Aucamville (Haute-Garonne)
Aucamville | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Haute-Garonne | ||||
Arrondissement | Toulouse | ||||
Intercommunalité | Toulouse Métropole | ||||
Maire Mandat |
Gérard André 2020-2026 |
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Code postal | 31140 | ||||
Code commune | 31022 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Aucamvillois | ||||
Population municipale |
9 349 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 2 361 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 40′ 11″ nord, 1° 25′ 52″ est | ||||
Altitude | Min. 125 m Max. 135 m |
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Superficie | 3,96 km2 | ||||
Type | Grand centre urbain | ||||
Unité urbaine | Toulouse (banlieue) |
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Aire d'attraction | Toulouse (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Castelginest | ||||
Législatives | 5e circonscription de la Haute-Garonne | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Liens | |||||
Site web | https://www.ville-aucamville.fr/ | ||||
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Aucamville (Aucamvila en occitan) est une commune française située dans le nord du département de la Haute-Garonne en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays toulousain, qui s’étend autour de Toulouse le long de la vallée de la Garonne, bordé à l’ouest par les coteaux du Savès, à l’est par ceux du Lauragais et au sud par ceux de la vallée de l’ Ariège et du Volvestre.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune d'Aucamville se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].
Sur le plan historique et culturel, Aucamville fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[1].
Elle se situe à 7 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département, et à 3 km de Castelginest[3].
La commune fait partie du bassin de vie de Toulouse[I 1], de l'aire d'attraction de Toulouse, dans l'Unité urbaine de Toulouse, en banlieue nord de Toulouse, au-delà du quartier de Lalande.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Fonbeauzard (0,9 km), Launaguet (2,2 km), Castelginest (2,8 km), Saint-Alban (2,9 km), Fenouillet (3,2 km), Beauzelle (4,3 km), L'Union (4,6 km), Saint-Geniès-Bellevue (4,7 km).
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Le territoire communal se caractérise par des terrains en lanière, c'est-à-dire des parcelles longues et étroites héritées des anciennes cultures maraichères, très présentes au nord de Toulouse jusque dans les années 1960. La ville possède l'une des plus petites superficie de l'agglomération toulousaine (396 hectares).
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est dans le Bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par l'Hers-Mort, le ruisseau de Maltemps et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 5 km de longueur totale[7],[Carte 1].
L'Hers-Mort, d'une longueur totale de 89,3 km, prend sa source dans la commune de Laurac et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Grenade, après avoir traversé 40 communes[8].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 716 mm, avec 9,8 jours de précipitations en janvier et 5,3 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Blagnac à 5 km à vol d'oiseau[11], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 627,0 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[15],[16],[17].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Aucamville est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse[Note 2], une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[I 3],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune du pôle principal[Note 4],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 4],[I 5].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (85,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (82,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (68,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (17 %), zones agricoles hétérogènes (11,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,8 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]En 30 ans, Aucamville a connu une mutation importante, passant du statut de village à celui de petite ville, totalement intégrée dans le maillage urbain du nord de l'agglomération toulousaine. Aujourd'hui, l'urbanisation communale se confond avec celle des communes de Launaguet à l'est, de Fonbeauzard et Saint-Alban au nord, de Fenouillet à l'ouest et de Toulouse au sud. Ville essentiellement résidentielle, Aucamville compte environ 50 % d'habitat pavillonnaire et 50 % d'habitat collectif (nombreuses résidences de deux à trois étages). Le rapport entre propriétaires et locataires est sensiblement le même.
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 4 661, alors qu'il était de 4 139 en 2014 et de 3 734 en 2009[I 6].
Parmi ces logements, 91,6 % étaient des résidences principales, 1 % des résidences secondaires et 7,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 48,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 51,5 % des appartements[I 7].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Aucamville en 2019 en comparaison avec celle de la Haute-Garonne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1 %) inférieure à celle du département (4,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 51,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (50,6 % en 2014), contre 52,2 % pour la Haute-Garonne et 57,5 pour la France entière[I 8].
Typologie | Aucamville[I 6] | Haute-Garonne[I 9] | France entière[I 10] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 91,6 | 88,4 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 1 | 4,4 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 7,4 | 7,3 | 8,2 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Voies de communication
[modifier | modifier le code]La ville est traversée du nord au sud par trois axes de circulation importants : la RD 820 (ex-RN 20 reliant Montauban à Toulouse), l'A62 (autoroute « des deux mers » reliant Bordeaux à Toulouse) et la route de Fronton (RM4 reliant Bruguières à Toulouse). Cette dernière constitue l'axe principal de la commune.
Transports collectifs
[modifier | modifier le code]- La ligne L10 du réseau Tisséo relie le centre de la commune à la station La Vache du métro de Toulouse depuis Fenouillet et Saint Alban.
- La ligne 29 relie le centre de la commune au Grand Rond via le centre de Toulouse et plusieurs stations de métro.
- La ligne 59 relie la route de Paris à la station La Vache du métro de Toulouse depuis Saint Jory, Lespinasse, Gagnac et Fenouillet.
- La ligne 69 relie le centre de la commune à la station La Vache La Vache du métro de Toulouse depuis Saint Alban, Bruguières, Gratentour et Castelginest.
- Les lignes 351 et 352 du réseau Arc-en-Ciel relient la commune à la gare routière de Toulouse depuis Villemur-sur-Tarn.
À l'ouest de la commune, la gare SNCF de Lacourtensourt est desservie plusieurs fois par jour par la ligne ferroviaire Toulouse-Montauban.
Projets d'aménagement
[modifier | modifier le code]La gare de Lacourtensourt (située à l'ouest, à la limite avec le territoire de Toulouse) est desservie plusieurs fois par jour par la ligne ferroviaire Toulouse-Montauban[19]. L'arrivée de la LGV à Toulouse à l'horizon 2025-2030 devrait permettre la mise en place d'un TER urbain entre la gare de Saint-Jory et la gare de Toulouse Matabiau, avec une connexion à la ligne B du métro à la station La Vache. Plusieurs gares et stations seraient réhabilitées ou réaménagées sur ce tronçon. À Aucamville, la gare de Lacourtensourt serait déplacée plus au sud, à la hauteur de l'avenue Salvador-Allende. Un vaste projet de réaménagement urbain autour de la RD 820, entre Toulouse-Sesquières et Fenouillet, est prévu pour accompagner ce projet.
Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune d'Aucamville est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Hers-Mort. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1995, 1997, 1999, 2006, 2008 et 2009[22],[20].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 141 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 2 141 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].
Risques technologiques
[modifier | modifier le code]La commune est située en aval du barrage de l'Estrade sur la Ganguise (département de l'Aude). À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[25].
Toponymie
[modifier | modifier le code]L'absence de formes très anciennes laisse penser à une transposition du nom d’Aucamville (Tarn-et-Garonne), comme c'est souvent le cas en toponymie[26].
Par contre, Aucamville (Tarn-et-Garonne) est mentionné pour la première fois dès le XIe siècle sous la forme Ochamsvilla, puis Aucamvilla après 1312[27].
Selon une étymologie populaire ou latinisante, le nom de la commune signifierait « la ville de l'oie », en latin *Aucum Villa, occitan auca « oie ». C'est la même chose pour Campville parfois rencontrée dans certains documents, qui serait un composé toponymique à partir de l'occitan camp « champ », d'où *au camp ville « la ville au champ » qui révèle un processus de réinterprétation similaire.
Ce type d'explications étymologiques n'est pas retenu par les spécialistes, d'une part parce que la forme la plus ancienne Ochamsvilla les contredit, d'autre part parce que le [m] final de l'accusatif singulier féminin du latin s'était amuï depuis longtemps en latin vulgaire, donc a fortiori au moment de la formation des noms en -ville qui datent tous du Moyen Âge. Un composé roman basée sur auca « oie » est possible phonétiquement, si on suppose une nasalisation hypothétique de [a], mais il implique de rejeter comme erronée la forme Ochamsvilla. De plus, sur plusieurs milliers de composés en -ville, seule une petite dizaine contient un nom d'animal, qui pourrait être un sobriquet, mais dont les formes anciennes permettent de formuler cette hypothèse car elles sont parfaitement claires, ce qui n'est pas le cas ici. Ainsi, un premier élément d'origine animale est bien identifiable dans Quièvreville (Capravilla v. 1024) ou Chèvreville (Caprivillam 1186) avec « la chèvre » ou encore Villechien (Villacanis 1112, Villa Canis 1172 - 1182), par exemple, mais Ernest Nègre considère qu'il s'agit de surnoms de personnages, d'après l'animal[28]. De même, rares sont les toponymes en -ville formés avec un autre appellatif roman, c'est-à-dire un nom commun.
Les formations toponymiques en -ville ne sont jamais mentionnés dans la documentation disponible antérieurement à la période mérovingienne et ce, contrairement à de nombreux autres toponymes bien attestés à l'époque antique. En outre, les toponymes en -ville sont basés pour la plupart sur un nom de personne, parfois aisément identifiable, par exemple dans Ramonville, Martainville, Rogerville, Huberville, etc., généralement il s'agit d'un anthroponyme de type germanique. C'est pourquoi les spécialistes de la toponymie penchent pour un anthroponyme ayant cette origine, soit Ogmarus, traité comme *Ogamarus[28], soit un nom de femme wisigothique *Auka[29]. On rencontre la variante Aukisa dans Aucazein (*Aukasinga), commune de l'Ariège[30].
Histoire
[modifier | modifier le code]Temps modernes
[modifier | modifier le code]La commune d'Aucamville s'est constituée aux dépens de deux communautés qui l'ont précédée sur le territoire qu'elle occupe actuellement : celle de Lacourtensourt, qu'elle a supplanté à la tête du consulat au XVIIIe siècle ; celle ensuite de la Croix-Bénite, qu'elle s'est adjointe et qu'elle a englobé au siècle suivant dans ses limites territoriales.
Entre les terres plus ou moins cultivées de Lacourtensourt et de Croix-Bénite, s'étendait une large bande de terrain marécageux, prolongeant celui de Lalande. C'était un champ vacant, concédé à la corporation des bouchers toulousains, qui l'utilisait pour faire paître le bétail destiné aux marchés de la ville rose.
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Village maraîcher, au XIXe et début du XXe siècle, Aucamville est alors réputé pour la culture de la violette de Toulouse (avec près de 300 producteurs). L'activité décline à la fin des années 1950 ; le développement des techniques de culture sous serres permettant d'obtenir d'autres fleurs que la violette en hiver.
Depuis, les terres cultivables ont peu à peu laissé place à une urbanisation à la fois résidentielle, industrielle et commerciale.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Toulouse du département de la Haute-Garonne.
Elle faisait partie de 1801 à 1973 du canton de Toulouse-Nord, année où elle est rattachée à celui de Toulouse-14[31]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Castelginest.
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de la Haute-Garonne.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Aucamville est membre de la métropole dénommée Toulouse Métropole, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2009 sous le statut de communauté urbaine et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales. Cette communauté urbaine, dénommée jusqu'en 2012 Le Grand Toulouse a été transformée en métropole en application de l'article 43 de la loi MAPTAM du , par le décret du [32].
La communauté urbaine succède au district du Grand Toulouse créé en 1992 est transformé en communauté d'agglomération en 2000.
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Lors des élections municipales de 2014 dans la Haute-Garonne, la liste PS-PCF-EELV menée par le maire sortant Gérard André est la seule candidate et obtient donc la totalité des suffrages exprimés, soit 2 063 voix, et est donc élue en totalité.
Lors de ce scrutin où 52,36 % des électeurs se sont abstenus, 21,50 % des votants ont choisi un bulletin blanc ou nul[33].
Lors des élections municipales de 2020 dans la Haute-Garonne, la liste PS menée par le maire sortant Gérard André est à nouveau la seule candidate et obtient donc la totalité des suffrages exprimés, soit 1 175 voix, et est donc élue en totalité.
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France où 75,73 % des électeurs se sont abstenus, 16,31 % des votants ont choisi un bulletin blanc ou nul[34].
Administration municipale
[modifier | modifier le code]Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 5 000 habitants et 9 999 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de vingt-neuf[35],[36].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]- Fossalta di Portogruaro (Italie) depuis 1990.
Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Eau et déchets
[modifier | modifier le code]La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de Toulouse Métropole et de l'agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie[43].
Une déchèterie est située sur la commune de Saint-Alban.
Enseignement
[modifier | modifier le code]Aucamville relève de l'académie de Toulouse.
La commune compte deux écoles maternelles (écoles Henri-Matisse et Nicolas-Poussin), deux écoles élémentaires (écoles Jules-Ferry et Victor-Hugo) et un collège (Les Violettes).
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[45].
En 2021, la commune comptait 9 349 habitants[Note 6], en évolution de +14,88 % par rapport à 2015 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
selon la population municipale des années : | 1968[47] | 1975[47] | 1982[47] | 1990[47] | 1999[47] | 2006[48] | 2009[49] | 2013[50] |
Rang de la commune dans le département | 22 | 33 | 37 | 33 | 27 | 23 | 24 | 26 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
Compte tenu de sa très faible superficie, la ville n'a quasiment plus de foncier disponible. Seules quelques « dents creuses » permettent encore la réalisation de petites opérations immobilières. À terme, sa capacité démographique ne devrait pas excéder 10 000 habitants (selon le PLU Plan Local d'Urbanisme de Toulouse-Métropole).
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Tout au long de l'année, la ville est animée par de nombreux rendez-vous culturels :
- Concerts : festival de guitare d'Aucamville et du nord toulousain, événement intercommunal où se produisent, depuis plus de 20 ans, des guitaristes locaux, nationaux et internationaux (Baden Powell, Popa Chubby, Kiko Ruiz, Birelli Lagrene, Sylvain Luc, Serge Lopez...), Orchestre de chambre de Toulouse, Jazz sur son 31, fête de la musique...
- Expositions : semaine des arts (regroupant de nombreux artistes régionaux autour d'un invité d'honneur, souvent plasticien contemporain), A l'ombre des Arts...
- Théâtre et événements divers : animations en partenariat avec des manifestations de l'agglomération toulousaine (Caravane de cirque, Toulouse en Piste, Zoom arrière, Festival du Livre de Jeunesse...)
- Cinéma : le cinéma Jean Marais dispose de la technologie numérique depuis septembre 2012. Les cinés de cocagnes disposent d'une délégation de service public pour la gestion de ce cinéma classé art et essai. Outre la programmation de plusieurs séances par jour, la structure propose des ciné-goûters et ciné-pitchous pour les plus petits, ainsi que des ciné-concerts, ciné-opéras et ciné-débats pour les plus grands.
Sports et loisirs
[modifier | modifier le code]Parc municipal, piscine intercommunale de l'Hersain, lac et zone de loisirs Claude-Cornac[51].
La commune compte plusieurs clubs sportifs : TLA XV - Toulouse Lalande Aucamville XV (rugby à XV), les Arlequins d'Aucamville (rugby vétéran), l'entente Saint Alban - Aucamville Football Club (SAAFT), le Tennis Club d'Aucamville, l'USA Handball, l'USA Cyclotourisme, le Club Karaté Aucamville, Jujitsu Aucamville, Aucamville tir à l'arc, Aucamville escrime, les épicuriens de l'Hers (course à pied), le TACO - Toulouse Aucamville Coureurs Occitan, le Judo Club Aucamville - Fonbeauzard, l'Amicale de pétanque, les Amis boulistes Aucamvillois, l'Association communale de Chasse, l'Association de Pêche, la Team Garbolino Sensas (pêche de compétition) et les nombreuses sections du CCLA - Club Culture et Loisirs d'Aucamville (gymnastique, yoga, taï chi chuan...).
Aucamville possède plusieurs salles consacrées aux activités sportives (salle de danse, escrime, dojo...) et un complexe sportif municipal avec plusieurs terrains de rugby et de football, un gymnase, des installations de tennis. Les Aucamvillois bénéficient également du complexe sportif de l'Hersain, un complexe intercommunal situé sur la commune de Saint-Alban (piscine couverte, tennis, parcours sportif et terrains de grands jeux).
Chaque année, en juin, la mairie et les clubs sportifs de la commune organisent la Fête des sports, une manifestation qui rassemble une centaine d'enfants et autant de bénévoles autour d'un challenge sportif proposant une dizaine de disciplines.
Vie associative
[modifier | modifier le code]Bibliothèque municipale, cinéma Jean-Marais, salle Georges-Brassens (salle de spectacle)[52].
Aucamville héberge plus de 60 associations avec des activités diverses et variées[53].
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus
[modifier | modifier le code]En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 4 059 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 8 841 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 920 €[I 11] (23 140 € dans le département[I 12]). 55 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 8] (55,3 % dans le département).
Emploi
[modifier | modifier le code]2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 13] | 8,5 % | 10 % | 9,2 % |
Département[I 14] | 7,7 % | 9,6 % | 9,3 % |
France entière[I 15] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 5 744 personnes, parmi lesquelles on compte 81,6 % d'actifs (72,4 % ayant un emploi et 9,2 % de chômeurs) et 18,4 % d'inactifs[Note 9],[I 13]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune fait partie du pôle principal de l'aire d'attraction de Toulouse[Carte 4],[I 16]. Elle compte 2 381 emplois en 2018, contre 2 862 en 2013 et 2 843 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 4 200, soit un indicateur de concentration d'emploi de 56,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 67,1 %[I 17].
Sur ces 4 200 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 551 travaillent dans la commune, soit 13 % des habitants[I 18]. Pour se rendre au travail, 79,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 10,3 % les transports en commun, 7,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 19].
Activités
[modifier | modifier le code]Secteurs d'activités
[modifier | modifier le code]948 établissements[Note 10] sont implantés à Aucamville au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 20].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 948 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
48 | 5,1 % | (5,7 %) |
Construction | 148 | 15,6 % | (12 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
291 | 30,7 % | (25,9 %) |
Information et communication | 31 | 3,3 % | (4,1 %) |
Activités financières et d'assurance | 35 | 3,7 % | (3,8 %) |
Activités immobilières | 25 | 2,6 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
133 | 14 % | (19,8 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
162 | 17,1 % | (16,6 %) |
Autres activités de services | 75 | 7,9 % | (7,9 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30,7 % du nombre total d'établissements de la commune (291 sur les 948 entreprises implantées à Aucamville), contre 25,9 % au niveau départemental[I 21].
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[54] :
- Etb Etudes Et Travaux Du Batiment, travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment (13 102 k€) ;
- Transports Liga, affrètement et organisation des transports (11 309 k€) ;
- Savfima, commerce de gros (commerce interentreprises) de quincaillerie (8 603 k€) ;
- Coop Industrielle Menuiserie Sud Ouest - Cimso, travaux de menuiserie bois et PVC (5 139 k€) ;
- Leyfa Measurement, ingénierie, études techniques (4 169 k€).
Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]L'activité économique sur la commune est importante avec notamment une zone d'activités industrielles, artisanales et commerciales à l'ouest (entre la RD 820 et l'A62) et une forte présence commerciale le long de la route de Fronton (plus de 100 commerces et services de proximité). Conforté par de nombreux services publics (poste, trésorerie, maison des solidarités, mission locale, Comité de Bassin d'Emploi...) un cinéma et un marché de plein vent tous les dimanches matin depuis mars 2010, cet axe très passant constitue aujourd'hui un cœur de ville vivant et attractif.
La société Liebberr est implantée le long de la RD 820 (site industriel à cheval sur Toulouse et Aucamville).
Aucune exploitation agricole ayant son siège dans la commune n'est recensée lors du recensement agricole de 2020[Note 12] (38 en 1988)[57],[Carte 5].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Notre-Dame-du-Rosaire du XIXe siècle.
- Mairie (ancienne école communale) du XIXe siècle.
-
L'église Notre-Dame-du-Rosaire.
-
La mairie.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Guy Gasparotto (1948-), joueur international de rugby à XV, né à Aucamville.
- Jean-François Portarrieu (1965-), homme politique français, né à Aucamville.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'argent à l'hôtel de ville du lieu du même couvert de gueules, mouvant des flancs ; au canton dextre du chef écartelé d'or et de gueules à la croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces brochant de l'un en l'autre, et au canton senestre d'or chargé d'une plante de violette de trois pièces au naturel. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Paul-Jean-Exupère Ousset (curé d'Aucamville), Aucamville, notice historique, 1964
- Jean-Gaston Lafore, Au pays de la violette - Souvenirs de la commune d'Aucamville, 1925
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la mairie.
- « Dossier complet : Commune d'Aucamville (31022) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, 14/11//2023 (consulté le ).
- « Aucamville » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Toulouse, il y a une ville-centre et 80 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- L'espace de loisirs de la commune porte le nom de ce maire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[56]
- Cartes
- « Carte hydrographique d'Aucamville » sur Géoportail (consulté le 4 novembre 2021).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Toulouse », sur insee.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulouse », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 à Aucamville » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Aucamville - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Aucamville - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Aucamville » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Aucamville » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Aucamville » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Aucamville » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 378-379.
- Stephan Georg, « Distance entre Aucamville et Toulouse », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Aucamville et Castelginest », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Aucamville », sur villorama.com (consulté le ).
- Carte IGN sous Géoportail
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche communale d'Aucamville », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
- Sandre, « l'Hers Mort »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Aucamville et Blagnac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Toulouse-Blagnac » (commune de Blagnac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Toulouse-Blagnac » (commune de Blagnac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Aucamville », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune d'Aucamville », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune d'Aucamville », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Vendre à un promoteur », sur vendreaunpromoteur.com.
- « Les risques près de chez moi - commune d'Aucamville », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs dans la Haute-Garonne », sur haute-garonne.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Aucamville », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs dans la Haute-Garonne », sur haute-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- Ernest Nègre Toponymie générale de la France (lire en ligne)
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, volume 2, Librairie Droz, Genève 1991 (lire en ligne)[1]
- ibid.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, éditions Larousse 1968 (Réédition Guénégaud 1979), p. 34b.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Décret no 2014-1078 du 22 septembre 2014 portant création de la métropole dénommée « Toulouse Métropole » .
- Résultats officiels pour la commune Aucamville
- « Elections municipales 2020 », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- https://elections.interieur.gouv.fr/municipales-2020/031/031022.html
- « Les maires de Aucamville », sur francegenweb.org (consulté le ).
- « Maurice Canut passe la main à son adjoint », La Dépêche du Midi, (lire en ligne, consulté le ) « Après vingt-sept ans de responsabilités (premier adjoint de 1977 à 1983), le maire PS Maurice Canut, 75 ans en juillet, a annoncé aux habitants qu'il « passait le relais ».
- Patrick Dublin, « Aucamville : le décès de l'ancien maire Maurice Canut », La Dépêche du Midi, (lire en ligne, consulté le ) « Premier adjoint de 1977 à 1983 puis maire de 1983 à 2004, il aura marqué la commune ».
- Réélu pour le mandat 2014-2020 : Patrick Desprez, « Aucamville : Gérard André élu pour son second mandat », La Dépêche du Midi, (lire en ligne, consulté le ) « Il s'agit du deuxième mandat pour Gérard André, qui a pris possession du poste de premier magistrat aucamvillois lors du retrait de l'ancien maire, Maurice Canut, en 2004 ».
- Institut Supérieur de Journalisme de Toulouse, « Aucune concurrence mais beaucoup d’enjeux à Aucamville : À cinq mois des prochaines élections municipales, Aucamville s’apprête à vivre une sensation de déjà-vu. Le maire actuel, Gérard André, sans concurrence depuis 2004, devrait être réélu sans difficulté pendant que les enjeux qui entourent sa commune se multiplient », Le Journal toulousain, (lire en ligne, consulté le ).
- Réélu pour le mandat 2020-2026 : « Extrait du registre des deliberations - séance du 26 mai 2020 » [PDF], La vie municipale > Délibérations du Conseil municipal et actes réglementaires, sur ville-aucamville.fr (consulté le ).
- http://www.mairie-brax31.fr/fr/le-village-pratique/collecte-des-dechets.html
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Sport et santé - Aucamville », sur ville-aucamville.fr (consulté le ).
- « Culture - Aucamville », sur ville-aucamville.fr (consulté le ).
- « Vie associative - Aucamville », sur ville-aucamville.fr (consulté le ).
- « Entreprises à Aucamville », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[55].
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune d'Aucamville - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).