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La société humaine est associée aux cultures de l'espèce humaine (homo sapiens) dans la biosphère. Reconnue dans le phylum des espèces, la socialisation humaine, avec l'habitat, est en rapport avec le grégarisme relatif naturel de l'espèce. La société humaine s'adapte, globalement, à l'environnement biophysique et humain local. Elle et sa nature culturelle participent à la diffusion des connaissances, des sciences, des techniques et de la compréhension des rôles écologiques des individus composants l'espèce. Elle s'occupe de la gestion des savoirs dans l'administration des sociétés de citoyens.
La société civile est le domaine de la vie civique et sociale humaine. Organisée, volontaire, largement autosuffisante et autonome dans l'État, la société civile est une société de droit. Une élection est un des événements principaux où la société civile se trouve mobilisée, notamment à travers l'éducation de l'électorat.
La société civile est avant tout la totalité des citoyens d'une commune, d'une région, d'un État-nation ou – maintenant, pour la France, en particulier – de l'Union européenne. Toutefois, dans la pratique, ceux-ci n'agissent pas forcément individuellement, mais souvent dans le cadre associatif. Une telle association peut être considérée représentative à condition qu'elle ait été constituée sur la base de la volonté et des propres intérêts des citoyens s'étant déclarés formellement et juridiquement ses membres.
Le Code de Hammurabi est un texte juridique babylonien daté d'environ 1750 av. J.-C., à ce jour le plus complet des codes de lois connus de la Mésopotamie antique. Il a été redécouvert en 1901-1902 à Suse en Iran, gravé sur une stèle de 2,25 mètres de haut comportant la quasi-totalité du texte en écriture cunéiforme et en langue babylonienne, exposée de nos jours au Musée du Louvre à Paris. Plus qu'un code juridique, il s'agit en fait d'une longue inscription royale, comportant un prologue et un épilogue glorifiant le souverain Hammurabi, qui a régné à Babylone d'environ 1792 à 1750 av. J.-C., dont la majeure partie est constituée par des décisions de justice.
Depuis sa découverte, en 1901, cet ensemble de décisions est désigné comme un « code » et chaque décision comme autant de « lois » (ou « articles ») relatives à différents aspects de la vie de la société babylonienne de la période. La nature exacte du texte est l'objet de débats : bien qu'il soit souvent présenté comme un code de lois dont les dispositions sont destinées à être appliquées dans le royaume de Hammurabi, les assyriologues qui l'ont étudié plus précisément insistent sur sa fonction politique de glorification du roi et y voient plutôt une sorte de traité juridique visant à conserver le souvenir du sens de la justice et de l'équité de Hammurabi. Quoi qu'il en soit, y apparaissent des informations essentielles pour la connaissance de différents aspects de la société babylonienne du XVIIIe siècle av. J.-C. : organisation et pratiques judiciaires, droit de la famille et de la propriété, statuts sociaux, activités économiques, etc. Il convient cependant souvent de compléter ces informations par celles fournies par les nombreuses tablettes cunéiformes de la même époque exhumées sur les sites de Babylonie pour mieux comprendre le contenu du texte.
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