en 1818[b 27], Gévaudan, Velay[Jougla 50],[326], ANF (1943).
- Jourdain de Thieulloy, - de Muizon, - d'Héricourt, et - de L'Étoille, secrétaire du roi 1737-1757, Picardie (Amiens)[Jougla 51].
- Jourdan de Savonnières (de), maire d'Angers 1707, maintenue en 1715, Anjou[Jougla 52], ANF (2018).
- Journu, secrétaire du roi 1781 (mort en charge 8 jours après sa réception), comte de l'Empire en 1808 pour une branche éteinte, Guyenne (Bordeaux)[327], ANF (1955).
- Jouslin de Pisseloup de Noray, extraction 1539, maintenue en 1670, Berry[Jougla 53], ANF (1968).
- Jousseaume de La Bretesche, ancienne extraction 1481, marquis en 1657, Poitou (Vendée)[LM 172], ANF (1973).
- Joussineau de Tourdonnet (de), extraction chevaleresque 1366, maintenue en 1667[328], honneurs de la Cour en 1771, 1773, et 1789[329], Limousin, ANF (1988).
- Jouvencel (de), échevin de Lyon 1737, Savoie, Lyonnais[Jougla 54], ANF (1934).
- Joyaut de Couesnongle, Restauration, anoblie en 1815, Bretagne[Jougla 55],[LM 173], ANF (1935).
- Joybert (de), ancienne extraction 1445, maintenue en 1668, Champagne[330], ANF (1937).
- Juchault des Jamonières, Chambre des Comptes de Bretagne 1583, baron d'Empire en 1814, Bretagne (Nantes)[LM 174], ANF (1965).
- Juglart de Lardinie (de), extraction, maintenue en 1666, Périgord[réf. nécessaire], ANF (1964).
- Jullien et Jullien de Pommerol, secrétaire du roi 1677-1699, Forez, Lyonnais[331],[Jougla 56], ANF (1962).
- Junet d'Aiglepierre, anoblie en 1598 par L.P. du roi d'Espagne Philippe II[Jougla 57], Aiglepierre, Franche-Comté, ANF (2012).
- Just de la Paisières (nl), anoblie en 1725 par Louis XV en faveur de Joseph Just, seigneur de Nouzières et de La Paisières (†1760), conseiller du roi[332].
K
[modifier | modifier le code]- Kerautem (de), ancienne extraction 1448, maintenue en 1669 à Rennes, Bretagne (Côtes-d'Armor)[333],[LM 175], ANF (2005).
- Kergariou (de), extraction chevaleresque 1386, maintenue en 1669 à Rennes, honneurs de la Cour, Bretagne (Trégor)[LM 176], ANF (1947).
- Kergorlay (de), extraction chevaleresque 1380, maintenue en 1671 à Rennes, honneurs de la Cour, baron en 1826, Bretagne (Finistère)[LM 177], ANF (1933).
- Kerguelen Kerbiquet (de), ancienne extraction 1413, maintenue en 1670 à Rennes, honneurs de la Cour, Bretagne (Finistère)[LM 178], ANF (1948).
- Kerguiziau de Kervasdoué (de), ancienne extraction 1427, maintenue en 1669 à Rennes, Bretagne (Finistère)[LM 179], ANF (1958).
- Kerimel de Kerveno (de), ancienne extraction 1469, Bretagne[334], ANF (1985).
- Kermabon (de), ancienne extraction 1427, Bretagne[LM 180].
- Kermel (de), ancienne extraction 1461, maintenue en 1669 à Rennes, Bretagne (Trégor)[LM 181], ANF (1966).
- Kermenguy (de), ancienne extraction 1400, Bretagne (Finistère)[LM 182], ANF (1947).
- Kermerc'hou de Kerautem (de), - de Lesenor, et - de Rumfellec, ancienne extraction 1479, Bretagne (Finistère)[LM 183], ANF (1946).
- Kermoysan (de), extraction chevaleresque 1390, Bretagne (Trégor)[LM 184], ANF (1948).
- Kernavanois (de), ancienne extraction, maintenue en 1669 à Rennes, Bretagne (Trégor)[LM 185].
- Kerouartz (de), extraction chevaleresque 1375, honneurs de la Cour, Bretagne (Finistère)[LM 186], ANF (1945).
- Keroullas (de), ancienne extraction 1443, Bretagne (Finistère)[d 61][réf. incomplète]. ANF (1975).
- Kerpoisson (de), ancienne extraction 1487, Bretagne (Nantais)[LM 187].
- Kerret (de), extraction chevaleresque 1290, Bretagne (Finistère)[LM 188].
- Kersaint-Gilly de La Ville-Colvé (de), extraction chevaleresque 1380, Bretagne (Finistère)[LM 189], ANF (1980).
- Kersauson (de), - de Pennendreff, et - du Vieux-Châtel, ancienne extraction 1400, Bretagne (Finistère)[réf. nécessaire], ANF (1961).
- Kirgener de Planta, Empire, baron en 1808, Suisse, Île-de-France[réf. nécessaire], ANF (1944). Titre sans anoblissement.
- Klopstein (de), r.n.f. en 1609, Mayence, Lorraine[réf. nécessaire], ANF (1934).
- Koenigswarter (de), Second Empire, baron en 1870[335], Koenigswart en Bohême, Fürth bei Nürnberg en Bavière, et Paris en Île-de-France[Jougla 58]. Titre sans anoblissement.
Suite de cette liste
[modifier | modifier le code]Voir : Liste des familles subsistantes de la noblesse française (L à Z)
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « Familles subsistantes de la noblesse française » (voir la liste des auteurs).
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Notes
[modifier | modifier le code]- Régis Valette estime à environ 12 000 le nombre de familles nobles en 1789[d 1][réf. incomplète][réf. non conforme]. Guy Chaussinand-Nogaret estime qu'il y avait de 110 à 135 000 nobles (pour 17 à 27 000 familles) en 1789 sur 28 millions de Français[5]. Benoît Defauconpret évoque le nombre de 200 à 300 000 individus nobles en 1789[6].
- Le changement de nom a été autorisé par Louis XVIII en 1817, contesté par la famille d'Adhémar de Monteil et confirmé en cassation en 1841[réf. nécessaire].
- Acte récognitif : Lettres Patentes d'anoblissement du , enregistrées en la Cour des Aydes de Normandie le , en faveur de Noël André de La Fresnaye, avocat au bailliage de Falaise et procureur au siège de police et maréchaussée de la dite ville, 6e aïeul de l'époux de la candidate. Lettres Patentes du conférant le titre de baron héréditaire, sous la dénomination de baron de La Fresnaye, avec constitution de majorat à Noël-Urbain André de La Fresnaye, quart-aïeul de l'époux de la candidate (A.N. 149 Mi 22).
- Filiation suivie depuis Colas Dantras, marchand de Marciac, cité dans un acte du [réf. nécessaire].
- Maintenue par arrêt du conseil d'État du 11 avril 1775, sur preuves remontant à 1286. (Authier et Galbrun, État de la Noblesse Française subsistante, Vol. 18, p. 8)
- Acte récognitif : Certificat de noblesse du , en suite des preuves délivré par Antoine Marie d'Hozier de Sérigny, en faveur d'Alexandre Marie Aubé de Bracquemont, frère de Joseph, trisaïeul du candidat, fils de messire Philippe Honoré, capitaine au régiment de Picardie et de Marie Françoise Clocquet, en vue de son admission dans les Écoles Royales Militaires.
- Cette famille a été étudiée par Alain Galbrun, in État de la noblesse française subsistante (volume 19, p. 30 & 21 p. 357).
- Même famille que les Adhémar de Saint-Maurice de Cazevielle. Suivie depuis noble Jean Adhémar, coseigneur de Saint-Martin-de-Londres qui épouse en 1403 Diane (ou Delphine) de Barjac, dont : Pierre Adhémar, verrier de Sueilhes (rappelé aux c.m. de son fils Anglès du chez Jacques Verdellan, notaire à Vacquières), dont : Bertrand, auteur de la branche de Fabrègues et Anglès, auteur de la branche de Saint-Maurice de Cazevieille. in Hubert de Vergnette de Lamotte, Filiations Languedociennes, coll. Mémoire & Documents, Versailles, 2006, p.---[réf. non conforme]).
- Gustave Chaix d'Est-Ange renvoie le patronyme Azémar à celui d'Adhémar. Voir l'article Maison d'Adhémar et les débats des généalogistes à son sujet.
- Acte récognitif : Acte d'achat par Nicolas Baudard à Pierre Guigou, écuyer, de la charge de conseiller secrétaire du Roi, Maison et Couronne de France et de ses finances, le . Acte de vente de cette charge le à René Grandhomme par les héritiers de défunt Nicolas Baudart. Enregistrement le aux greffes de la Compagnie des secrétaires du Roi de la somme de 1 326 livres payée par Nicolas baudard pour son admission comme Secrétaire du Roy au lieu de Pierre Guigou (A.N. V2-38, 48 et 78)
- Admission aux Écoles Royales militaires en 1756 (B.N. fr 32O65)
- Pierre Bausset, marchand de Marseille, troisième consul de Marseille en 1536 (se référer à la source suivante, pp. 121-122)
- Marc, 7e et dernier prince de Beauvau-Craon, est décédé en 1982, laissant deux filles, Minnie et Diane[réf. nécessaire].
- Acte récognitif : Comparution de Charles-Marc de Berterèche de Menditte, écuyer, trisaïeul du candidat, comme syndic de la noblesse le de l'assemblée des trois ordres de la Châtellerie de Soule, et qualifications nobles pour le comparant et les six générations qui précèdent et qui ont possédé la maison noble de Menditte depuis 1576.
Références groupées
[modifier | modifier le code]Pour les références complètes voir ci-dessus (section « Bibliographie »).
Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle (1903-1929)
[modifier | modifier le code]- t.Ier. A-Att. - 1903, pp. 5-6, [lire en ligne].
- t.Ier. A-Att. - 1903, pp. 7-9, [lire en ligne].
- t.Ier. A-Att. - 1903, pp. 9-10, [lire en ligne]
- t.Ier. A-Att. - 1903, pp. 14-15, [lire en ligne]
- t.Ier. A-Att. - 1903, p. 22-24, [lire en ligne].
- t.Ier. A-Att. - 1903, p. 25-26 (lire en ligne)
- t. 1, A-ATT, pp. 26-29, [lire en ligne].
- t.Ier. A-Att. - 1903, p. 30-32, [lire en ligne]
- t.Ier. A-Att. - 1903, p. 30-32, [lire en ligne]
- t.Ier. A-Att. - 1903, p. 32-34, [lire en ligne]
- t.Ier. A-Att. - 1903, pp. 34-35, [lire en ligne].
- t. 1, A-ATT, p. 37-38, [lire en ligne]
- t.Ier. A-Att. - 1903, pp. 40-42, [lire en ligne]
- t.Ier. A-Att. - 1903, p. 49, [lire en ligne]
- t.Ier. A-Att. - 1903, p. 29-30
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- t.XIV. Des-Dug. - 1915, p. 145-146, [lire en ligne], Antoine Donjon de Saint-Martin (1670-1737), titulaire de la charge de secrétaire du roi, est mort en fonction, en 1737, à l'âge de 67 ans.
- t.XIV. Des-Dug. - 1915, p. 147, [lire en ligne]
- t.XIV. Des-Dug. - 1915, p. 157-159, [lire en ligne]. "Georges-Joseph de Dorlodot des Essarts, marié en 1896 à Mlle Legras de la Boissière, s'était cru en droit de relever le titre de marquis de Selve d'Audeville que portait son aïeul maternel (...)."
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- t.I (1934), p. 275.
- t. I (1934), p. 353.
- t.II (1938), pp. 141, no 5068.
- t. II, p. 300, no 7348.
- t.II, p. 300, no 7376.
- t.II, p. 302, no 7378.
- t.II, p. 304, no 7381.
- t.II, p. 304, no 7395.
- t.II, p. 305, no 7399.
- t. II, p. 306, no 7403.
- t. II, p. 316.
- t. II, no 7994, p. 354-355.
- t. II, 363, no 8112.
- t.I, 367, no 8137.
- t. II, ...[réf. non conforme].
- t.II, p.427, no 8940, Jean Magdeleine Chebrou (branche Chebrou de La Roulière)
- t.VII, p. 190.
- t.III, p. 61.
- t.III, 133, no 12113.
- t.III, 136, no 12168.
- t.III, 136, no 12179.
- t.3, p. 303.
- t.3, pp. 306-307, no 14355.
- t. 3, p. 309, no 14382.
- t.3, p. ..., no 14382. Le nom d'Orves vient d'un mariage avec les Martini d'Orves en 1725.
- Jougla, t.4, 81, no 16470.
- t.VI (1975), no 18983.
- t. IV, p. 289.
- vol.IV, page 291
- t.IV, p. 332, no 19877. La branche anoblie en 1652 (Jacops de Lannon) s'éteignit en 1701 ; le principe de noblesse de la branche d'Aigremont est un office de secrétaire du roi acquis en 1686.
- t.IV, p. 333, no 19882
- t.IV, p. 342, no 20052.
- t.IV, p. 344, no 20086.
- t.IV, p. 345, no 20093.
- t.IV, p. 435, no 20094.
- t.IV, p. 345, no 20100.
- t.IV, p. 344, no 20104.
- t.IV, p. 347, no 20121.
- t.IV, p. 350, no 20177.
- t.IV, p. 352, no 20224.
- t.IV, p. 351, no 20252.
- t.IV, p. 356, no 20274.
- t.IV, p. 357, no 20283.
- t.IV, p. 357, no 20286.
- t.IV, p. 358, no 20299.
- t.IV, p. 360, no ...
- t.IV, p. 360, no 20333.
- t.IV, p. 364, no 20397.
- t.IV, p. 364, no 20405.
- t. IV, p. 382, no 20606, d'apr. Révérend, Confirmations.
Armoriaux provinciaux
[modifier | modifier le code]- Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie (1863-1910)
- vol. 1, pp. 19-21 (présentation en ligne).
- vol. 1, pp. 81 (lire en ligne).
- vol.1, pp. 86-87 (lire en ligne).
- vol.1, pp. 211-232 (lire en ligne).
- vol.1, pp. 266-270 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 287-294 (lire en ligne).
- vol.2, pp. 5-31 (lire en ligne).
- vol.3, pp. 302-304 (lire en ligne).
- vol.2, pp. 153-156 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 163-167 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 179-184 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 195-202 (lire en ligne).
- vol.2, pp. 247-250 (lire en ligne).
- vol.2, pp. 260-261 (lire en ligne).
- vol. 2, 1878, pp. 267-268 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 317-354 (présentation en ligne).
- vol. 2, p. 361-365 (lire en ligne)
- vol. 2, pp. 376 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 407-422 (lire en ligne).
- vol. 3, pp. 126-133 (lire en ligne).
- vol.3, pp. 150-151 (lire en ligne).
- vol.3, pp. 202-210 (lire en ligne).
- Les Filiations bretonnes (1650-1923) (1912-1933)
- Alexandre Achard, seigneur du Pas-de-la-Vente, maintenu noble en Normandie le (t. 1, p. 3).
- Nicolas Ameline de Cadeville, gouverneur de l'île et du château d'Oléron, maréchal de camp, Chev. de Saint-Louis, maintenu noble en 1717 (t. 1, p. 11).
- Gabriel d'Amphernet, chevalier, seigneur du Quenay (Calvados), maintenu dans sa noblesse par ordonnance de M. de Chamillard en la généralité de Caen signé à Bayeux le 14 février 1668. (t. 1, p. 13).
- Jean-Joseph Arnous-Rivière, anobli et créé baron héréditaire le 21 août 1828 (t. 1, p. 38).
- Philippe-Claude d'Arthuys de Charnisay, premier président à la cour d'Orléans, baron de l'Empire le 29 janvier 1811, confirmé baron héréditaire le 28 décembre 1816 (t. 1, p. 42).
- Charles Artur, docteur-médecin à Pontorson, anobli en juillet 1647. Gabriel Artur, seigneur du Ronceray, procureur du roi, maintenu noble en Normandie en 1671 (t. 1, p. 44).
- Charles d'Aubert, seigneur de Launay-Beaulieu, maintenu noble à l'intendance de Bretagne en 1698, puis au Conseil d'État en 1706 (t. 1, p. 47).
- Guy Aubert, marchand de draps de soie à Rennes, acquéreur le 27 novembre 1690 de la charge anoblissante de conseiller-secrétaire du roi près la chancellerie du Parlement de Bretagne (t. 1, p. 49).
- Pierre Aubert, sieur de Vincelles en Auxerrois, anobli en 1669 par la charge de conseiller du roi, admis dans l'ordre de la noblesse aux États de Bourgogne en 1682 (t. 1, p. 50).
- Josué-Alexis Augé, maire de Passy, anobli le 30 juin 1830 (t. 1, p. 62).
- t. 1, p. 63.
- Jacques d'Aviau, seigneur de Relay et du Bois-de-Sanzay, en Saint-Martin-de-Sanzay (Deux-Sèvres), page de la reine, capitaine au régiment de Persan, Chevalier de Saint-Michel, maintenu noble au Conseil d'État en 1668 (t. 1, p. 68).
- t. 1, p. 86.
- Jacques-René Barbier du Doré, chef de division des armées catholiques et royales de l'ouest, colonel, chevalier de Saint-Louis, anobli le 28 mars 1818 (t. 1, p. 91).
- t. 1, p. 107.
- t. 1 p. 109.
- Pierre-François de Beaudrap, député de la noblesse du Cotentin aux États généraux de 1789 (t. 1, p. 116).
- t. 1, p. 119.
- t. 1, p. 126.
- t. 1, p. 131.
- Jean-Claude Blanchet, seigneur de Pravieux, anobli en 1731 par l'échevinage de Lyon. Jean-Baptiste Blanchet de La Sablière, membre de l'Assemblée de la noblesse du bailliage d'Étampes pour l'élection des députés aux États généraux de 1789 (t. 1, p. 216).
- René-Antoine Blocquel de Croix, seigneur de Wismes-en-Artois, reconnu noble en 1710. Adrien-Antoine Blocquel de Croix, admis au collège Mazarin sur preuves de noblesse de 1710, créé baron de Wismes en 1759 (t. 1, p. 217).
- t. 1, p. 219.
- t. 1, p. 225.
- Didacus ou Diégo-Antoine-Jérome-Marius de Bodard, seigneur de La Jacopière, en Craon, capitaine dans la garde royale, chevalier de la Légion d'Honneur, anobli le 28 juin 1821 (t. 1, p. 228).
- Famille que la tradition dit originaire de Normandie, établie dès 1150 au royaume normand de Calabre, et en Corse en 1564. Angelo-Santo Boërio, chambellan de l'Empereur Charles-Quint, créé par ce prince chevalier héréditaire du Saint-Empire en 1538. Giacinto Boërio est l'un des Douze Nobles de la liste corse en 1636. Pierre-Gian-Tomaso Boërio, premier Président de la Cour de Corse, maintenu noble à Bastia par arrêt du Conseil Souverain du 26 août 1783, député de la Corse à l'Assemblée Législative de 1791 (t. 1, p. 233).
- t. 1, p. ...[réf. non conforme].
- t. 1, p. 246.
- Gilles de Boisboissel, seigneur du Fossé-Raffay en Trégomeur, maintenu noble avec ses enfants en Bretagne le 19 septembre 1650 (t. 1, p. 249).
- Gilles de Boisgelin, seigneur de Kerdu-Raison en Ploumiliau, maintenu noble en Bretagne le 15 décembre 1668 (t. 1, p. 253).
- Jean du Boisguéheneuc, seigneur de La Villéon en Caro, maintenu noble en Bretagne le 25 février 1969 (t. 1, p. 258).
- Sébastien-Joseph du Boishamon, seigneur du Boishamon en Saint-Ouen, maintenu noble en Bretagne le 22 octobre 1668 (t. 1, p. 261).
- "Isaac du Boispéan, seigneur du Boispéan en Fercé, maintenu noble en Bretagne le 11 octobre 1668" (t. 1, p. 263).
- François de Bonafos, seigneur de Bélinay, gentilhomme de la maison du Roi le 16 septembre 1622, Lieutenant-colonel du régiment de Canillac, écuyer à vie de la Grande Ecurie du Roi le 28 novembre 1648, anobli en septembre 1654. Pierre de B. de Bélinay, maintenu noble en Auvergne dans l'Élection de Saint-Flour, le 29 mars 1666 et confirmé dans sa noblesse en mars 1669 (t. 1, p. 265).
- Louis-Gabriel-Auguste de Bonchamps, membre des assemblées de la noblesse du bailliage de Falaise en 1789 ((t. 1, p. 267)).
- Anne Bonnin de La Bonninière, maintenu noble en Touraine le 3 mars 1669. Anne-Claude, de La B. de B., commissaire de la noblesse du Bailliage de Touraine en 1789, comte de l'Empire le 25 novembre 1813. Théodore de B., marquis de Beaumont-Villemanzy, pair de France en 1813 (t. 1, p. 267).
- Léon Boscal de Réals, baron de Mornac, député de la noblesse de Saintonge aux États Généraux de 1649 et 1651 (t. 1, p. 280).
- René-Jean Botherel, seigneur du Plessis, maintenu noble en Bretagne le 1er octobre 1668" (t. 1, p. 290).
- "François de Botmiliau, seigneur de La Villeneuve, maintenu noble en Bretagne le 16 juillet 1669" (t. 1, p. 293).
- "Jean Bouan, seigneur du Chef-du-Bos en Saint-Potan, maintenu noble en Bretagne le 9 avril 1669 (t. 1, p. 295).
- t. 1, p. 297.
- Louis-Édouard Bouët-Willaumetz, confirmé dans le titre de comte B.W.le 18 octobre 1845, gouverneur du Sénégal en 1843, vice-amiral, sénateur de l'Empire en 1865, Grand'Croix de la Légion d'Honneur en 1868 (t. 1, p. 307)
- Vincent du Bouetiez, seigneur de Kerorguen, en Saint-Gilles d'Hennebont, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 24 novembre 1668 (t. 1, p. 309).
- Louis de Bouëxic, seigneur de La Chapelle-Bouëxic, maintenu noble en Bretagne le 10 novembre 1668. Guillaume, seigneur de La Driennais, confirmé noble en Bretagne le 29 janvier 1635 (t. 1, p. 313).
- t. 1, p. 319.
- Pierre du Bourblanc, seigneur de Kermel en Penvenan, maintenu noble en Bretagne le 19 décembre 1668 (t. 1, p. 330).
- Jean du Bourg, conseiller-secrétaire du roi en 1701. Jean Joseph François du Bourg, né le 16 mars 1696, sénéchal, député de la noblesse de vitré aux États de Bretagne en 1744.Joseph Maurice Jean du Bourg, colonel du génie, ingénieur ordinaire du roi à Belle-Isle-en-mer, en 1774 (t. 1, p. 351).
- Pierre-Étienne Bourgeois, seigneur de Boynes, baron de Laas, premier président au Parlement de Besançon en 1757, Ministre de la Marine le 8 avril 1771 (t. 1, p. 353).
- t. 1, p. 357.
- André Boussineau, maintenu noble en Bretagne en 1670. André Boussineau, conseiller du roi, procureur au Présidial, puis maire de Nantes, confirmé dans sa noblesse en 1720 (t. 1, p. 358).
- Raoul Bouthray né en 1550, avocat au conseil de France auteur de « l'incendie de Paris » en 1618 - puis Jean olivier Boutray 1er échevin de Paris en 1758 - André Marie Felix de Boutray officier dans l'armée du duc de Bourbon puis receveur général du département de la Mayenne (t. 1, p. 366).
- Claude-Yves Boux, seigneur de La Gaudinière, maintenu noble en Bretagne le 12 décembre 1668 (t. 1, p. 371).
- Charles Bréard de Boisanger, maintenu noble en Bretagne le 11 novembre 1701 (t. 1, p. 376).
- Anne du Breil, Vicomte de Pontbriand, maintenu noble en Bretagne le 21 novembre 1668 (t. 1, p. 384).
- t. 1, p. 403.
- François-Marie Briant de Laubrière, maire de Quimperlé, anobli le (t. 1, t. 407).
- Jean Guillaume Briot, anobli le 24 mai 1823 (t. 1, t. 423).
- Victor de Broc, seigneur de La Ville -au-Fourier, maintenu noble en Anjou le 28 septembre 1668 (t. 1, t. 428).
- Charles Brochard, seigneur de la Roche-Brochard, en Béceleuf (Deux-Sèvres), maintenu noble en Poitou le 10 septembre 1667. François-Xavier B de la R-B, maintenu noble à l'Intendance de Poitiers le 3 avril 1748 (t. 1, t. 430).
- Sébastien de Bruc, seigneur de Livernière, maintenu noble en Bretagne le 19 janvier 1671 (t. 1, t. 438).
- Julien Budes, seigneur de Launay-Couvran en Trégueux, maintenu noble en Bretagne en 1669 (t. 1, p. 454).
- René Busnel, seigneur de La Touche, maintenu noble en Bretagne le 2 mars 1669 (t. 1, p. 464).
- François de Cadaran, maintenu noble en Bretagne le 23 octobre 1668 (t. 1, p. 469).
- René Cadoret est maintenu dans sa noblesse en Bretagne en 1669 (t. 1, p. 471).
- Joseph de Cadoudal, maréchal de camp, chevalier de Saint-Louis, commandeur de la Légion d'Honneur, anobli le 16 décembre 1815. Famille de Georges Cadoudal (t. 1, p. 472).
- Alexandre de Cahouët, inspecteur général des Ponts et Chaussées, est anobli le 26 avril 1817 (t. 1, p. 474).
- Louis-Jean de Cargouët, maintenu noble en Bretagne le 15 avril 1669 (t. 1, p. 495).
- François de Carheil, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne le 1er décembre 1668 (t. 1, p. 498).
- Philibert de Carné, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, dans le ressort de Lesneven, le 1er juillet 1669 (t. 1, p. 504).
- Nicolas Carré, secrétaire du roi en la Grande Chancellerie le 10 décembre 1659, anobli en 1675. Son fils, autre Nicolas, commissaire de la Marine et des Galères, est maintenu dans sa noblesse en Bretagne le 28 décembre 1708 (t. 1, p. 518).
- Jacques-Marie Carron, avocat, anobli le 17 février 1815 (t. 1, p. 524).
- Guillaume de Castel, chevalier, maintenu noble en Bretagne le 8 avril 1669 (t. 1, p. 530).
- Jean de Castellan, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne le 7 décembre 1668 (t. 1, p. 532).
- Jacques de Cavelier, seigneur de Mocomble en Normandie, conseiller du roi, trésorier général de France à Rouen, le 3 mai 1652. Jean, chevalier de Cavelier, seigneur du Bocage et patron-haut justicier de Cuverville, maintenu noble dans la généralité de Rouen en 1715 (t. 1, p. 535)
- Jean-Joseph de Cazenove, seigneur de Pradines en Faugerollees, maintenu noble en Agenais en 1666 et le (t. 1, p. 540).
- René de Chalus maintenu noble dans la généralité de Tours le 20 juin 1668. Jean de Chalus, reconnu noble par un arrêt de la cour des aides de Paris du 20 décembre 1754 (t. 1, p. 556).
- Jacques de Champs, seigneur de Saint-Léger-de-Fougeret (Nièvre), maintenu noble par la Cour des Aides de Paris le 8 août 1657 (t. 1, p. 564).
- Julien de Chappedelaine, (1649-1710), écuyer, épouse à Lamballe le 8 juin 1677, Françoise de Gouyon. Jean-François de Chappedelaine (1687-1737), écuyer, épouse le 12 janvier 1712, Louise de Miniac. René de Chappedelaine (1743-1782, chevalier, officier à l'Isle de Cayenne (t. 1, p. 570).
- Athanase-Charles-Marin, baron de Charette de La Contrie, pair de France le 23 décembre 1823, colonel des cuirassiers de Berry en 1829, chevalier de Saint-Louis. Autre Athanase-Charles-Marie, lieutenant-colonel des Zouaves Pontificaux, puis colonel des Volontaires de l'Ouest en 1870, puis général (t. I, p. 573).
- Noël Chauchart, seigneur du Mottay, maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 18 janvier 1669 (t. 1,p. 598).
- François de Chavagnac, maréchal de camp et gouverneur de Furnes (Flandres), maintenu noble d'extraction à l'intendance d'Auvergne le 17 mars 1667 (t. 1, p. 608).
- Mathurin Chéreil, conseiller du roi en 1685, procureur général syndic de Rennes en 1687, subdélégué de l'Intendance, député de la noblesse des États de Bretagne en 1715. André-Mathurin Chéreil, seigneur de La Rivière-Trélan (Ille-et-Vilaine), secrétaire du roi en la chancellerie du Parlement de Bretagne, en 1754 (t. 1, p. 612).
- Trois chevaliers de Saint-Louis : 1/ Jean-Baptiste de Chevigné, seigneur de L'Herbergement au château de Boischollet (Loire-Atlantique), né le 24 juin 1690, major d'infanterie. 2/ Arthur-Luc, marquis de Chevigné, né le 6 décembre 1747, capitaine au régiment Dauphin-infanterie. 3/ Arthur-Marie de Ch.né le 26 août 1796, officier de la Garde Royale, créé vicomte héréditaire sur institution de majorat du 26 mai 1827 (t. 1, p. 619) À cette famille appartient Louis de Chevigné.
- François Chicoyneau, baron de Lavalette, chancellier et juge de l'Université, intendant du Jardin royal des Plantes et professeur d'anatomie et de botanique à l'école de médecine de Montpellier, conseiller à la cour des comptes et membre de l'Académie des sciences de cette ville, réputé l'un des hommes les plus érudits de son temps. Appelé par le roi à combattre la peste à Marseille et à Aix, en 1726, il est récompensé par l'érection en baronnie de sa terre de Lavalette. Médecin des enfants de France (t. 1, p. 625).
- t. 1, p. 654.
- Gilles de Coatgoureden, seigneur de Kermatehan, en Burtulet (Côtes-d'Armor), maintenu noble d'extraction en Bretagne le 16 juillet 1670. La filiation de cette famille noble remonte à 1395, sans lacune[réf. nécessaire]. (Archives de Saint-Brieuc-3 E-118) (t. 1, p. 656).
- Charles de Coattarel, seigneur de Kervezien, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne le 22 mai 1670 (t. 1, p. 652).
- François de Coetlogon, chevalier, seigneur de Kerberio, en Plestin (Côtes-d'Armor), dispensé de produire à la Réformation de Bretagne, en 1669 (t. 1, p. 662).
- Armand-Guy-Simon de Coëtnempren de Kersaint, chef de division des Armées Navales en 1781, député à l'Assemblée Législative et à la Convention. Armand-Guy-Charles de Coëtnempren, comte de Kersaint, chevalier de Saint-Louis, confirmé dans son titre de comte le 30 avril 1830 (t. 1, p. 670).
- Jean des Cognets, maintenu noble en Bretagne en décembre 1668 (t. 1, p. 671).
- François Collas, maintenu noble d'extraction en Bretagne le 5 janvier 1669 (t. 1, p. 677).
- Jean de Coniac, maintenu noble d'extraction en Bretagne le 19 février 1669 (t. 1, p. 689).
- t. 1, p. 692.
- t. 2, p. 9.
- Jean de Couasnon, homme d'armes de la compagnie du Cardinal de Richelieu, en 1636. Pierre de Couasnon, seigneur de La Barillère, en La Croixille (Mayenne), maintenu noble dans le Bas-Maine, élection de Laval, généralité de Tours, le 18 juin 1668. Jean-César-Elisabeth de Couasnon, maintenu dans sa noblesse en 1789 et admis à monter dans les carosses du roi (t. 2, p. 29).
- Jean du Couedic, seigneur de Kergoualer, en Scaër (Finistère), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 5 janvier 1669. Thomas-Jean-Marie du Couedic, volontaire royaliste pendant les Cent-Jours, tué près d'Auray le 24 juin 1815 (t. 2, p. 34).
- Guillaume de Couespel, maintenu noble en normandie en 1666 (t. 2, p. 41).
- Philippe de Couessin, seigneur de La Berraye, en Caden (Finistère), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 25 octobre 1668 (t. 2, p. 45).
- t. 2, p. 55.
- François Déan obtint le 10 septembre 1693, d'Athelon, roi d'armes d'Irlande, un certificat confirmé par le roi Jacques II, le 23 novembre 1694, établissant sa filiation suivie depuis Frédéric Déan, + le 15 octobre 1017 (t. 2, p. 113).
- t. 2, p. 117.
- Jean-Élie Denis, maintenu noble au Conseil d'État, le 9 mai 1711. Jean-François-Sylvestre Denis, comte de Trobriand, maintenu noble en Bretagne le 23 avril 1768 (t. 2, p. 124).
- t. 2, p. 133.
- Famille d'ancienne noblesse, originaire d'Angoumois ; plusieurs de ses branches ont été maintenues nobles en Poitou et dans la généralité de Limoges, de 1666 à 1718 (t. 2, p. 141).
- René-Guillaume des Prez, seigneur de La Morlais, en Illifaut, (Côtes d'Armor), consul, puis échevin de Rennes, député de Rennes aux États de Bretagne tenus à Vannes en 1754, reconnu noble à l'intendance, le 21 mai 1746, puis par arrêt du Parlement de Bretagne du 2 juin 1770. Louis-François des Prez de La Morlais, mousquetaire de la garde du roi le 16 mars 1774, maréchal de camp en 1790 (t. 4, p. 504).
- Claude Didelot, Conseiller en la Chambre des Comptes du duché de Bar, le 12 mai 1609. Jean-François Didelot, fermier général, guillotiné à Paris, le 8 mai 1794. François-Charles-Luce, baron Didelot, ministre plénipotentiaire, chambellan de l'Empereur, commandeur de la Légion d'Honneur, baron de l'Empire Français, le 30 août 1811 (t. 2, p. 154).
- t. 2, p. 156.
- Charles Doynel, chevalier, seigneur de La Sausserie, près de Domfront (Orne), maintenu noble en Normandie, le 3 avril 1667. François D de La S., reçu page du Roi sur preuves de 1785, chasseur noble à l'Armée de Condé (t. 2,p. 173).
- Jean du Desnay, maintenu noble en Bretagne, le 27 juillet 1669. Louis-Marie-Ambroise, marquis du Dresnay, admis aux honneurs de la cour en 1783, mestre de camp de cavalerie, émigré en 1791, colonel d'un régiment à son nom en 1795, maréchal de camp, chevalier de Saint-Louis (t. 2,p. 175).
- André Drouet de Montgermont, maintenu noble en Bretagne le 14 novembre 1670 (t. 2,p. 180).
- Jean-Baptiste-François Dubois de La Cotardière, en Parthenay (Ille-et-Vilaine), conseiller-secrétaire du roi, anobli le 4 janvier 1817 (t. 2,p. 185).
- Félix Dubois, procureur au Conseil souverain de La Martinique en 1768. Louis-Félix, Dubois de La Patelière, en Paulx, (Loire-Atlantique), chef de Division de l'armée catholique et royale de Vendée en 1795, chevalier de Saint-louis, anobli le 6 décembre 1817. (t. 2, p. 188).
- t. 2, p. 205.
- Mathurin Ertault, seigneur de La Bretonnière, confirmé dans sa noblesse, comme fils d'échevin de Nantes, les 9 décembre 1692 et 3 mars 1701, à l'Intendance de Bretagne (t. 2, p. 218).
- Jean d'Escrot, comte d'Estrée, gentilhomme de la Chambre du Roi en 1637. Jean-Charles d'E., maréchal de camp, gouverneur de Furnes en 1729. Claude-Antoine d'E., lieutenant au régiment du Roi-Infanterie, émigré en 1791, à l'armée de Condé (t. 2, p. 224).
- t. 2, p. 239.
- Charles-Jacques Estourmel, seigneur de Tersannes (Haute-Vienne), garde du corps du roi en 1705, reconnu noble en 1718. André-Aurélien E. de T., cadet gentilhomme au régiment d'Anjou-infanterie, émigré en 1792 à l'Armée des Princes, lieutenant à la Compagnie d'Anjou, puis aux hussards de Damas (t. 2, p. 258).
- Jean Eudes, seigneur d'Eudeville, maintenu noble en Normandie, le 16 février 1669 (t. 2, p. 261).
- Pierre-Marc-Antoine, baron de Fabry le 2 mai 1811, confirmé baron héréditaire le 30 mars 1816, juge, puis premier président à la cour d'Appel d'Aix, député du Var en 1815 t. 2, (p. 263).
- t. 2, p. 297.
- Sébastien Fleuriot, seigneur de Langle en Carnoët, (Côtes d'Armor), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 5 août 1669. Paul-Antoine-Louis F. de L., capitaine des vaisseaux du roi, commanda en second avec La Pérouse l'expédition autour du monde et fut massacré à Samoa (Océanie), le 9 décembre 1787. Son corps repose dans le chœur de l'église Saint-Louis de Brest (t. 2, p. 311).
- Gilles de Forges, seigneur de La Gaudinaye, en Glénac, (Morbihan), maintenu noble en Bretagne, en 1669 (t. 2, p. 334).
- Hilarion de Forsanz, seigneur du Houx, en Talensac (Ille-et-Vilaine) (t. 2, p. 337).
- t. 2, p. 339.
- Thomas Foucher, seigneur de La Fellière et du Perray, maintenu noble dans la généralité de Tours, ressort d'Angers, en 1668. Auguste-Jean-Marie Foucher, comte de Careil, épouse à Saint-Malo, le 24 mars 1824, Caroline-Marie Surcouf, fille du célèbre corsaire. Louis-François F. de C., général de Division, baron d'Empire en 1808, comte héréditaire en 1820 (t. 2, p. 344).
- René de France, seigneur du Chauchix (côtes d'Armor), maintenu noble d'extraction en Bretagne le 9 avril 1669 (t. 2, p. 369).
- Claude de Francheville, seigneur de Truscat en Sarzeau (Morbihan), sénéchal au Présidial de Vannes, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 20 août 1669. Toussaint-Guillaume de Francheville, officier de marine, chef de l'expédition des royalistes de la presqu'île de Rhuys contre Vannes en 1791, puis chef des chouans en 1793, tué à Marsan en l'an IV (t. 2, p. 372).
- Famille originaire d'Italie. François de Frédy, contrôleur des Rentes avant 1685. Autre François, écuyer, seigneur de July, des Mollets et de Coubertin, en Saint-Leu-de-Taverny (Seine-et-Oise), officier de Marine, commandant la frégate l'Entreprenante en 1696, puis le vaisseau l'Ecueil en 1698. Défenseur de Lille en 1708 sur une chaloupe à canons, contre les troupes du prince Eugène, chevalier de Saint-Louis. Henri-Louis de Fredy de Taverny, avocat en 1747, conseiller-clerc au Parlement de Paris, guillotiné en 1794 (t. 2, p. 377).
- Julien de Freslon, seigneur de La Freslonnière, en Le Rheu (Ille-et-Vilaine), chevalier de l'Ordre du Roi en 1617. Gabriel de F., conseiller du roi en ses Conseils d'État, conseiller au Parlement de Bretagne, le 19 août 1633, président à mortier le 20 décembre 1647, député par le Parlement vers le Roi Louis XIV, le 17 octobre 1651. Jean-Baptiste de F., maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne le 12 octobre 1668 (t. 2, p. 383).
- Charles du Fresne, seigneur de Virel (Ille-et-Vilaine), maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 31 octobre 1668. Augustin de V., conseiller au Parlement de Bretagne en 1745 (t. 2, p. 393).
- Pierre de Gaalon, réhabilité dans sa noblesse le 31 mars 1691. Pierre de G., seigneur des Carreaux, lieutenant de la Cie. de La Guyane, en 1688, capitaine à la Martinique, de 1689 à 1694, colonel de milices de 1705 à 1708, établi à la Guadeloupe (t. 2, p. 413).
- Philippe-François Galbaud, seigneur du Fort, maître en la Chambre des Comptes de Bretagne en 1766, puis conseiller au Conseil Supérieur de Port-aux-Princes, décédé à Saint-Domingue le 20 avril 1767 (t. 2, p. 427).
- Jean Gardin, échevin de Rennes en 1644, député aux États de Bretagne en 1665. Gilles G., conseiller-secrétaire du roi en 1720, directeur des monnaies à Rennes. Jean-Guy G., seigneur du Boisdulier, en Chelun (Ille-et-Vilaine), contrôleur général des Domaines et Bois en Bretagne, après 1735 (t. 2, p. 436).
- François du Garreau, gentilhomme ordinaire de la Chambre, capitaine-exempt des Gardes écossaises du corps du Roi, en 1650. Jean du G., mousquetaire français au service de l'Electeur de Cologne en 1637, puis dans la 2e compagnie de Mousquetaires du roi Louis XIV, en 1681. Gabriel du G., seigneur de La Méchenie, en Nouaille (Dordogne), membre de l'Assemblée générale de la noblesse de la Sénéchaussée de Saint-Yrieix en 1789 (t. 2, p. 447).
- René-Simon de Gasté, secrétaire du Roi en 1752. Maurice-Simon, capitaine de Dragons, chevalier de Saint-Louis, maire de Saint-Malo, en 1772 (t. 2, t. 449).
- Raoul de Gaudemont, seigneur de La Monforière, en Plénée-Jugon, (Côtes d'Armor), maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 26 octobre 1668 (t. 2, p. 451).
- Léon de Gazeau, calviniste, maintenu noble en Poitou, le 14 septembre 1624. Charles de G., calviniste, maintenu noble en Poitou, le 15 juin 1670. Louis-Alexandre de G., calviniste, passé en Angleterre à la révocation de l'Edit de Nantes, en 1685. Autre Louis-Alexandre, converti au catholicisme, maintenu noble en Poitou, le 25 juillet 1715 (t. 2, p. 459).
- Michel Gazet, seigneur du Châtelier, en Saint-Léger (Loire-Atlantique), admis à l'École Militaire sur preuves de noblesse du 9 juin 1787 (t. 2, p. 462).
- François de Gérard, seigneur du Barry, en la paroisse de Saint-Quentin (Marcillac-en-Saint-Quentin, Dordogne), lieutenant général au présidial de Sarlat en la sénéchaussée de la dite cité, commissaire du Roi pour l'exécution de l'Edit de Nantes dans le Sarladais en 1598. Armand de Gérard, maintenu noble d'extraction à l'Intendance de Guyenne le 6 novembre 1666, commandant du ban de la noblesse du Sarladais le 3 juin 1674. François de Gérard, officier au régiment de Normandie, blessé à la bataille de Berg-op-Zoom en 1747, membre de l'assemblée de la noblesse du Périgord pour nommer des députés aux États Généraux de 1789 (t. 2, p. 473).
- Jean de Gueyer d'Orth, d'origine suédoise, général feld-maréchal sous l'empereur Ferdinand II de Habsbourg, empereur du Saint Empire Germanique, prit d'assaut la ville et la citadelle de Magdebourg (Prusse), en 1631. Il y sauva une jeune comtesse de Rosenthal qu'il épousa. Jean-David de G. d'O., capitaine de cavalerie du Saint-Empire, obtint, du roi de Suède Charles XII, confirmation de sa noblesse, en 1701. Joseph-Henry, de G. d'O., venu en France, converti au catholicisme, capitaine d'artillerie avant 1730. Henri-Étienne de G. d'O, aide-Major au corps de Kleinholt au service de la France, mort au combat le 15 janvier 1745. Léopold-Henry de G. d'O., reçu à l'école royale militaire sur preuves de noblesse des 9 juillet et 23 octobre 1753 (t. 2, p. 485).
- Julien de Gibon, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 6 avril 1669. Olivier de G., convoqué aux États de Bretagne de 1720 et 1722, major de l'arrière-Ban de l'évêché de Vannes et capitaine-général, garde-côtes d'Auray. Hyacinthe-Vincent-Marie de G., lieutenant général en 1817, grand'croix de Saint-Louis en 1820 (t. 2, p. 491).
- Guillaume Gilart, seigneur de Keranflec'h, en Milizac (Finistère), maintenu noble d'ancienne extraction le 4 septembre 1669 (t. 2, p. 497).
- t. 2, p. 510.
- Sébastien Goguet, reçu auditeur à la Chambre des comptes de Nantes, le 14 septembre 1734 (t. 2, p. 514).
- Jean Goujon de Grondel, commandant en chef à l'île de Groix de 1746 à 1748, chevalier de Saint-Louis. Il sut protéger l'île de l'attaque de la Flotte anglaise, en 1746, et sauva par son feu la frégate La Renommée, commandée par M. de Kersaint. Sommé en 1756 de rendre l'île aux Anglais, il leur répondit que : "S'ils ne connaîssaient pas Grondel, ils n'avaient qu'à venir l'attaquer, ils le connaîtraient". Jean-Philippe G. de G., brigadier des Armées du roi au Département de la Guerre, maréchal de camp, le 9 mars 1788 (t. 2, p. 547).
- La Tradition rapporte qu'au XIIe siècle, Mathieu de Goulaine réussit à réconcilier le roi de France et le roi d'Angleterre. La famille de Goulaine y gagna un bason composé en partition: En 1, parti d'Angleterre, en 2, parti de France// Samuel de Goulaine, gentilhomme calviniste, député des églises réformées de Bretagne au synode de Charenton, en 1644-1645, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne le 13 avril 1669. Louis-Samuel de G., né le 21 mars 1681 élevé dans la religion catholique (t. 2, p. 550).
- t. 2, p. 563.
- Célian-Louis-Anne-Mary Goury, baron du Roslan, secrétaire de la Légation de France à Mexico, baron héréditaire le 9 juin 1846, grand-officier de la Légion d'Honneur en 1866 (t. 2, p. 565).
- t. 2, p. 568.
- Jean Gouyon, seigneur de Coipel, en Renac, (Ille-et-Vilaine), maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 15 juin 1669 (t. 2, p. 588).
- t. 2, p. 576.
- t. 2, p. ...[réf. non conforme]
- Jacques Halna, seigneur du Frétay, en Maroué (Côtes d'Armor), maintenu noble en 1698, et, à l'Intendance de Bretagne, en 1713. Fidèle H. du F., né à Brest le 6 janvier 1771, page du roi, colonel de cavalerie, chevalier de Saint-Louis. Joseph-Charles H. du F., né le 19 avril 1812, général de division, grand officier de la Légion d'honneur (t. 3, t. 8).
- t. 3, t. 30.
- t. 3, p. 51.
- t. 3, t. 61.
- t. 3, p. .. [réf. non conforme].
- Mathieu-Léonard-Joseph Henrys, baptisé à Montbrison, (Loire), le 27 octobre 1645, conseiller du Roi, capitaine-Châtelain de la Prévoté de Châteauneuf-en-Forez (Loire), gentilhomme du prince de Condé, anobli en 1678. Joseph-Léonard-Claude H., seigneur d'Aubigny, (Loire), maréchal de camp avant1740 (t. 3, t. 71).
- t. 3, t. 73.
- Durand de Saint Front (t.VI, p.---)[réf. non conforme].
- t. 3, t. 79.
- Yves-Michel Hervé du Pehhoat, commissaire du roi en ses conseils en 1774, subdélégué de l'Intendance et commissaire des États de Bretagne en 1776, maire de Saint-Paul, arrêté le 13 brumaire, an II, comme père d'émigrés et agent royaliste, guillotiné à Brest le 7 juillet 1794. Jean-Marie Hervé du Penhoat, émigré de 1791 à 1802, anobli le 18 novembre 1815 (t. 3, t. 85).
- t. 3, t. 93.
- t. 3, t. 101.
- t. 3, t. 170.
- t. 3, t. 130.
- t. 3, p. 134.
- t. 3, p. 138.
- t. 3, p. 150.
- t. 3, p. 186.
- Pierre Jouan, seigneur de la Ville-Jouan, en Châteaulin (Finistère), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 7 mai 1675 (t. 3, p. 198).
- Louis Jousseaume, lieutenant général des Armées du Roi, gouverneur de Poitiers, créé marquis de La Bretesche en 1757 (t. 3, p. 215).
- t. 3, p. 220.
- t. 3, p. 222.
- t. 3, p. 237.
- t. 2 (3?), p. 240.
- t. 3, p. 248.
- t. 3, p. 256.
- t. 3, p. 262.
- t. 3, p. 268.
- t. 3, p. 269.
- t. 3, p. 274.
- t. 3, p. 279.
- t. 3, p. 284.
- t. 3, p. 290.
- t. 3, p. 296.
- t. 3, p. 304.
- René de Kerret, seigneur de Quillien, en Pleyben (Finistère), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 18 juillet 1669 (t. 3, p. 306).
- Hamon-Pierre de Kersaint, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 23 août 1669 (t. 3, p. 313).
Autres références
[modifier | modifier le code]- Philippe du Puy de Clinchamps, La Noblesse (1959), Alain Texier, Qu'est-ce que la noblesse ? (1988)
- Il est alors précisé que le bénéficiaire peut "se qualifier Ecuyer et [titre]", contrairement aux Lettres Patentes d'octroi de titre sans anoblissement qui ne font pas état de la possibilité de se qualifier "Ecuyer" (Guy Guérin du Masgenêt, Législation et jurisprudence nobiliaires, p.91)[réf. non conforme]
- Page « La table des familles » (lire en ligne).
- Valette (2007) : 3 092 (l'un des deux seuls qui donnent des chiffres précis). Tallandier 2008 : environ 3 500 dans son introduction, mais seulement environ 2 700 dans sa liste, qui reste lacunaire. Patrice du Puy de Clinchamps, Dictionnaire de la noblesse (2005-2009) : un peu plus que Valette dans ses 5 tomes. Nicolas Guerre, Noblesse 2001 : annonce environ 3 500 familles dans son introduction. Nicolas-Philippe Piot, Noms dits et autres friandises, 2009. Arnaud Clément donne, dans un travail non publié, environ 3 320 familles en 2020.
- Guy Chaussinand-Nogaret, La noblesse française au XVIIe siècle, p. 48[réf. incomplète].
- Benoît Defauconpret, Les preuves de noblesse au XVIIIe siècle, p. 71[réf. incomplète].
- « Consulter la table des familles », sur le site de l'Association d'entraide de la noblesse française (consulté le )
- Il est alors précisé que le bénéficiaire peut "se qualifier Ecuyer et [titre]", contrairement aux Lettres Patentes d'octroi de titre sans anoblissement qui ne font pas état de la possibilité de se qualifier "Ecuyer" (Guy Guérin du Masgenêt, Législation et jurisprudence nobiliaires, p. 91)[réf. non conforme]
- Charles d'Hozier, Armorial général de France (7e registre, 1re partie)
- Alain Galbrun, État de la Noblesse française subsistante, volume 39, p. 9.
- E. de Séréville, F. de Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, 1975, page 97.
- Charles de Beaucorps, D'Aboville, une famille de soldats, 1975
- Jules Villain, La France moderne (lire en ligne)
- Alain Galbrun, État de la Noblesse française subsistante, volume 5, p. 9)
- Michel Authier, Alain Galbrun et Jacques Dell'Acqua, État de la Noblesse française subsistante, volumes 5-9, 6-213 & 22-341.
- Nicolas Viton de Saint-Allais, Nobiliaire Universel de France (t.XXI), p.---[réf. non conforme].
- Louis-Étienne Charpillon à l'article concernant La Haye-Saint-Sylvestre (Eure). (En ligne).
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- François Bluche, Les Honneurs de la Cour.
- Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 16-17 (présentation en ligne).
- Arrêt de la Cour des Aides de Paris du 18 août 1775, Archives nationales - cote Z 1A 615 (lire en ligne [PDF]).
- Achères, seigneurie en Gatinois, unie à la baronnie de Rougemont, par Lettres du 8 juillet 1626, érigée en marquisat de La Chapelle-Lareine, en avril 1680, en faveur de Jean-Pierre d'Argouges, conseiller d'État, mort le 4 janvier 1745. Henri-Louis d'Argouges, lieutenant-général des armées du roi le 4 mai 1744.(Comte de Waroquier, Tableau généalogique et historique présenté au roi, 1786)
- Maintenue dans la Noblesse par Ordonnance du 26 avril 1668 pour Antoine de Castanet Seigneur de Cambayrac (sous le nom de Cast. de Camb.) Sénéchaussée de Villefranche-de-Rouergue, Reprise du nom d'Armagnac en 1787, Titre de comte d'Armagnac (brevet militaire de François Hilaire d'A. de Cast. en date du 11 mai 1816). Généalogie Hippolyte de Barrau, tome III, p. 573-585.
- Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 19-20 (lire en ligne).
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- Saint-Houardon 2007, p. 106.
- Arrêts du Conseil souverain de Corse des 4 février 1783, 14 septembre 1783 et 8 juin 1787 reconnaissant la noblesse de Hyacinthe Arrighi de Casanova (1748-1819) et de sa famille de Corte, in Armorial Corse, Pierre-Paul Raoul Colonna de Cesari-Rocca, EDR, 2020, p20 (lire en ligne). La branche subsistante descend d’un de ses frères cadets, Jean-Baptiste Philippe Arrighi de Casanova (1760-1819), conseiller général de la Corse.
- Lettres patentes du 24 avril 1808 octroyant le titre de duc de Padoue à Jean-Thomas Arrighi de Casanova (1778-1853), général, colonel des dragons de la Garde Impériale.
- Lettres patentes du 16 septembre 1808 octroyant le titre de baron de l’Empire à Antoine-Louis Arrighi de Casanova (1755-1809), évêque d’Acqui.
- Laurent Morand, Anciennes corporations des arts et métiers de Chambéry et de quelques autres localités de la Savoie : personnel ecclésiastique du diocèse de Chambéry de 1802 à 1893, Impr. savoisienne (Chambéry), 1893, p. 269-274, ([lire en ligne]).
- Lussan en Languedoc, érigé en comté par lettres du mois d'octobre 1645, en faveur de Jacques Audibert, baron de Valrose, maintenu dans sa noblesse le 29 novembre 1645. Louis Jacques Audibert de Lussan, né en 1703, mort archevêque de Bordeaux le 15 novembre 1769. (Comte de Waroqier, Tableau généalogique et historique présenté au roi, 1786[réf. à confirmer]).
- DNF 1975, p.129
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- E. de Séréville, F. de Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, 1975, page 198.
- Famille Bonardi, originaire du Piémont. Claude de Bonardi, lieutenant du comté de Nice en 1587. Gaspard de Bonardi, écuyer en 1624. Noble Balthazar de Bonardi, mousquetaire du roi en 1723, nommé lieutenant au Régiment Royal d'Infanterie en 1755. C'est en sa faveur que la terre du Ménil a été érigée en baronnie par lettres du mois d'octobre 1778, reg. à Rouen le 14 janvier 1779.
- Philippe Lazerme, Noblesa Catalana, La Roche-sur-Yon, 1975, vol. I, p. 184.
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- « Cat'zArts - Affichage d'une notice », sur www.ensba.fr (consulté le )
- originaire du Morbihan, commune de Saint Gilles.
- Comte de Jouvencel, L'assemblée de la Noblesse de la Sénéchaussée de Lyon[réf. non conforme].
- Jean-Charles Varennes, Les Bourbon Busset, Paris, Librairie académique Perrin, 1981, 346 pages (ISBN 2-262-00234-7).
- Maintenue de noblesse à l'intendance de Guyenne le 29 août 1667 et en 1698. Admission aux Pages de la Petite Ecurie, le 21 mars 1776. État de la Noblesse française subsistante, Authier et Galbrun, volume 33, 2006.
- E. de Séréville, F. de Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, 1975, page 217.
- Argens, viguerie de Castellane, actuel canton de Saint-André-les-Alpes. Marquisat en faveur de la famille de Boyer.
- Étude de Luc Antonini, in Les grandes familles provençales aujourd’hui (volume 3, p. 21).
- dictionnaire-journalistes.gazettes18e.fr (lire en ligne).
- Généalogie contemporaine de la famille de Boyer-Montégut (lire en ligne).
- Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 104-105 (présentation en ligne).
- « FRAN_IR_057697 - Salle des inventaires virtuelle », sur www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (consulté le )
- Athanase-Jean Bricogne, maire du 6e arrondissement de Paris, titré chevalier de l'Empire 1811, anobli par Louis XVIII le 2 août 1814, selon Chaix d'Est-Ange (cf. infra) et Révérend, Titres, anoblissements et pairies de la Restaurations, 1901, p.-- [réf. non conforme].
- Louis Lainé, Archives généalogiques et historiques de la noblesse de France ou Recueil de preuves, mémoires et notices généalogiques (tome 9), Paris, 1844, p.-- [réf. non conforme].
- Selon Gilles Goüin d'Ambrières, généalogiste spécialisé de l'Anjou et la Touraine[réf. nécessaire], voir aussi Bernard Mayaud, Recueils de généalogies angevines, tome 2, ...., p.--[réf. non conforme].
- vérifiées en Parlement le
- Aignan-Etienne Brossard, trésorier de France au bureau des finances d’Orleans en 1784.
- L.P. du du roi Louis-Philippe accordant le titre de baron avec majorat et règlement d'armoiries à Aignan-Etienne Brossard
- Acte récognitif : lettres patentes du du roi Louis-Philippe accordant le titre de baron avec majorat et règlement d'armoiries à Aignan-Étienne Brossard, trisaïeul du candidat, et arrêt du Conseil du Sceau en date du , confirmant l'investiture d'Aignan-Étienne et valant brevet d'investiture pour Charles-Paul Brossard de Corbigny, frère de l'aïeul du candidat.
- La Guerche, terre et seigneurie dans l'évêché de Nantes, érigée en marquisat par lettres de février 1682 reg. à Nantes le 18 février 1684 et à Rennes le 3 juillet 1686, en faveur de René de Bruc, maréchal de camp et lieutenant du roi à Arras. (Comte de Waroquier. Tableau de la Noblesse présenté au roi. 1787)
- Filiation rigoureusement prouvée depuis Henry de Bryas, dit de Bristel, l'un des 121 gentilshommes présent en 1414 aux États d'Artois. Érection en marquisat de la seigneurie de Royon (Pas-de-Calais) en avril 1692 par Lettres Patentes du roi Louis XIV. (Authier et Galbrun, État de la noblesse française subsistante, 2005, Vol.32 [réf. non conforme].
- Archives nationales P2440.
- Acte récognitif : lettres patentes de trésorier royal du en faveur de Jean François, 6e aïeul du candidat, succédant à son père mort en charge (A.N. P 2440).
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b100819160/f159.item.r=burtel%20burtel
- Durand de Saint-Front, Filiations bretonnes, (tome VI) [réf. non conforme].
- Jean de Vaulchier, Jacques de Saulieu, Jean de Bodinat, Armorial de l'ANF, Ed. du Gui, 2004, p.-- [réf. non conforme].
- Jacques de Cauna, Cadets de Gascogne, ...., p.-- [réf. non conforme].)
- Elzéar de Cadenet, docteur en médecine à Salon-de-Provence, qui s'appelait primitivement Samuel Vitalis Carcassoni, était un néophyte converti vers 1486 (baron Auguste du Roure Histoire véridique de la noblesse de Provence : d'après un manuscrit inédit publié avec une suite des généalogies, Bergerac, 1912, p.-- [réf. non conforme].).
- Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 120-121 (lire en ligne).
- E. de Séréville, F. de Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, 1975, p. 253.
- Louis de La Roque et Edouard de Barthélemy, Catalogue des gentilshommes de Provence et de la principauté d'Orange qui ont pris part ou envoyé leur procuration aux assemblées de la noblesse pour l'élection aux états-généraux de 1789, Paris, Aug. Aubry et E. Dentu, , 32 p. (lire en ligne), p. 23
- Borel d'Hauterive, Annuaire de la pairie et de la noblesse de France, 1846, p. 186 (présentation en ligne).
- Enregistrées en la chambre des Comptes de Normandie le
- Louis-François Carlet de La Rozière nommé maréchal de camp le 5 octobre 1781. Avait obtenu le 21 avril 1777 des lettres d'approbation de service pour lui, son père et son grand-père et avait été créé marquis de La Rozière par Lettres Patentes de 1780. (D. Labarre de Raillicourt, La Noblesse Militaire, Paris, chez l'auteur, 1962, p.--[réf. non conforme]).
- Maintenue de noblesse en Auvergne le 28 juillet 1667. Preuves pour une sous-lieutenance du 3 novembre 1787. État de la noblesse française subsistante, Authier et Galbrun, vol. 33, 2006, p.--[réf. non conforme].
- E. de Séréville, F. de Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, 1975, page 262.
- Acte récognitif : Comparution de la noblesse de la sénéchaussée du Périgord en date du , signée des membres présents dont le "chevalier de Montvert", quart-aïeul du candidat, et une filiation de 3 actes qualifiés distincts par génération jusqu'en 1660 et filiation "qualifiée" par un acte jusqu'en 1584 (A.D. de la Dordogne 6 C38 p. 35).
- L'adjonction du nom de Fitz-James par adoption en 1923.
- AN 149 Mi 24 et BB30 1601.
- Acte récognitif : lettres patentes du érigeant un majorat et y attachant le titre de baron héréditaire en faveur d'Alphonse Cassin (A.N. 149 Mi 24), 4e aïeul du candidat, et Arrêté du Ministre de la Justice du inscrivant sur les registres du Sceau de France Auguste Léonce Cassin comme ayant succédé au titre héréditaire de baron et au majorat y attaché dont son père, Alphonse, était en possession (A.N. BB30 1601).
- Robert de Roton, Les arrêts du grand conseil portant dispense du marc de noblesse, Patrice du Puy, (lire en ligne), p. 428-429
- Louis d'Izarny-Gargas, Jean-Jacques Lartigue, Jean de Vaulchier, Nouveau nobiliaire de France - Recueil de preuves de noblesse, vol. 1 (A-D), Versailles, Mémodoc, (lire en ligne), p. 272
- La famille Cauvel de noblesse chevaleresque suédoise est installée à Montdidier depuis le début du XVe siècle. Le premier membre recensé à Montdidier est Colart Cauvel chevalier époux en 1483 d'Agnès de Halloy (fille de Baude, écuyer, seigneur de Conchy) selon Victor de Beauvillé Histoire de Montdidier, pièce justificatif 120 vol. 3, ...., p.--[réf. non conforme].
- « Le Château de Montgeon », sur le site lhcity.canalblog.com, publié le 25 novembre 2009.
- Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises, anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, Évreux, tome XI, CIB-COR, 1912 en ligne.
- Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 126 (lire en ligne).
- Philippe Lazerme, Noblesa Catalana, La Roche-sur-Yon, 1975, vol. I, p. 295.
- Louis de La Rocque, Armorial de la noblesse de Languedoc, t. 1, p. 132.
- Gaston de Jourda de Vaux, Le Nobiliaire du Velay, 1924, T.1, p. 206-207.
- Lettres de confirmation de noblesse enregistrées le
- Saint Saud, Essais Généalogiques Périgourdins, ...., p.-- [réf. non conforme].
- A relevé La Palice par décret de 1862. Second rameau cadet de la branche aînée des marquis de Curton
- branche cadette
- Fr 32108, f°109
- Jean-Baptiste Bouillet, Nobiliaire d'Auvergne, t. II, , p. 92
- B.M. Rennes Mss 504 et 505
- Adolphe de Villenaut, Nobiliaire de Nivernais (II), 1900, p.--[réf. non conforme].
- Adam Antoine de Chassepot, président de la cour des aides de Paris en 1675. Jean François de C. de P., Baron de l'Empire sur institution de majorat le 8 juin 1813, marquis de Pissy le 11 septembre 1820. État de la noblesse française subsistante, Authier et Galbrun. Volume 33, 2006, p.--[réf. non conforme].
- Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 126 (lire en ligne).
- E. de Séréville, F. de Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, 1975, p. 288.
- Famille éteinte en ligne masculine avec André de Chateaubriand (1920-2001), dont descendance féminine subsistante, in Généalogie de la famille de Chateaubriand, Bernard Lebeau, Ed. Selbstverl, 1998, p15.
- Généalogie contemporaine de la famille de Chateaubriand (lire en ligne).
- A.N. MM817 et B.N. Chérin no 102
- Autorisé à relever le titre de sa mère née Tascher de La Pagerie, par arrêté ministériel du
- Bibliothèque nationale, manuscrits français no. 32133
- Acte récognitif : Certificat de noblesse dressé par Louis-Pierre d'Hozier, le , pour l'admission à la Maison royal de Saint-Cyr de Amable de Chovigny de Blot, sœur de Sébastien, 6e aïeul du candidat (B.N. man. Français 32133).
- A.N. X1a 8739 f° 352-353-354 et 355
- Acte récognitif : Enregistrement au Parlement des Lettres d'anoblissement pour les sieurs Jean Madeleine et Jean Victor Chebrou du .
- E. de Séréville, F. de Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, 1975, p. 294.
- Woëlmont, Notices Généalogiques (t.II), ...., p.-- [réf. non conforme].
- Blondeau de Charnage, Histoire Généalogique de la maison de Chérisey, ...., p.--.
- François Bluche, Les honneurs de la cour, ...., p.--.
- G. du Mas des Bourboux, L’Ancienne Noblesse du Périgord subsistant en Dordogne, Périgueux, Pilote, 2001, p. 84.
- G. du Mas des Bourboux, L’Ancienne Noblesse du Périgord subsistant en Dordogne, Périgueux, Pilote, 2001, p. 86.
- Guillaume de Clamorgan, de l'élection de Carentan, fut maintenu par Montfaut en 1463.
- Acte récognitif : François de Coataudon, écuyer, seigneur de Hamon, et son fils Guillaume, 8e aïeul du candidat, ont été maintenus à la Réformation de Bretagne le .
- PPC 2005-2009[Quoi ?]
- Le chef de cette famille, Nicolas Colas, s'est fixé en Orléanais vers 1350, étant conseiller du duc d'Orléans, fils du roi Philippe VI de Valois. Les branches subsistantes sont issues de Jaques Ier Colas des Francs, maire d'Orléans en 1696. (Authier et Galbrun, État de la Noblesse Française subsistante, vol.18, page 52).
- Famille dont la noblesse est d'abord reconnue pour deux membres de la famille aux Pays-Bas en 1814, suivi par l'incorporation dans la noblesse néerlandaise pour trois frères avec le titre de baron pour tous en 1816, Voir Nederland's Adelsboek 81 (1990-1991), p. 259-292 et article sur WP:NL (nl).
- Sur preuves de 1661[réf. nécessaire].
- Paul Guichonnet, Mémoires et document : Histoire d'Arthaz-Pont-Notre-Dame, t. 92-93, Académie salésienne, , 319 p. (lire en ligne), p. 93-94.
- Actes récognitif : , Arrêt d'enregistrement par le Conseil provincial et supérieur d'Artois des lettres patentes de juillet 1762, portant union des terres de Planques et des Granges en vue de leur érection en titre et dignité de baronnie de Contes des Granges, en faveur de Marie François Antoine Joseph de Contes, 6e aïeul du candidat.
- Tisseron, Annales historiques, nobiliaires et biographiques (année 1887), p.--.
- A.D. de la Vienne 157 f°31
- Acte récognitif : Maintenue de noblesse du par M. de Richebourg, Intendant de la généralité de Poitiers, en faveur de Louis de Coral, écuyer, seigneur de La fouchardière, 7e aïeul du candidat.
- Seul le rameau du Renouard, de la branche de Glatigny subsiste (lire en ligne).
- Clément 2023, p. 242.
- Les Coriolis étaient cultivateurs à Marcoux, près de Digne, à la fin du XVe siècle (Histoire Véridique de la Noblesse de Provence, par le baron du Roure (Bergerac, 1912)).
- Procès-verbal d'admission pour les écoles militaires établi en 1789 en faveur d'Alexandre Cornaro de Curton, baptisé le 28 juillet 1779 à Marmanhac (Cantal).
- Louis de Ribier, Preuves de la noblesse d'Auvergne, p. 590, note 2 (lire en ligne).
- Louis Pierre et Antoine Marie d'Hozier de Serigny, Armorial general de la France, volume 1, page 153 (présentation en ligne).
- Louis-Étienne Charpillon et l'abbé Caresme, in Dictionnaire historique de toutes les communes du département de l'Eure t. II), ...., p.--[source insuffisante]
- B.N. Fr 32087, no 80
- Régis Valette, Catalogue de la noblesse française, édition de 1989, page 68.
- Trois branches légitimes issues de René Couppé de Keroual dont les titres ont été enregistrés au Conseil Souverain de la Guadeloupe le 7 avril 1693 (Borel d'Hauterive, Annuaire de la noblesse de France, 1874, p. 262).
- Régis Valette,Catalogue de la noblesse française, édition de 1989, page 68
- Guy Leborgne, Armorial de Bretagne, Rennes, 1681, p. 66.
- Armorial de l'ANF, Editions du Gui, 2004, notice no 1101, p. 472
- Gentilhomme de la Chambre de Charles-Quint, anobli le 12 août 1533 par Lettres Patentes. Preuves de noblesse pour être admis dans les Écoles Militaires en 1788. (Authier et Galbrun, État de la Noblesse Française subsistante, Vol. 18, page 121).
- Acte récognitif : Arrêt du Conseil souverain de la Martinique du , e faveur de Jean-Louis Crosnier, 6e aïeul du candidat, et de ses frères, tous fils de feu jean-Antoine Crosnier, lui-même frère de François et Michel Crosnier, le dit arrêt déclarant commun l'arrêt d'enregistrement des titres de noblesse rendu le au profit desdits François et Michel Crosnier, à savoir les lettres patentes de maintenue de noblesse sur arrêt du Conseil du Roi du .
- A.N. B IV 76
- A.D. de l'Indre C1075 et 3E044/12
- Acte récognitif : Lettres de provisions du pour une charge de Président Trésorier de France à Bourges, en faveur de Léon Crubelier, seigneur de Chandaire, 6e aïeul du candidat, succédant à son père Nicolas mort en charge le .
- Acte récognitif : Certificat de noblesse délivré par Louis Pierre d'Hozier en janvier 1761, en faveur de Gabriel François de Cussy de Mandeville, frère de Louis François, 5e aïeul du mari de la candidate, pour l'admission au nombre des pages de la Reine (BN Nouveau d'Hozier 112 no 2302).
- « FRAN_IR_057697 - Salle des inventaires virtuelle », sur www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (consulté le )
- Pat Sav Reg 39 f° 270, archives de la Chambre des Comptes de Turin.
- Archives de Paris DC 6/32 f° 78
- Woëlmont, in Notices Généalogiques (t.VIII), p. -[réf. incomplète]
- Quatre degrés prouvés en 1666.
- A.N. 149 Mi 1
- Antoine de Jean de Caderousse, seigneur de La Batie, secrétaire du roi le 14 février 1738, résignation du 28 avril 1759. Alain Galbrun, in État de la noblesse française subsistante (Volume 33)
- Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 188 (lire en ligne).
- État de la noblesse française subsistante, Volume 33, 2006. Authier et Galbrun, p.--[réf. non conforme].
- (AD Hérault B 587) - AG de l'ANF du 12 juin 1954
- Mourut en charge à Avallon le .
- Roger de Lurion, Nobiliaire de Franche-Comté, 1890, p. 326.
- Fernand de Saint Simon, Dictionnaire de la noblesse française, 1977, p. ??.
- Jean-Marie Thiébaud, Les comtes, vicomtes, barons et chevaliers en Franche-Comté, dictionnaire historique, biographique et généalogique, Pontarlier, 2009, page 153.
- Avis de décès le 24 avril 2016 de Armand Desbiez de Saint-Juan, famille subsistante dans cette branche avec ses filles Jocelyne et Marylis ainsi que sa sœur Marguerite Desbiez de Saint-Juan épouse Fulget.
- « Antoine, François, Erhard, Marie, Catherine Desmousseaux de Givré », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
- (Jean Desplaces de Charmasse (1656-1731), titulaire de la charge, mort en fonction)/Son fils, Hugues Charles Desplaces de Charmasse, (1695-1787), lieutenant au régiment d'Aquitaine, a obtenu le 3 avril 1786, un certificat de noblesse pour les sous-lieutenances, délivré par Chérin. (Source : ANF, AG du , AR1720). Hugues Charles Desplaces de Charmasse a comparu aux assemblées de la noblesse en 1789. Il a été élu député de Saône-et-Loire de l'Assemblée Législative le 31 août 1791[réf. nécessaire].
- Clément 2023, p. ???.
- Pierre Dibart, seigneur de La Villetanet (Ille -et-Vilaine), maintenu noble en Bretagne le 17 mai 1669. Pierre-Théodore D. de La V., officier de la Marine royale, tué par les bleus en 1795 (t. 2, p. 152).
- F. Bluche, L'origine des magistrats du parlement de Paris au XVIIIe siècle (1715-1771), Paris, 1956, p. 150.
- F. Bluche, L'origine des magistrats du parlement de Paris au XVIIIe siècle (1715-1771), Paris, 1956, p. 151.
- Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 192 (présentation en ligne).
- F. Bluche, L'origine des magistrats du parlement de Paris au XVIIIe siècle (1715-1771), Paris, 1956, p. 153.
- Armorial ANF, 2004, p.577 (Louis Pierre d'Hozier) : preuves de noblesse de 1769 (admission dans les cadets gentilshommes de l'École Royale Militaire).
- Les aînés, en 1767, sont marquis pour leurs services et leurs alliances, mais s'éteignent en 1905. Philippe du Puy, L'ancienne noblesse française, p.---[réf. non conforme].
- Guy Leborgne, Armorial de Bretagne, Rennes, 1681, p. 75.
- Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 196 (lire en ligne).
- O'Gilvy, Nobiliaire de Guyenne et de Gascogne, p. -[réf. non conforme].
- S.H.A.T. 4Yd 3154 f°36
- Acte récognitif : Brevet de pension du en faveur de Jean Elie Duboys de La Bernarde, maréchal de camp depuis le , 4e aïeul du candidat.
- Cette famille est enregistrée à l'ANF sous le nom du colonel Jean Marin-Dubuard, colonel major de l'artillerie à cheval de la Garde Impériale. Par acte de Reconstitution no 193 de La Fère, son fils Auguste né le 30 décembre 1813, est renommé Auguste Dubuard (Jugement du Tribunal civil de Laon du 26 juillet 1837). La famille subsistante conserve le nom de Dubuard.
- B.N. man. fr. 32092
- Acte récognitif : Procès-verbal des preuves de noblesse de Pierre du Chassaing de Rateboul (alias Ratevoul), 4e aïeul du candidat, pour admission aux Écoles Royales Militaires, établi par d'Hozier le .
- AR de l'ANF du 21 novembre 1985 : Le 16 mars 1782, Attestation de mort en charge d'un conseiller secrétaire du Roi près la Cour des Aides de Clermont-Ferrand, pourvu le 5 juin 1765 dans Armorial de l'ANF, Édition du Gui, 2004, p. 743.
- Alain Galbrun, État de la Noblesse française subsistante, vol. 8, 1980, J. Dell'Acquo, Paris, 226 pages, p.57.
- « FRAN_IR_057697 - Salle des inventaires virtuelle », sur www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (consulté le )
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- « Notice sur la famille Dutheil de La Rochère », in Chronique Diesbach (no 4, 1973, p. 23-30).
- Baron Woélmont de Brumage in Notices Généalogiques, 6e série, p.--[réf. non conforme].
- Acte récognitif : Liste des anoblis de la province d'Auvergne qui ont payé leur taxe à M. Mabru (receveur général des consignations de Clermont) en suite de l'édit d'avril 1771, incluant Estienne François Dutour, 6e aïeul du candidat (A.D. du Puy-de-Dôme 1 C 5005).
- Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 784 (lire en ligne).
- Michel Authier & Alain Galbrun, État de la noblesse française subsistante, ...., vol. 27, p.--[réf. non conforme].
- AD38, paroisse de Jarrie, naissance le 4/6/1635 de Barthélémy Bastard, le 25/2/1665 de Philippe Bastard-Duverney, à Barraux le 8/1/1726 de Philippe du Verney
- Auriac, Armorial de la Noblesse de France (t.VI), p.-- [réf. non conforme].
- Antoine Charles Esmangart, seigneur de Bournonville, maréchal des logis au régiment des gardes suisses, anobli en décembre 1776. Louis François E. de B., admis dans les gardes du corps du Roi le 28 mai 1788. (B.N. Chérin 214) [réf. non conforme].
- Maitenue à l'Intendance de Provence, le 19 octobre 1668. Authier et Galbrun. État de la Noblesse Française Subsistante, vol. 33, page 98.
- E. de Séréville & F. de Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, 1975, page 409.
- NNF 1998, tome 2 (E à L)
- Comte de Waroquier, Tableau généalogique et historique de la Noblesse présenté au roi, 1786, p.
- E de Séréville, F de Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, 1975, page 411.
- Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 207-208 (lire en ligne).
- Gaspard d'Estresse, maintenu dans sa noblesse par M. d'Aguesseau, Intendant de Limoges, le 8 août 1667. (Comte de Waroquier, Tableau généalogique et historique de la noblesse présenté au roi, 1786)
- « Pierre, Marc, Antoine, Bruno de Fabry », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale (consulté en ).
- Cette famille, d'origine chevaleresque, a été maintenue dans sa noblesse par Dorieu, intendant de Soissons, le 18 novembre 1667 et par Caumartin, intendant de Champagne, le 21 décembre 1668. (Woëlmont de Brumagne, Paris 1928-1931)[réf. nécessaire].
- Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 225-226 (lire en ligne).
- Guy Leborgne, Armorial de Bretagne, Rennes 1681, p. 83.
- Gustave Chaix d'Est-Ange, « Foäche », dans Dictionnaire des familles françaises, anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, t. XVIII, Évreux, FEL-FOR, (lire en ligne), p. 231-.
- Baron du Roure, Histoire Véridique de la Noblesse de Provence, Bergerac, 1912, p.--[réf. non conforme]
- BM. de Rennes, mss 504-505
- A.N. 9957/14 et B.N. Fr 32106/2 no 9
- Villain, La France Moderne (t.III), ...., p.--[réf. non conforme].
- E. de Séréville, F. de Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, 1975, page 455 et 456.
- François Bluche, Les honneurs de la cour, Patrice du Puy (éditeur), p.---[réf. non conforme]
- B.N. Chérin 214
- Certificat de noblesse du pour être admis comme élève de la marine, délivré par Chérin en faveur de Marie-Joseph de Fumel, 5e aïeul du candidat[réf. nécessaire].
- Société d'archéologie et de statistique de la Drôme, Bulletin d'archéologie et de statistique de la Drôme, vol. 56, Valence, (lire en ligne), p. 29
- Sur preuves remontant à 1516[réf. nécessaire].
- François Bluche, Les honneurs de la cour, p.-- [réf. non conforme].
- Jules Auteur du texte Villain, La France moderne... / J. Villain, 1906-1913 (lire en ligne)
- Acte récognitif : Certificat de sous-lieutenance délivré par Chérin le pour Claude Marie Hector de Garron de La Bévière, frère de Pierre-Jules, trisaïeul du candidat[réf. nécessaire].
- Chronologie des officiers des Cours souveraines de Provence, par Balthasar de Clapiers-Collongues (Édition de la Société d'Études Provençales, Aix-en-Provence 1909) [réf. non conforme].
- Les Gasquet étaient cultivateurs et ménagers à Cuers, au Revest, à Tourves et dans d'autres localités voisines, vers le milieu du XVIe siècle, in Histoire Véridique de la Noblesse de Provence, par le baron du Roure (Bergerac, 1912) [réf. non conforme].
- Dortan par décret de 1868.
- Albert Révérend, Armorial du Premier Empire, ...., tome II, p. 216.
- Tallandier 2008, p. 113
- Alphonse Brémond, Armorial général des familles nobles du pays Toulousain, L. Hébrail, (lire en ligne)
- Albert Révérend, Titres, anoblissements et pairies de la Restauration (III), ...., p.--[réf. non conforme].
- Recueil de jurisprudence civile du pays de droit écrit et coutumier, par ordre alphabetique. Quatrième edition, considerablement augmentée, par Me Guy du Rousseaud de la Combe, 1769, page 155 (présentation en ligne)[réf. à confirmer].
- Révérend, in Titres, anoblissements et Pairies de la Restauration (t.III), ...., p.--[réf. non conforme].
- Acte récognitif : Procès-verbal des preuves de noblesse du délivré par Antoine Marie d'Hozier de Sérigny, en faveur de Pierre-Henry de Gérault de Langalerie, frère de Pierre, quart-aïeul du candidat, en vue de son admission dans les Écoles Royales Militaires (B.N. fr 32087, no 28)[réf. à confirmer].
- Louis d'Izarny-Gargas, Nouveau nobiliaire de France,...., p.--[réf. non conforme] - Jean-Jacques Lartigue et Jean de Vaulchier paru chez Mémoire & Documents. GERVAIS, Sr de ROUVILLE (de): (Jacques) Arrêt du Conseil du 17 décembre 1733 portant relief de dérogeance et maintenue de noblesse (A.N., E.2131, f°330-335).
- Tardieu, Dictionnaire du Puy de Dôme,...., p.--[réf. non conforme]
- Albert Révérend, in Titres, anoblissements et pairies de la Restauration (t.III),...., p.--[réf. non conforme].
- Anthoine-François de Girval, seigneur du Vigan, (Gard), capitaine des Chevau-Légers le 7 octobre 1652, gentilhomme ordinaire du roi le 28 mai 1663, gouverneur des Pages de la Petite Ecurie. Pierre-Paul de G., maintenu dans sa noblesse en 1743. Jacques-Charles de G., cornette au régiment de Penthièvre, puis chef d'escadrons, chevalier de Saint-Louis, le 24 mars 1762, convoqué aux États préparatoires pour les élections des États Généraux de la Noblesse, le 27 janvier 1789. (Dossier ANF).
- Cette famille, portait autrefois le nom de Picot et remonterait au XIIe siècle. Anoblie en octobre 1578,. Lettres Patentes enregistrées à la chambre des comptes de Paris, le 27 mars 1580. Confirmation de noblesse en décembre 1614. Maintenue en 1666. Certificat de noblesse délivré par Chérin le 14 juin 1783 pour un candidat à une sous-lieutenance (Authier et Galbrun, État de la Noblesse Française subsistante, vol. 18, page 152).
- Beauchet-Filleau, Dictionnaire historique et généalogique des familles du Poitou, t. IV, , p. 271
- Anoblissement de Claude-Antoine Goupil des Pallières, maire de Nemours, à la suite de l'ordonnance du 8 avril 1820, Archives nationales, Cote BB/29/978, page 448.
- Jérôme Floury, Eric Lorant, Catalogue généalogique de la Noblesse bretonne, Sajef, Rennes, 2000, p.--[réf. non conforme]
- E. de Séréville, F. de Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, 1975, page 496.
- Cette famille remonterait au XIIIe siècle en Pays de Gex, Savoie. Elle est passée en Guyenne avec Jean de Grailly, sénéchal de Guyenne pour le roi d'Angleterre en 1303. Maintenues de noblesse en Guyenne par Pellot le 19 février 1667 et par Bazin de Bezons le .
- La terre et seigneurie de Villersexel est érigée en marquisat sous le nom de Grammont par Lettres de décembre 1718, reg. en la Chambre des comptes de Dole, en faveur de Michel Dorothée de Grammont, Lieutenant-général des Armées du roi. (Comte de Waroquier, Tableau de la noblesse présenté au roi, 1787.)
- Hippolyte de Barrau, Documents historiques et généalogiques sur les familles du Rouergue..., article de Grandsaigne-d'Hauterive, tome 4, pages 265 à 269 (« VisuArchives » (Inventaires d'archives et documents utiles aux généalogistes aveyronnais), sur le site c.barret3.free.fr.
- Bar: cette terre fut donnée en 1243 par le comte de Provence à Rambaud de Grasse et érigée en comté par François Ier en faveur de Claude de Grasse. Ce titre fit confirmé à son fils, Claude (2) de Grasse par Henri III en 1580. (Comte de Waroquier, Tableau de la Noblesse présenté au roi, 1787.)
- La famille Gravier de Vergennes est actuellement subsistante en lignée agnatique par Bernadette née en 1932, Noëlle née en 1936, et Geneviève née en 1940[réf. nécessaire]
- Valette 2007 p.97
- François DE CAMPS, abbé de Signy, Collection de copies de pièces sur l'histoire de France, formée par François DE CAMPS, abbé de Signy (1723). III MÉLANGES. 115 Annoblissemens., , 390 p. (lire en ligne), p. 130
- Nobiliaire universel de France : ou Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, Paris, Bureau du Nobiliaire universel de France, Réimprimé à la Librairie Bachelin-Deflorenne, , p. 83-87
- B.N. Fr 11927/8
- Une branche a relevé Trémont par voie d'adoption.
- Saint-Simon Séréville (supplément)[réf. incomplète]
- Charondas, Le Cahier noir, 1957, éditions Patrice du Puy, p.37
- version 2020, p. 298-299.
- Une branche devenue Leclerc de Hauteclocque par décret du publié aux JO des 19 et 26 novembre 1945.
- Heeckeren (de) aux Pays-Bas par arrêté royal de 1836, par arrêt de 1841 du Tribunal civil de Colmar en France. Heeckeren d'Anthès (de) par arrêts des tribunaux français en 1947, 1948 et 1950.
- E de Séréville, F de Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, 1975, page 528.
- Pol Potier de Courcy, Nobiliaire de Bretagne, 1846, p.173 (présentation en ligne).
- Tracy par décret de 1861 après alliance d'Estutt
- La Rocque, in Armorial du Languedoc (t.I), p. .. [réf. non conforme].
- Henri, Paul et Joseph Beauchet-Filleau, Dictionnaire historique et généalogique des familles du Poitou, P. & O. Lussaud Frères, Fontenay-le-Comte, 1965 (lire en ligne)
- Waroquier de Comble, Tableaux généalogiques et historiques de la noblesse (t.III), p.--- [réf. non conforme].
- Décision du Conseil d’État français no 30423 du
- « FRAN_IR_057697 - Salle des inventaires virtuelle », sur www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (consulté le )
- A.N. 149 Mi 13
- Chatellenie de Vibraye érigée en marquisat en avril 1625, Lettres enregistrées au Parlement le 17 mars 1629 et en la Chambre des Comptes le 18 juin 1649, en faveur de Jacques Hurault. (Comte de Waroquier, Tableau de la Noblesse présenté au roi, 1787)
- Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 313 (présentation en ligne).
- La seigneurie de Chénerilles et ses seigneurs, Digne, 1901, p. xx--- [réf. non conforme]
- Révérend, Armorial du premier Empire (t.II) [réf. non conforme]
- Bernard Girard, Histoire de Villers-Farlay, 2 juin 2014, [réf. non conforme]. En 1789, la seigneurie appartenait à plusieurs membres des familles Javel et Doroz. Ils furent les derniers co-seigneurs.
- prononcer /du-la/
- Jourda de Vaux, in Nobiliaire du Velay [réf. non conforme].
- Inventaire des titres, actes et documents produits par François de Jouffroy-Gonsans, prouvant sa noblesse pour être reçu au Noble et Royal Chapitre de Saint Claude.
- Comte de Waroquier, Tableau de la Noblesse présenté au roi, 1787, [réf. à confirmer].
- Authier et Galbrun, État de la Noblesse Française subsistante, vol. 18. p. 177.
- En 1965 un membre de cette famille substitue à son nom celui de « Gravier de Vergennes » par demande de changement de nom auprès du Conseil d'État. La famille Gravier de Vergennes, anoblie en 1681 par charge de trésorier général à Dijon, s'est éteinte en 1984. À la suite d'une adoption, ce patronyme a été relevé en 1957 par un membre de la famille Jourda de Vaux de Foletier qui l'a substitué au sien en 1965 (Demande de changement de nom faite par Jean Pierre Noel Jourda de Vaux de Foletier-Gravier de Vergennes, publiée au Journal Officiel du 13 juin 1964 p. 5126).
- E. de Séréville et F. de Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, supplément 1977, page 216.
- Beauchet-Filleau, in Dictionnaire historique et généalogique des familles du Poitou (t.V) [réf. non conforme].
- François Bluche, in Les honneurs de la cour, p.--- [réf. non conforme].
- M. de Caumartin, Recherche de la noblesse de Champagne, [réf. non conforme].
- Après alliance avec une Battant de Pommerol en 1849, ajout légal de "Pommerol" par décret du 3 février 1914[réf. nécessaire].
- Famille subsistante et incorporée dans la noblesse néerlandaise en 1900 et 1910 ; voir Nederland's Adelsboek 86 (1996-1997), p. 273-286.
- A.D. d'Ille-et-Vilaine C2855 F
- Vincent de Kerimel de Kerveno, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 29 novembre 1670. Authier et Galbrun, État de la Noblesse Française subsistante, vol. 33, page 117.
- Déjà baron au Portugal en 1867.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Nobiliaires nationaux
[modifier | modifier le code]- Michel Authier, Alain Galbrun et Jacques Dell'Acqua, État de la noblesse française subsistante, 1973-2018, 43 volumes, (ISBN 979-10-90452-08-4)
- Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, Évreux, impr. de C. Hérissey, 1903-1929 (BNF 34209118). En vingt volumes répartis ainsi :
- A-Att, t. 1, (lire en ligne)
- Aub-Bar, t. 2, (lire en ligne)
- Bas-Ber, t. 3, (lire en ligne)
- Ber-Blo, t. 4, (lire en ligne)
- Blo-Bou, t. 5, (lire en ligne)
- Bou-Bré, t. 6, (lire en ligne)
- Bré-Bur, t. 7, (lire en ligne)
- Bus-Cas, t. 8, (lire en ligne)
- Cas-Cha, t. 9, (lire en ligne)
- Cha-Chu, t. 10, (lire en ligne)
- Cib-Cor, t. 11, (lire en ligne)
- Cos-Cum, t. 12, (lire en ligne)
- Cun-Des, t. 13, (lire en ligne)
- Des-Dug, t. 14, (lire en ligne)
- Duh-Dyé, t. 15, (lire en ligne)
- Eas-Eys, t. 16, (lire en ligne)
- Fab-Fei, t. 17, (lire en ligne)
- Fel-For, t. 18, (lire en ligne)
- For-Fyo, t. 19, (lire en ligne)
- Gaa-Gau, t. 20, (lire en ligne)
- Henri Jougla de Morenas et Raoul de Warren, Grand armorial de France : catalogue général des armoiries des familles nobles de France, comprenant les blasons des familles ayant possédé des charges dans le royaume et de celles ayant fait enregistrer leurs armoiries en 1696, de la noblesse de l'Empire, des anoblissements de la Restauration, donnant les tableaux généalogiques de familles confirmées dans leur noblesse entre 1660 et 1830 (sept volumes), Société du Grand armorial de France, 1934-1952 (BNF 34209165). L'ouvrage est composé de sept volumes répartis ainsi :
- A-Bataillon, t. 1 (lire en ligne)
- de la Batardie-Coëtlogat de Clegrio, t. 2 (lire en ligne)
- de Coëtlogon-de Fieubert, t. 3 (lire en ligne)
- des Fieux-de Martimprey, t. 4 (lire en ligne)
- Martin-de Richaud, t. 5 (lire en ligne)
- Richaudeau-Zylof de Steenbourg, t. 6 (lire en ligne)
- Supplément, t. 7 (lire en ligne)
- Patrice du Puy de Clinchamps, Dictionnaire et armorial de la noblesse, 5 volumes, Patrice du-Puy-Éditeur, 2005-2009
- Étienne de Séréville et Fernand de Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, 1975-1977 (BNF 34294867). L'ouvrage est composé de deux volumes.
- Régis Valette, Catalogue de la noblesse française, 1959-2007 (BNF 31521922). L'ouvrage a eu six rééditions dont plusieurs sont utilisées par les références de l'article :
- Régis Valette, Catalogue de la noblesse française, Robert Laffont, (BNF 36638580)
- Régis Valette, Catalogue de la noblesse française au XXIe siècle, Paris, Éditions Robert Laffont, , 410 p. (ISBN 2-221-09701-7)
- Régis Valette, Catalogue de la noblesse française, Paris, Éditions Robert Laffont, , 414 p. (ISBN 978-2-221-10875-8)
- Jean de Vaulchier, Jacques-Amable de Saulieu et Jean de Bodinat, Armorial de l'Association d'entraide de la noblesse française, éditions du Gui, 2004.
- Henry de Woelmont de Brumagne, La noblesse française subsistante, Paris, Champion, 1928
Nobiliaires régionaux
[modifier | modifier le code]Bretagne
[modifier | modifier le code]- Henri Frotier de La Messelière, Filiations bretonnes 1650-1912 : Recueil des filiations directes des représentants actuels des familles nobles, de bourgeoisie armoriée ou le plus fréquemment alliées à la noblesse, d'origine bretonne ou résidant actuellement en Bretagne, depuis leur plus ancien auteur vivant en 1650, Saint-Brieuc, Imprimerie Prudhomme, 1912-1926 (BNF 30469358). L'ouvrage est composé de cinq tomes.
- Tome Premier : A - Corg, 1912-1913
- Tome deuxième : Corn à G, 1913-1914
- Tome troisième : H à Meh, 1914-1920
- Tome quatrième : Mek-Roua, 1922 - 1923
- Tome cinquième : Roug - W, 1924-1925
- Jean de Saint-Houardon, Noblesse de Bretagne, histoire et catalogue de la noblesse bretonne subsistante, Versailles, Mémodoc, (ISBN 978-2-914611-52-7).
Dauphiné
[modifier | modifier le code]- Gustave de Rivoire de La Bâtie, L'armorial de Dauphiné : contenant les armoiries figurées de toutes les familles nobles & notables de cette province, accompagnées de notices généalogiques complétant jusqu'à nos jours les nobiliaires de Chorier et de Guy Allard, Lyon, impr. de L. Perrin, (lire en ligne)
Rouergue
[modifier | modifier le code]- Hippolyte de Barrau, Documents historiques et généalogiques sur les familles et les hommes remarquables du Rouergue dans les temps anciens et modernes, Rodez, 1853-1860, 4 volumes
Savoie
[modifier | modifier le code]- Amédée de Foras et François-Clément de Mareschal de Luciane, Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie, Grenoble, Allier Frères, 1863-1910 (BNF 30881392). L'ouvrage est composé de cinq volumes.
- Volume 1 : Achard-Chevaliers de l'ordre de... (lire en ligne)
- Volume 2 : Chevelu (de)- Forestier (lire en ligne)
- Volume 3 : Fornerat - Menthonay (lire en ligne)
- Volume 4 : Merande-Portier de Mauriène
- Volume 5 : Portier de Rumilly - Vulliet
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Noblesse française
- Association d'entraide de la noblesse française
- Liste de familles éteintes de la noblesse française depuis 1900
- Liste de familles éteintes notoires de la noblesse française
- Liste des familles de la noblesse française d'Ancien Régime (A à K)
- Liste des familles de la noblesse française d'Ancien Régime (L à Z)
- Liste des familles françaises anoblies et/ou titrées au XIXe siècle
- Liste des familles subsistantes de la noblesse d'Empire
- Liste des familles françaises subsistantes dites de noblesse inachevée
- Liste des familles françaises subsistantes de la noblesse pontificale
- Liste des familles subsistantes de la noblesse savoyarde
- Liste des familles contemporaines de la noblesse belge
- Armorial des familles de France
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Arnaud Clément, « Compléments au catalogue de la noblesse française de Régis Valette », sur Academia.edu, , p. 46
- Arnaud Clément, « La noblesse française », sur Academia.edu,
- « Association d'entraide de la noblesse française » (page d'accueil), sur ANF