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Histoire de la sculpture

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L'Histoire de la sculpture a pour commencement, la fin du paléolithique supérieur, c'est-à-dire entre -30 000 et -10 000 ans av. J.-C., coïncident avec l'Âge du renne (Magdalénien). On ne connaît pas de sculptures antérieures à cette époque.

La préhistoire

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Vénus de Hohle Fels, 40 000 ans
Gobekli Tepe, 11 000-10 000 ans

La sculpture est un élément essentiel de la culture de l'âge de la pierre. Au Paléolithique la plupart des outils étaient taillés dans du silex ou des os. L'industrie lithique est certainement à la base de la sculpture.

Les premières œuvres taillées représentent uniquement des figures féminines, les Vénus paléolithiques, ou des représentations d'animaux. Les matériaux sont l'os, l'ivoire, l'argile ou la pierre. La plus ancienne sculpture attestée découlant d'une volonté humaine est la Vénus de Hohle Fels âgée de 40 000 ans. Des représentations plus complexes et plus imposantes ont peu à peu fait leur apparition à la fin de l'âge de la pierre comme les bisons en argile crue retrouvés dans la Grotte du Tuc d'Audoubert en Ariège, les bas reliefs de l’abri sous roches du Roc-aux-Sorciers dans la Vienne ou les monolithes sculptés de Göbekli Tepe en Turquie.

Réflexions

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L'art préhistorique datant de plusieurs millénaires ne doit pas être confondu avec l'art premier. D'après l' Histoire de la sculpture de Luc Benoist, la sculpture donne un sens à la matière, elle l'humanise puisque depuis la préhistoire le corps humain a été son modèle privilégié et presque exclusif[1].

D'après La sculpture, toutes les techniques de Philippe Clérin[réf. nécessaire], il a fallu attendre le néolithique et la maîtrise de l'agriculture pour voir apparaître la poterie et l'usage de la cuisson d'œuvres modelées en argile. Le principe de la sculpture en métal est beaucoup plus tardif, que ce soit le moulage, le modelage à la cire ou à partir de minerai[pas clair]. Le principe général n'a pas changé tout comme les principes de fonte, bien que de nombreux alliages nouveaux aient été inventés depuis. En même temps que se développaient les grandes civilisations de bâtisseurs, on découvrit de nouveaux matériaux comme le plâtre, la chaux, le ciment, etc.

Depuis lors, les matériaux utilisés pour la sculpture n'ont pas changé : l'usage du bois, de la pierre et du bronze, ou encore dans certains pays l'os et l'ivoire, sont restés dominants.

La sculpture pré-hellénistique

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Tête d'une figurine féminine Civilisation des Cyclades, culture de Kéros-Syros, Cycladique ancien II (2 700–2 300 av. J.-C.), musée du Louvre.

La sculpture grecque

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Aurige de Delphes, 478 ou 474 av. J.-C., musée de Delphes

La sculpture est probablement l'aspect le plus connu de l’art grec antique, celui qui pour un contemporain exprime le mieux le beau idéal et la perfection plastique.

Seule une faible partie de la production sculpturale grecque nous est parvenue. Beaucoup de chefs-d'œuvre décrits dans la littérature antique sont désormais perdus ou extrêmement mutilés, et une grande partie ne nous en est connue que par des copies, plus ou moins habiles et fidèles, de l'époque romaine. Beaucoup ont été restaurés par des sculpteurs occidentaux, de la Renaissance à nos jours, parfois dans un sens bien différent de l'œuvre d'origine : un discobole se transforme ainsi en gladiateur mourant, tel dieu reçoit les attributs de tel autre, les jambes de telle statue se trouvent greffées au tronc de telle autre.

La sculpture romaine

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La sculpture romaine a été longtemps jugée comme un appendice peu glorieux de l'art grec, qui, réduit à la brève période de l'art classique était considéré comme l'incarnation de l'idéal de la beauté classique. Comparativement, la statuaire romaine est plus réaliste et consiste dans le passage de la représentation des dieux à celle des hommes. La sculpture romaine a tendance à se mettre au service du pouvoir en place et à représenter les vivants et les morts. L'art du portrait, sobre et réaliste, reflète la personnalité du modèle et son développement est lié au culte des ancêtres et à l'art funéraire. Les masques de cires, moulés sur le visage du défunt, sont progressivement remplacés par des bustes et des portraits qui tentent de saisir les traits du défunt pour célébrer sa mémoire[2]. Les sénateurs et les notables, drapés dans leur toge, commandent leur statue en pied dans des poses éloquentes. À partir du siècle d'Auguste, le portrait impérial se développe et renoue avec le classicisme grec du siècle de Périclès. Dès la République, l'art du bas-relief a tendance à représenter les hauts-faits du pouvoir militaire. Sous l'empire, les colonnes triomphales, les arcs de triomphe et les frontons des temples s'ornent de scènes commémoratives dont le caractère officiel est tempéré par le goût de la narration dynamique et du détail pittoresque. L'art du portrait et la statuaire s'élargissent à la représentation très expressive des peuples barbares que les Romains combattent lors de leurs conquêtes militaires tandis que les confins de l'empire trahissent des influences orientales.

L'occident chrétien

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La christianisation de l'empire, suivie de la dislocation de l'empire romain d'occident donnent naissance à de nouvelles formes d'art. Après la disparition de l'empire romain, l'Europe occidentale est un creuset où de nombreux styles et influences marquent le brassage des peuples et des cultures. Au contraire, l'empire romain d'orient qui se prolonge dans l'empire byzantin, trouve et conserve jusqu'à sa disparition en 1453 une identité culturelle précoce et stable. L'art byzantin, même s'il est traversé de crises et de reprises, est le reflet de cette unité.

La naissance de l'art médiéval

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Avec la diffusion du christianisme, la sculpture n'est pas seulement marquée par l'adaptation générale des thèmes chrétiens à l'art romain. À partir de Constantin, la sculpture profane tend à sacraliser le pouvoir impérial converti au christianisme et la sculpture funéraire (nombreux sarcophages) témoigne de l'évolution du style qui passe insensiblement du réalisme au hiératisme. Lors de la dislocation de l'empire romain d'occident, les peuples “barbares” qui se partagent sa dépouille introduisent tout un répertoire de motifs décoratifs abstraits à base de courbes, d'entrelacs et de spirales enchevêtrées et de nouvelles techniques dans le travail des métaux (damasquinage, niellage, filigrane, cloisonné). Dans l'empire byzantin, le portrait d'ivoire et la sculpture impériale se développent dans un premier temps. Mais avec l'essor des icônes, qui succède à la crise iconoclaste, excepté les ivoires qui atteignent un sommet au Xe siècle, avant d'être remplacés par l'os et la stéatite, l'orfèvrerie supplante la sculpture. Dans l'empire carolingien qui hérite du royaume franc et de ses techniques ornementales, la sculpture s'exprime d'abord à travers l'art du stuc, blanc ou peint, héritage de l'antiquité. Les ateliers de bronziers témoignent eux aussi de cette volonté de renouer avec les traditions romaines. Si l'art ottonien témoigne d'une résurgence de l'orfèvrerie et des livres d'ivoire d'inspiration byzantine[3], c'est en Catalogne, en Italie et dans le Languedoc que s'élaborent les prémices de l'art roman qui marque l'épanouissement de l'art médiéval.

Sculpture romane

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Pendant la période romane, la sculpture, essentiellement ornementale et symbolique, s'intègre dans la structure architecturale des édifices religieux. Elle sert, au même titre que la peinture et les vitraux à l'ornementation des édifices dans un but d'illustration évangélique. À l'extérieur des édifices, les artisans utilisent la pierre comme matériau de prédilection. L'intervention des sculpteurs concerne surtout le portail (tympan) et à l'intérieur, les chapiteaux (alors que la peinture occupe les murs et le berceau des voûtes) et des statues en bois peintes ou dorées du Christ en croix, des Saints patron ou de Vierges en majesté. L'usage du métal est surtout réservé aux statues reliquaires et aux ustensiles liturgiques (calices, chandeliers, ciboires, crucifix, ostensoirs). Si les thèmes de la sculpture romane sont principalement religieux, des événements contemporains (scènes de chevalerie, combats) et des scènes tirées de la vie quotidienne (vendanges, mouture du blé...) s'ajoutent aux épisodes de l'Ancien et du Nouveau Testament. La perspective étant symbolique, le Christ, la Vierge et les saints sont généralement surdimensionnés. Le bestiaire est symbolique (âne, bouc, lion...) ou fantastique (griffons, dragons, sirènes...).

Des styles nationaux ou régionaux se développent en Allemagne, en Espagne (León, Chemins de Compostelle, Navarre, Cerdagne), en Italie (Toscane), en France (Bretagne, Auvergne, Languedoc, Poitou, Béarn, Roussillon, Limousin, Alsace). Bien que les sculptures soient généralement anonymes, quelques noms nous sont parvenus : Wiligelmo, Niccolo, Benedetto Antelami, Bonanno Pisano, Gislebert.

L'art gothique

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D'après L'Histoire de la sculpture, par Luc Benoist (1965), le mot gothique a été donné par dérision à l'art du Moyen Age par les Italiens de la Renaissance. La première apparition de l'art gothique a eu lieu en Île-de-France au milieu du XIIe siècle, au portail de l'abbaye de Saint-Denis (1140)[4], initiatrice des autres églises gothiques.

La sculpture reste néanmoins attachée à l'architecture, elle quitte l'ombre des voûtes pour la lumière.

La Sculpture succède au décor et a l'iconographie se réglant sur l'enseignement départi par les clercs. Au bas des murs, des quadrilobes en relief qui représentent les signes du zodiaque rappellent les travaux des mois qui s'y réfèrent.

De la Renaissance au XIXe siècle

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Sculpture de la Renaissance

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D'après La sculpture de la Renaissance italienne, par Roberta J.M Olson Editions Thames & Hudson, c'est à Nicola Pisano (actif de 1258 à 1278), sculpteur et architecte lui aussi, que Vasari dans ses Vies attribue l'amorce de la première des trois phases de la sculpture de la Renaissance. La première œuvre de Nicola dont l'authenticité est établie - une chaire signée pour le Baptistère de Pise - justifie le choix de Giorgio Vasari.

La chaire de Pisano est révolutionnaire : dégagée, elle paraît plus proche d'une sculpture architecturales que d'un simple objet liturgique montrant la manière dont se déroule une cérémonie religieuse.

La sculpture a connu un essor très important à la Renaissance. Les artistes étaient alors protégés par de puissants nobles qui étaient de plus en plus des collectionneurs d'art. Ainsi Anne de Montmorency a-t-il fait travailler les plus grands sculpteurs français de l'époque (Jean Goujon...) à la construction de son château d'Écouen. La multitude des châteaux, tombeaux et autres monuments érigés à la Renaissance a offert beaucoup de travail à ces artistes parmi lesquels Germain Pilon est sans doute l'un des plus connus en France.

Sculpture baroque

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L'Extase de sainte Thérèse dans la chapelle Cornaro, œuvre du Bernin.

En sculpture baroque, les ensembles de figures prirent une importance nouvelle, il y eut un mouvement dynamique et une énergie portée par les formes humaines – elles s’enroulent en volutes autour d’un tourbillon central, ou atteignent vers l’extérieur les espaces alentour. À ce titre L'Annonciation (1603-1608) de Francesco Mochi, pour la cathédrale d'Orvieto, représente l'un des tout premiers exemples du genre[D 1]. De façon novatrice, la sculpture baroque eut plusieurs angles de vue idéaux. Une caractéristique de la sculpture baroque fut d’ajouter des éléments sculptés supplémentaires, par exemple, des éclairages dissimulés ou des fontaines[R 1].

Une autre caractéristique de la sculpture baroque serait les piliers en forme de personnages mythologiques. Prenons l’exemple du palais du Belvédère supérieur à Vienne, bâti entre 1721 et 1722. Dans la salle du rez-de-chaussée, la voûte en pavillon est soutenue par des puissants télamons (sorte de titans ayant pris les traits des Turcs), sculptés dans le marbre. Les Turcs ayant été vaincus, il n’était pas rare de trouver ce genre de télamons sculptés dans les résidences baroques d’Autriche.

En sculpture baroque ce fut le Bernin qui marqua si bien qu'il fut surnommé le « second Michel-Ange », le Bernin était aussi une figure importante de l'architecture baroque[R 2],[Note 1].

Sculpture classique

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Sculpture néoclassique

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Antonio Canova, Hercule et Lichas (1795-1815), Rome, galerie nationale d'art moderne et contemporain.
La sculpture néo-classique est un courant sculptural issu du néo-classicisme (qui comprend aussi la peinture, l'architecture, la gravure et les arts décoratifs), qui se développe à partir du milieu du XVIIIe siècle et se poursuit jusqu'au milieu du XIXe siècle.

Sculpture romantique

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Tuerie, 1834 musée des beaux-arts de Chartres (Eure-et-Loir).
Auguste Préault, Tuerie (1834), bronze, musée des Beaux-Arts de Chartres.
La sculpture romantique est un courant sculptural issu du romantisme, apparu au début du XIXe siècle vers les années 1820, succédant à la sculpture néo-classique et précédant le réalisme et l'éclectisme. Le Romantisme en sculpture est marqué par son dynamisme et son réalisme, s'opposant à l’aspect poli et au hiératisme de la sculpture néo-classique. Les artistes délaissent l'inspiration antique notamment dans les portraits sculptés, qui ne sont plus représentés avec une toge à la manière romaine, mais en costume contemporains, ils évoluent vers l'historicisme en s'inspirant du Moyen Âge et du baroque. Les sculpteurs représentatifs, sont François Rude, David d'Angers, Auguste Préault, Antoine-Louis Barye.

Sculpture réaliste

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Sculpture du XIXe siècle

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Au XIXe siècle, la sculpture exprime la plupart des courants de l'époque : néoclassicisme (Canova, Bertel Thorvaldsen), romantisme (David d'Angers, François Rude, Antoine-Louis Barye), l'éclectisme (Jean-Baptiste Carpeaux, Albert-Ernest Carrier-Belleuse), le réalisme (Jules Dalou, Constantin Meunier), l'impressionnisme (Medardo Rosso, Degas), l'académisme (Frédéric-Auguste Bartholdi, Emmanuel Frémiet), le symbolisme et l'art nouveau. Au confluent de ces courants, l'inclassable Auguste Rodin est considéré comme l'initiateur de la sculpture moderne et ses disciples (Camille Claudel, Antoine Bourdelle et son élève Aristide Maillol) assurent la transition vers le XXe siècle.

Par delà la diversité des courants, la sculpture du XIXe siècle a un aspect urbain marqué. On érige des monuments en l'honneur des grands hommes, les allégories célébrant les grands événements ornent les places publiques, les jardins, les façades des monuments. La sculpture animalière, qui délaisse l'allégorie pour une représentation plus réaliste de la nature, connaît un fort regain d'intérêt.

Sculpture moderne et contemporaine

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Au XXe siècle, les sculpteurs participent activement au renouvellement esthétique initié par les grands courants artistiques du début du siècle tels que l'Expressionnisme (Ernst Barlach, Wilhelm Lehmbruck, Käthe Kollwitz), le Futurisme, le Cubisme (Pablo Picasso,Jacques Lipchitz, Henri Laurens,Ossip Zadkine, Pablo Gargallo, Duchamp-Villon), le Constructivisme (Archipenko, Anton Pevsner, Naum Gabo), Dada (Man Ray, Schwitters), le Symbolisme (Giannino Castiglioni), le Surréalisme (Max Ernst, Alberto Giacometti)...

La sculpture abstraite est représentée par Brancusi, Jean Arp, Henry Moore ou Calder et renouvelle ou initie des problématiques telles que la suppression du socle, l'équilibre des volumes, le rapport entre plein et vide, le mouvement (sculpture cinétique), etc.

Jusqu'au XIXe siècle, les matériaux étaient interchangeables, et un même modèle pouvait être indifféremment transposé dans la pierre, le bois, la terre, le plâtre, le marbre ou le bronze. La sculpture moderne se caractérise par une réflexion plus poussée sur les propriétés mécaniques et esthétiques des matériaux, contribuant à modifier la notion même de volume. Même si les matériaux nobles et traditionnels sont toujours très prisés, la sculpture s'élargit au collage et à l'assemblage d'objets fabriqués ou trouvés, l'utilisation de matériaux modernes (acier, plastique, plexiglas, celluloïd, silicone, fibre de verre, polyester) ou de rebut (ferraille, carton, ficelle), l'appropriation de techniques modernes (Soudure à l'arc, électricité, imprimante 3D...).

Notes et références

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  1. Avec ses contemporains l'architecte Francesco Borromini et le peintre et architecte Pietro da Cortona. Au début de leur carrière, ils travaillèrent tous ensemble au Palais Barberini, d'abord sous Carlo Maderno et, à sa mort, sous la direction de Bernini. Plus tard, cependant, ils furent en compétition et des rivalités féroces se développèrent, en particulier entre Bernini et Borromini.

Références

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  1. Luc Benoist, Histoire de la sculpture, 1965, p.4
  2. L'histoire de l'art, Tome 3, p. 251, Société des Périodiques Larousse, 1998.
  3. Les liens avec Byzance se renforcent à partir du mariage d'Othon II avec la princesse Théophano Skleraina
  4. voir Basilique Saint-Denis

Bibliographie

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  • La sculpture, toutes les techniques, Philippe Clérin,Dessain et Tolra
  • Principes de l'architecture, André Félibien, (1676)
  • La sculpture de la Renaissance italienne, Roberta J. M. Olson, Thames & Hudson

Articles connexes

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  1. (it) L'annunciazione dans Francesco Mochi - una carriera di scultore de Marcella Favero, éditions UNI Service, Trente, 2008, p. 29-33, (ISBN 978-88-6178-240-2)
  1. « La sculpture baroque », sur art-baroque.net (consulté le ).
  2. « Bernini », sur art-baroque.net (consulté le ).