Collobrières
Collobrières | |||||
La place de la Libération. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Var | ||||
Arrondissement | Toulon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Méditerranée Porte des Maures | ||||
Maire Mandat |
Christine Amrane 2020-2026 |
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Code postal | 83610 | ||||
Code commune | 83043 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Collobriéroi(oise)s | ||||
Population municipale |
1 839 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 16 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 14′ 17″ nord, 6° 18′ 35″ est | ||||
Altitude | Min. 58 m Max. 776 m |
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Superficie | 112,68 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Luc | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Var
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Liens | |||||
Site web | http://www.collobrieres.fr/ | ||||
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Collobrières est une commune française située dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Commune située à 21,2 km de Bormes-les-Mimosas[1], 36,5 de Saint-Tropez, 43,5 de Toulon, et 88 de Fréjus.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Collobrières est une commune située au cœur du massif des Maures.
Le village est entouré de vignes. De profondes forêts de châtaigniers et de chênes-lièges le surplombent[2].
Sismicité
[modifier | modifier le code]Commune située dans une zone 2 de sismicité faible[3].
Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]Le village est relié au reste du département par une route principale qui va de Cuers à Grimaud, et deux autres routes, une de Gonfaron à la route principale et l'autre, en aval du village en venant de Pierrefeu, quitte la route principale pour rejoindre Bormes-les-Mimosas par les Col de Babaou et Col de Gratteloup, ou au passage elle croise la route nationale 98 (France).
Une piste DFCI ouverte au public à certaines périodes de l'année permet aussi de relier Collobrières à Pignans via le sommet de Notre-Dame-des-Anges.
Transports en commun
[modifier | modifier le code]Commune desservie par le réseau régional de transports en commun Zou !. Les collectivités territoriales ont en effet mis en œuvre un « service de transports à la demande » (TAD), réseau régional Zou ![4].
Hydrographie et les eaux souterraines
[modifier | modifier le code]La commune est traversée par le Réal Collobrier, petit cours d'eau où l'on trouve des chevesnes, du barbeau méridional, du vairon ainsi que de nombreuses couleuvres d'eau et quelques tortues cistude.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (8 °C) et peu de brouillards[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 927 mm, avec 7,8 jours de précipitations en janvier et 1,6 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 14,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 822,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −9,6 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,8 | 1,5 | 3,6 | 6,3 | 9,8 | 13 | 15,3 | 15,2 | 12,2 | 9,6 | 5,4 | 2,7 | 8 |
Température moyenne (°C) | 7,3 | 7,6 | 10,1 | 12,7 | 16,7 | 20,3 | 23,2 | 23,2 | 19,3 | 15,5 | 10,9 | 8,1 | 14,6 |
Température maximale moyenne (°C) | 12,9 | 13,8 | 16,5 | 19,2 | 23,5 | 27,7 | 31,1 | 31,2 | 26,4 | 21,5 | 16,4 | 13,4 | 21,1 |
Record de froid (°C) date du record |
−9,6 26.01.05 |
−9,6 13.02.1999 |
−9,3 02.03.05 |
−3,7 08.04.21 |
0,8 06.05.1991 |
3,7 03.06.06 |
7,3 01.07.1991 |
6,5 23.08.07 |
2 18.09.01 |
−3,4 30.10.1997 |
−9,1 23.11.1998 |
−9,3 30.12.05 |
−9,6 2005 |
Record de chaleur (°C) date du record |
23,1 10.01.15 |
24,9 03.02.20 |
26,6 19.03.1998 |
28,4 23.04.09 |
35 28.05.06 |
38,4 28.06.19 |
39,7 20.07.23 |
39,9 05.08.17 |
36,1 05.09.16 |
30,9 08.10.23 |
26,1 14.11.23 |
22 23.12.22 |
39,9 2017 |
Précipitations (mm) | 97,9 | 60,6 | 59,8 | 66,7 | 47,1 | 40,1 | 12,2 | 17,8 | 78,4 | 107,8 | 143,1 | 91,3 | 822,8 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
12,9 1,8 97,9 | 13,8 1,5 60,6 | 16,5 3,6 59,8 | 19,2 6,3 66,7 | 23,5 9,8 47,1 | 27,7 13 40,1 | 31,1 15,3 12,2 | 31,2 15,2 17,8 | 26,4 12,2 78,4 | 21,5 9,6 107,8 | 16,4 5,4 143,1 | 13,4 2,7 91,3 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Collobrières est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12] et hors attraction des villes[13],[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols détaillée de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Tissu urbain discontinu | 0,9 % | 106 |
Terres arables hors périmètres d'irrigation | 0,2 % | 26 |
Vignobles | 3,2 % | 364 |
Prairies et autres surfaces toujours en herbe | 0,2 % | 27 |
Systèmes culturaux et parcellaires complexes | 0,6 % | 64 |
Forêts de feuillus | 31,7 % | 3586 |
Forêts de conifères | 2,6 % | 300 |
Forêts mélangées | 7,8 % | 884 |
Végétation sclérophylle | 52,1 % | 5893 |
Végétation clairsemée | 0,3 % | 29 |
Plans d'eau | 0,4 % | 42 |
Source : Corine Land Cover[15] |
La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[16] dont la dernière procédure a été approuvée le 28 mars 2019, et relève du schéma de cohérence territoriale Provence Méditerranée[17].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la commune vient du provençal coulobro/colòbra[18] ("couleuvre"). Collobrières s'écrit Couloubriero en occitan provençal selon la norme mistralienne[19], ou bien Colobriera en occitan provençal selon la norme classique[réf. nécessaire].
Histoire
[modifier | modifier le code]Le village de Collobrières est considéré comme la « capitale de la châtaigne ». Une fabrique de marrons glacés y est implantée depuis plusieurs décennies. La fête de la Châtaigne y est célébrée les trois derniers dimanches d'octobre de chaque année et offre à ses quelques milliers de visiteurs marché artisanal, course pédestre et animations en tous genres.
Collobrières a été fondée au XIIe siècle. Elle possède d'ailleurs un pont en pierre de cette époque (le Pont Vieux) et une église actuellement en rénovation (l'église Saint-Pons[21]).
En août 1863, un incendie détruit entièrement les forêts de chênes-lièges qui étaient une des principales richesses de la région ; s'étendant aux communes voisines du Puget, Cuers et Carnoules, il ravage 6 000 hectares de bois[22],[23].
Dans le contexte de la fin de la guerre d’Algérie, un hameau de forestage a été construit en novembre 1962 à 14 km du centre du village, à Capelude, à destination de familles de harkis. Le conseil municipal n'avait pas souhaité le voir implanté plus près. Finalement, en septembre 1970, les familles ont été transférées sur le site de La Capelle, plus proche, à 2,8 km du centre village[24].
Le , deux femmes gendarmes y trouvent la mort lors de l'interpellation d'Abdallah Boumezaar. Ce dernier parviendra à s'enfuir et sera finalement appréhendé quelques heures plus tard grâce à d'importants moyens mobilisés pour le retrouver[25]. Il sera condamné le 20 février 2015 à la réclusion criminelle à perpétuité assortie de 30 ans de sûreté.
Blasonnement
[modifier | modifier le code]Les armoiries de Collobrières se blasonnent ainsi : |
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]- Spécialités : les châtaignes (marrons), le vin (côtes de Provence), le liège.
- Éleveurs et agriculteurs.
- Coopérative vinicole Les Vignerons de Collobrières[28]
Tourisme
[modifier | modifier le code]- Restauration[29].
- Hébergements[30] :
- Hôtels,
- Chambres d'hôtes,
- Aire de camping-car.
Commerces et services
[modifier | modifier le code]- Commerces et services de proximité.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].
En 2021, la commune comptait 1 839 habitants[Note 2], en évolution de −4,17 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Établissements d'enseignements[35] :
- École maternelle,
- École primaire,
- Collèges à Cuers, Bormes-les-Mimosas, La-Londe-les-Maures, Carnoules,
- Lycées à Hyères, Gassin.
Santé
[modifier | modifier le code]Professionnels et établissements de santé[36] :
- Médecins à Collobrières, Pierrefeu-du-Var, Bormes-les-Mimosas, Gonfaron,
- Pharmacies à Collobrières, Pierrefeu-du-Var, Bormes-les-Mimosas, Gonfaron,
- Hôpitaux à Pierrefeu-du-Var, Bormes-les-Mimosas.
- Hôpital Privé Toulon Hyères
- Centre hospitalier intercommunal Toulon-La Seyne-sur-Mer.
Cultes
[modifier | modifier le code]- Culte catholique, paroisse de Collobrières[37], diocèse de Fréjus-Toulon.
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église du monastère Notre-Dame-de-Clémence de la Verne de Collobrières.
- Église Saint-Pons de Collobrières.
- Église Cœur-Immaculé-de-Marie de Collobrières.
Collobrières est un petit village provençal ancien situé au fond d'une vallée du massif des Maures. Accroché à une colline, parcouru de petites ruelles escarpées, en escaliers ou calades, il est une véritable invitation à la promenade.
À voir : place de la Mairie, place Rouget-de-l'Isle, place de l'Église, église Saint-Pons, pont du XIIe siècle, chapelle Notre-Dame-de-Pitié-et-des-Sept-Douleurs[38].
La cloche de la mairie, de 1645, a été classée au titre des objets mobiliers par arrêté du 7 octobre 1981. À l’origine dans la chartreuse de la Verne, elle fut déplacée dans le clocher de l'ancienne église Saint-Pons[39],[40] de laquelle où fut placée à la Révolution, en 1873[41].
Dans les environs :
- L'ancienne chartreuse de la Verne,
- La chapelle Notre-Dame-des-Anges,
- Le plateau de Lambert avec les menhirs les plus hauts du Var[42],[43] et le tronc de châtaignier millénaire.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Auguste Maurel (1841-1899), ancien député du Var, sous-préfet à Toulon et Lodève, ancien conseiller général du canton de Collobrières.
- Maxime Lamotte (1920 - 2007), biologiste et généticien.
- Pierre Boutang (1916-1998) y possédait une maison.
- Justes parmi les Nations à Collobrières[44] :
- Charles Kettschau
- Kurt Kettschau
- Marthe Kettschau
- Josiane Lebrun
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
[modifier | modifier le code]- Itinéraires
- Site de la direction régionale de l’environnement (DIREN) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement de la commune
- Didacticiel de la réglementation parasismique
- Réseau régional de transports en commun
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Collobrières_sapc » - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Collobrières_sapc » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Collobrières ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
- PLU sur Géoportail de l'urbanisme
- SCOT Provence Méditerranée
- Lou tresor dóu Felibrige / Le trésor du Félibrige, F. Mistral, vol. 1 p. 605 de l'édition CPM de 1979.
- Lou tresor dóu Felibrige / Le trésor du Félibrige, vol. 1 p. 605 de l'édition CPM de 1979.
- Les ruines de Saint Pons
- L'église Saint Pons
- Élisée Reclus, Les villes d'hiver de la Méditerranée et les Alpes Maritimes, Guides Joanne, p. 87.
- Fernand Depelchin, Les Forêts de la France, 1886
- Michel Roux, Les harkis, les oubliés de l'histoire, éd. la découverte, 1991, page 310 (ISBN 978-2-7071-2063-2).
- "Deux gendarmes abattues à Collobrières : le suspect passe aux aveux", varmatin.com, 18 juin 2012
- « Vexillologie et Héraldique provençale. Canton de Collobrières : Collobrières », sur le site personnel de Dominique Cureau (consulté le )
- Joseph Salvarelli, Les Administrateurs du département du Var (1790-1897). Notices biographiques (1897), Draguignan, pp.456-457 [1]
- « Coopérative vinicole Les Vignerons de Collobrières », notice no IA83001321, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Restauration
- Hébergements
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Établissements d'enseignements
- Professionnels et établissements de santé
- Paroisse de Collobrières
- La chapelle Notre Dame de Pitié et des Sept Douleurs
- « Vue d'ensemble. », notice no ARR93_05830660ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
- « Église paroissiale Saint-Pons (ancienne) », notice no MHR93_04833117ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
- Base Palissy du ministère de la culture et de la communication : Objets mobiliers
- « Groupe de menhirs : 2 », notice no ARR93_05830670ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
- « Menhirs de la ferme Lambert », notice no MHR93_04833108, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
- « Tous les Justes de France - Var », sur yadvashem-france.org (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Collobrières sur www.pop.culture.gouv.fr/
- Petit patrimoine de Collobrières
- Le patrimoine religieux, sur l'Observatoire du patrimoine religieux
- (fr + en + de) Coordination générale : René Dinkel, Élisabeth Decugnière, Hortensia Gauthier, Marie-Christine Oculi. Rédaction des notices : CRMH : Martine Audibert-Bringer, Odile de Pierrefeu, Sylvie Réol. Direction régionale des antiquités préhistoriques (DRAP) : Gérard Sauzade. Direction régionale des antiquités historiques (DRAH) : Jean-Paul Jacob directeur, Armelle Guilcher, Mireille Pagni, Anne Roth-Congés Institut de recherche sur l'architecture antique (Maison de l'Orient et de la Méditerranée-IRAA)-Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Suivez le guide : Monuments Historiques Provence Alpes Côte d’Azur, Marseille, Direction régionale des affaires culturelles et Conseil régional de Provence – Alpes - Côte d’Azur (Office Régional de la Culture), 1er trimestre 1986, 198 p. (ISBN 978-2-906035-00-3 et 2-906035-00-9)Guide présentant l'histoire des monuments historiques ouverts au public en Provence – Alpes – Côte - d'Azur, avec cartes thématiques : 4 Renaissance / Classique / Baroque (traduit en allemand et anglais en septembre 1988). notice Collobrière : Ancienne Chartreuse de la Verne pp.126-127
- Collobrières sur www.provence7.com/
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Cavité souterraine Les Grès
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site de l'office de tourisme
- Collobrières sur le site de l'Institut géographique national
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site du ministère français de la Culture (base architecture et patrimoine), photographies de Françoise Thurel, S. Réol, Christian Hussy, Marc Heller, Armelle Guilcher, Gaëtan Congès, Hélène Barge, Jean-Marie Michel, Ministère de la Culture (France), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA