Vienne (rivière française)

rivière française du bassin de la Loire

La Vienne est une rivière française traversant les départements qui portent son nom (Haute-Vienne et Vienne) et une partie de la Creuse (2 km en rive droite seulement), de la Corrèze, de la Charente, et de l'Indre-et-Loire. D'une longueur de 363,3 km, elle est l'un des principaux affluents de la Loire, avec l'Allier et le Cher, et celui qui a le plus important débit.

La Vienne
Illustration
La Vienne traversant Châtellerault sous les ponts Henri-IV et Camille-de-Hogues.
Carte.
Cours de la Vienne (carte interactive).
Caractéristiques
Longueur 363,3 km [1]
Bassin 21 161 km2 [1]
Bassin collecteur Loire
Débit moyen 210 m3/s (Candes-Saint-Martin)
Cours
Source mont Audouze, plateau de Millevaches
· Localisation Millevaches,
Peyrelevade,
Saint-Setiers, France
· Altitude 859 m
· Coordonnées 45° 39′ 42″ N, 2° 05′ 03″ E
Confluence Loire
· Localisation Candes-Saint-Martin, France (15 km en amont de Saumur)
· Altitude 30 m
· Coordonnées 47° 12′ 48″ N, 0° 04′ 29″ E
Géographie
Principaux affluents
· Rive gauche Briance, Clain
· Rive droite Maulde, Taurion, Creuse
Pays traversés Drapeau de la France France
Départements Corrèze, Haute-Vienne, Creuse, Charente, Vienne, Indre-et-Loire
Régions traversées Nouvelle-Aquitaine, Centre-Val de Loire
Principales localités Limoges, Confolens, Châtellerault, Chinon

Sources : SANDRE:« L---0060 », Géoportail, Banque Hydro

S'écoulant entre le plateau de Millevaches et la plaine de Touraine, elle a la particularité de traverser des paysages extrêmement diversifiés, comme la plupart des cours d'eau issus de l'ouest du Massif central mais qui se jettent plutôt dans la Garonne ou la Gironde (Dordogne, Lot, Tarn).

Hydronymie

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Attestations anciennes

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Le nom de la rivière est attesté sous les formes Vingenna au VIe s. (Grégoire de Tours, Histoire des Francs, I, 43); Vigenna au VIe s. (Venance Fortunat, Carmina, ap. Bouquet, t. II, p. 510) ; Vincenna (Gesta reg. franc. ibid. t. lI, p. 551) ; Vienna en 800 (prœcept. Caroli M. pro mon. Cormaricensi, ibid. t. V, p. 766); Vicenna (anon. Ravenn. ibid. t. I, p. 121) ; Viuzanna en 901 (Fonteneau, t. XXI, p. 154); Vinzenna en 904 (cart. de S'-Cyprien, p. 156); Vizenna vers 980 (ibid. p. 147) ; Rivière de Vyenne, fleuve de Vienne en 1309 (Gauthier, fos 185 v° et 187 v°); Fluve de Vigenne en 1410 (fam. Laurent de Reyrac)[2].

On trouve aussi la mention suivante dans un arrêt du parlement de Paris du  : Episcopi (Lemovicenses) possidebant navigia et arrivagia dictæ civitatis, quæ Vinguenne vocatur, cum emolumentis et proventibus eorumdem[3]. La situation de ce port sur la Vienne des évêques de Limoges n'est pas connue.

Étymologie

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Par analogie avec la Vière (Vigera en 878), la Voire (Vigera en 673), Ernest Nègre place la Vienne, ainsi que la Vingeanne, Vincene en 613, dans un petit groupe d'hydronymes préceltiques formé sur un radical *vig-, avec un suffixe préceltique -ara pour les deux premiers et un suffixe gaulois ou préceltique -enna pour la Vienne et la Vingeanne[4].

L'hypothèse d'un radical *vig- est reprise par Marcel Villoutreix pour la Vienne ainsi que pour un affluent du Taurion, la Vige (Haute-Vienne), Vigiae en 811[5].

À noter que la Vienne, rivière de Seine-Maritime, présente des formes anciennes identiques puisqu'elle est qualifiée de Vigenna à l'époque médiévale[6].

Langues régionales

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La Vienne s'appelle la Vinhana en limousin (d'après sa norme classique ou alibertine), et la Vignano[7] d'après la graphie mistralienne.

En marchois, dialecte de la langue de transition du Croissant, son nom est Viègne tout comme en poitevin-saintongeais.

Géographie

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La Vienne prend sa source en Corrèze, sur le plateau de Millevaches, à partir de quatre à cinq petits ruisseaux, au pied du mont Audouze, à une altitude comprise entre 860 m et 885 m, entre les communes de Saint-Setiers, Millevaches et Peyrelevade.

Elle se jette 372 km[1] en aval dans la Loire à Candes-Saint-Martin, à quelques centaines de mètres à peine de la limite départementale du Maine-et-Loire (commune de Montsoreau).

Principales villes traversées

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Autres sites traversés

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La Vienne présente un grand nombre d'îles fluviales qui parsèment son cours, principalement dans sa partie médiane et basse. Les principales sont, d'amont vers l'aval :

Affluents et sous-affluents

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La Vienne possède de très nombreux affluents et sous-affluents. Les principaux sont le Taurion ou Thaurion, la Creuse avec son affluent la Gartempe, et le Clain.

Rive gauche

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Rive droite

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La source de la Vienne près de Saint-Setiers
 
La Vienne entre Tarnac et Rempnat
 
« Le Sauvage », matérialisant le carrefour des limites des trois départements du Limousin
 
La Vienne près de Rempnat
 
La Vienne à Eymoutiers
 
La Vienne à Limoges vue depuis le pont Saint-Martial
 
La Vienne à Aixe-sur-Vienne
 
La Vienne à Chabanais

Hydrologie

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Bassin supérieur (source – Limoges)

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La Vienne naît sous le puy Lacaux, par trois sources[8] situées entre 860 m et 885 m d'altitude, tout près du signal d'Audouze (956 m) sur les communes de Millevaches et de Saint-Setiers.

 
Paysage de la haute vallée de la Vienne.

Elle amène ses eaux vers le nord et reçoit son tout premier affluent en rive droite, le « ruisseau de Vieille Maison ». La Vienne oblique vers l'ouest et contourne par le sud le bourg de Peyrelevade, traverse un étang et se joint à son deuxième affluent de rive droite, le « ruisseau aux ponts ». Continuant vers l'ouest, recevant son premier affluent de rive gauche, le « ruisseau de Chamboux », elle se jette dans le lac de Servières avec un débit de 3,5 m3/s. Ce lac a la particularité d'avoir deux exutoires : un qui est naturel, il s'agit de la Vienne, dont le débit est alors de 1,8 m3/s, l'autre étant la Rigole du Diable, alimentant le lac du Chammet, pour 2 m3/s. Le cours d'eau longe Tarnac et continue vers l'ouest, recevant un affluent de rive droite avec un débit plus important, la Chandouille, elle-même grossie par les ruisseaux qui alimentent son lac de retenue : le lac du Chammet.

Elle continue toujours vers l'ouest, servant de frontière naturelle entre la Haute-Vienne et la Creuse. La Vienne est donc le seul cours d'eau de la région à traverser le territoire des trois départements de l'ancienne région Limousin, même si la portion creusoise n'est que d'un peu plus de 2 km.

Recevant d'autres affluents de faible importance, elle arrive à Eymoutiers, où son débit atteint désormais 6,85 m3/s. Entre Eymoutiers jusqu'à Saint-Priest-Taurion, elle reçoit ses deux premiers affluents ayant un débit significatif ; la Combade avec un débit de 3,6 m3/s et la Mauldem3/s. À Saint-Priest Taurion, la rivière roule en moyenne 23,7 m3/s. Là, elle reçoit les eaux du Taurion, son premier vrai affluent d'importance, soit en moyenne 18,9 m3 supplémentaires par seconde et son débit passe ainsi à 42,6 m3/s. Elle s'engage entre Le Palais-sur-Vienne et Panazol et pénètre dans l'agglomération de Limoges, quittant la partie haute du département.

Cours moyen (Limoges – Ingrandes-sur-Vienne)

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La Vienne traverse Limoges, où se situe son premier point de passage à gué, laissant la majeure partie de la ville sur sa droite, et recevant de nombreux affluents, tels le ruisseau du Palais, l'Auzette en pleine ville, la Valoine, puis en sortant de Limoges, à L'Aiguille, elle reçoit la Briance roulant plus de 8 m3/s, portant le débit global de la rivière à 56 m3/s. Elle reçoit encore d'autres affluents, comme l'Aurence et l'Aixette qui portent son débit à 61 m3/s au pont de la Gabie.

Serpentant entre Aixe-sur-Vienne et Saint-Junien, elle est alors longée par la voie ferrée Limoges-Angoulême. La vallée, encore profonde jusqu'à Saint-Junien, s'élargit alors, préfigurant la fin des hauteurs du Massif central.

Jusqu'à Étagnac, elle reçoit de nombreux affluents, parmi eux la Glane à Saint-Junien, la Gorre à Saillat-sur-Vienne, qui porte son débit à 71,4 m3/s au niveau du Pont de Pilas[9]. La rivière arrose Chabanais, où elle reçoit la Grêne, et bifurque brutalement vers le nord après Exideuil, arrosant Confolens, Availles-Limouzine, L'Isle-Jourdain, Lussac-les-Châteaux, Valdivienne, Chauvigny, et conserve cette direction jusqu'à sa confluence avec le Clain à Cenon-sur-Vienne, quelques kilomètres en amont de Châtellerault. Elle sert de refroidissement à la centrale nucléaire de Civaux.

Elle reçoit quelques affluents qui contribuent faiblement à une augmentation de son volume, tels le Goire, l'Issoire, la Blourde, la Dive et l'Ozon. Arrivée à Lussac, son débit atteint 81,7 m3/s.

Cours inférieur (Ingrandes – jusqu'à la Loire)

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À Ingrandes, son débit atteint 121 m3/s, grâce à l'apport de l'Ozon, et surtout du Clain (21 m3/s). Elle continue vers le nord pour recevoir à sa droite son plus important affluent, la Creuse (85 m3/s) qui porte le débit de la Vienne à plus de 200 m3/s à Nouâtre.

À Nouâtre, localité située entre Châtellerault et Chinon, peu en aval du confluent entre la Creuse et la Vienne, son débit, observé durant 48 ans de 1958 à 2005, se monte à 201 m3/s pour un bassin versant de 19 920 km2 sur un bassin total de 21 105 km2.

La rivière présente des fluctuations saisonnières de débit importantes, avec des hautes eaux d'hiver portant la moyenne mensuelle entre 290 et 362 m3/s de décembre à mars inclus avec un maximum en janvier-février, et des basses eaux d'été, de juillet à octobre inclus, caractérisées par une baisse du débit moyen mensuel jusqu'à un minimum confortable de 62,3 m3 au mois d'août[10].

Lors des étiages, le VCN3 peut chuter jusqu'à 25 m3/s en cas de période quinquennale sèche.

D'autre part la rivière est sujette à des crues parfois violentes et son débit peut atteindre alors de 2 500 à 3 000 m3/s. Les QIX 2 et QIX 5 valent respectivement 1 400 et 1 900 m3. Le QIX 10 est de 2 200 m3/s, le QIX 20 atteint 2 600 m3. Enfin le QIX 50 est de 3 000 m3/s à cet endroit.

Le débit instantané maximal enregistré a été de 2 480 m3/s le . En comparant cette valeur à l'échelle des QIX calculés de la rivière, on constate que cette crue était à peine vicennale, et donc nullement exceptionnelle.

La lame d'eau écoulée dans le bassin de la Vienne est de 319 millimètres annuellement, et le débit spécifique (Qsp) se monte de ce fait à 10,1 litres par seconde et par kilomètre carré de bassin, soit un niveau équivalent à la moyenne observée sur l'ensemble de la France, mais nettement supérieur aux affluents de la rive droite de la Loire, comme la Sarthe et surtout le Loir.

La Vienne contribue à 1/3 du débit de la Loire à Saumur à 20 km en aval de la confluence, tout au long de l'année avec un petit plus pour la période des hautes eaux ; c'est l'affluent majeur de la Loire, largement devant l'Allier et la Maine. À sa confluence avec la Loire à Candes-Saint-Martin, son débit moyen final atteint 210 m3/s, contre 145 pour l'Allier et 130 pour la Maine.

Débit moyen mensuel (en m3/s)
Station hydrologique : Nouâtre
(1958-2005)
Source : Banque Hydro - Station L7000610

Sous-bassin de la Vienne

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La Vienne à Confolens
 
La centrale nucléaire de Civaux, à gauche, utilise les eaux de la Vienne, à droite, pour son refroidissement
 
La Vienne à Châtellerault
 
La Vienne à Chinon
 
Le confluent avec la Loire, Vienne en bas, Loire en haut
Cours d'eau Localité Débits en m3/s Côte
max(m)
Max.
instant.
Max.
journ.
Lame
d'eau
(mm)
Surface
(km2)
Module VCN3
(étiage)
QIX 2 QIX 5 QIX 10 QIX 20 QIX 50
Vienne Peyrelevade 1,78 0,10 14 19 22 25 28 2,14 26,6 35 960 58,5
Vienne Eymoutiers 6,83 0,62 54 78 95 110 - 2,50 148 71,6 586 369
Combade Roziers-Saint-Georges 3,60 0,44 24 30 35 39 48 1,80 41,5 37,3 658 173
Maulde Peyrat-le-Château 2,46 0,34 15 18 20 22 - 2,24 21,9 17 804 97
Maulde confluence 7
Vienne Saint-Priest-Taurion 23,60 2,30 130 180 220 250 290 2,71 253 216 647 1 160
Taurion Saint-Priest-Taurion 19,00 1,10 140 210 250 290 350 3,23 228 215 585 1 030
Vienne Le Palais-sur-Vienne 43,90 3,80 250 350 410 470 550 3,04 600 510 2 296 606
Briance Condat-sur-Vienne 8,21 0,64 120 170 200 230 270 4,25 409 218 435 597
dont Roselle Saint-Hilaire-Bonneval 1,60 0,14 32 46 55 63 75 4,89 91,5 45,8 406 125
Aurence Isle 1,24 0,12 17 23 27 30 - 2,36 28,4 19,4 451 87
Aixette Aixe-sur-Vienne 1,68 0,03 38 56 68 79 93 2,95 82,2 43,7 351 152
Vienne Verneuil-sur-Vienne 61,00 6,60 420 590 700 810 940 4,03 768 640 570 3 390
Glane Saint-Junien 3,95 0,16 36 50 59 68 80 2,32 74,3 52 435 288
Gorre Chaillac-sur-Vienne 2,14 0,065 35 52 64 75 89 3,36 94 54,5 364 186
Vienne Étagnac 71,30 7,10 480 660 780 890 1 000 3,86 830 754 551 4 100
Clain Dissay 22,30 1,70 130 210 260 310 370 2,37 413 382 245 2 886
Vienne Châtellerault 112,00 11,00 870 1300 1500 1700 2100 5,03 1 400 1 400 358 9 910
Vienne Ingrandes 121,00 13,00 810 1 100 1 400 1 600 1 800 7,77 1 420 1 400 380 10 050
Creuse Leugny 86,70 6,30 670 960 1 100 1 300 1 600 6,99 1 210 1 110 303 8 020
Vienne Nouâtre 201,00 25,00 1 400 1 900 2 200 2 600 3 000 8,61 2 480 2 300 319 19 920
Vienne Candes-Saint-Martin 210,00 21 105
Localité Module VCN3 QIX 2 QIX 5 QIX 10 QIX 20 QIX 50 Côte
max.
Max.
instant.
Max.
journ.
Lame
d'eau
Surface
bassin

Histoire

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Le , une petite troupe de Vikings commandée par Hasting est battue par le roi Carloman, sur la Vienne[11].

La Vienne arrose Cassinomagus (Chassenon, 40 km à l'ouest de Limoges), importante cité secondaire gallo-romaine des Lémovices et dont les thermes sont parmi les plus grands et les mieux conservés de la Gaule. Le temple de Montélu, associé à ces thermes, est lui aussi un des plus grands de la Gaule.

Aux XIXe et XXe siècles, la vallée supérieure de la Vienne s'industrialise de façon notable (industrie papetière, ganterie, feutre, porcelaine…).

Philatélie

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Le , La Poste a émis un bloc collector de 8 timbres à validité permanente pour lettre verte sur le thème « Limousin - Périgord - Terres de rivières » dont deux des timbres représentent la Vienne à Eymoutiers et à Limoges[12].

Notes et références

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  1. a b et c Sandre, « Fiche cours d'eau - la Vienne (L---0060) » (consulté le ).
  2. M. L. Rédet, Dictionnaire topographique du département de la Vienne, Imprimerie nationale, Paris, 1881.
  3. Du Cange, Carolus du Fresne., Caroli Du Fresne, Domini Du Cange, Regi à Consiliis, & Franciæ apud Ambianos Quæstoris, Glossarium ad Scriptores Mediæ & Infimæ Latinitatis : In Qvo Latina Vocabula novatæ significationis, aut usus rarioris, Barbara & Exotica explicantur, eorum Notiones & Originationes reteguntur ... ; E libris editis, ineditis, aliisque monumentis cùm publicis, tum privatis. Accedit Dissertatio de Imperatorum Constantinopolitanorum, seu de inferioris ævi, vel Imperii, uti vocant, Numismatibus., Zunner, (OCLC 249014619, lire en ligne).
  4. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 193), , 1869 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne), p. 46..
  5. Marcel Villetoureix, Nom de lieux du Limousin, Bonneton, Paris, 1995.
  6. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 4.
  7. Mistral, Frédéric (1830-1914). Auteur., Lou tresor dóu Felibrige ou dictionnaire provençal-français : embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne, Marcel Petit C. P. M, (OCLC 758787828, lire en ligne).
  8. Pascal Coussy, « Un sentier pour découvrir les sources de la Vienne », France 3 (consulté le ).
  9. Ministère de l'Écologie et du Développement durable - Bulletin hydrologique annuel (page 5) [PDF].
  10. Banque Hydro - Ministère de l'Écologie, « Synthèse de la Banque Hydro - La Vienne à Nouâtre (L7000610) » (consulté le ).
  11. Michel Dillange, Les Comtes de Poitou, ducs d'Aquitaine : 778-1204, Mougon, Geste éd., coll. « Histoire », , 303 p., ill., couv. ill. en coul. ; 24 cm (ISBN 2-910919-09-9, ISSN 1269-9454, BNF 35804152), p. 73.
  12. Collector 8 timbres - Limousin - Périgord - Terre de rivières - Lettre Verte, La Poste, consulté le .

Voir aussi

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Articles connexes

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