La Chapelle-Saint-Sulpice
La Chapelle-Saint-Sulpice | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Seine-et-Marne | ||||
Arrondissement | Provins | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Provinois | ||||
Maire Mandat |
Bruno Pelliciari 2020-2026 |
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Code postal | 77160 | ||||
Code commune | 77090 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Capélosulpiciens | ||||
Population municipale |
240 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 38 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 33′ 18″ nord, 3° 10′ 44″ est | ||||
Altitude | Min. 105 m Max. 151 m |
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Superficie | 6,37 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Provins | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
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Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Liens | |||||
Site web | la-chapelle-saint-sulpice.fr | ||||
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La Chapelle-Saint-Sulpice est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La Chapelle-Saint-Sulpice est situé à 10 km à l'ouest de Provins, à 33 km au nord-est de Montereau-Fault-Yonne (la plus grande ville aux alentours), à 40 km à l'est de Melun (Préfecture de Seine-et-Marne).
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Le village est situé à 133 mètres d'altitude. Il existait anciennement le ravin des Brodards ou aussi appelé ru des Bassinets, avant d'être comblé en 1968[réf. nécessaire].
La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]Le réseau hydrographique de la commune se compose de deux cours d'eau référencés :
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 2,03 km[4].
Gestion des cours d'eau
[modifier | modifier le code]Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[5]. La commune fait partie de deux SAGE : « Yerres » et « Bassée Voulzie ».
Le SAGE « Yerres » a été approuvé le . Il correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[6]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l’Assainissement et la Gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »[7].
Le SAGE « Bassée Voulzie » est en cours d'élaboration en décembre 2020. Il concerne 144 communes dont 73 en Seine-et-Marne, 50 dans l'Aube, 15 dans la Marne et 6 dans l'Yonne, pour une superficie de 1 710 km2[8],. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par Syndicat Mixte Ouvert de l’eau potable, de l’assainissement collectif, de l’assainissement non collectif, des milieux aquatiques et de la démoustication (SDDEA), qualifié de « structure porteuse »[9].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[11].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 739 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Voulton à 13 km à vol d'oiseau[12], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,8 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[16],[17],[18].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , La Chapelle-Saint-Sulpice est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[19]. Elle est située hors unité urbaine[20]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[20]. Cette aire regroupe 1 929 communes[21],[22].
Lieux-dits et écarts
[modifier | modifier le code]La commune compte 41 lieux-dits administratifs[Note 2] répertoriés consultables ici[23] (source : le fichier Fantoir).
Ses principales rues sont la rue Roger Frisson, la rue Creuse, la rue des Filasses, la rue Saint-Paul, la rue de l'Église, le chemin de Mitoy et l'impasse des Bassinets.
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (95,7% ), forêts (4,3 %)[24].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[25],[26],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].
-
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
-
Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
[modifier | modifier le code]La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Grand Provinois, dont le projet a été arrêté le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) du Grand Provinois, qui regroupe les Communautés de Communes du Provinois et de Bassée-Montois, soit 82 communes[27].
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[28]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 3].
Logement
[modifier | modifier le code]En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 94 dont 98,9 % de maisons (maisons de ville, corps de ferme, pavillons, etc.) et 1,1 % d'appartements[Note 3].
Parmi ces logements, 90,4 % étaient des résidences principales, 7,4 % des résidences secondaires et 2,1 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 88,2 % contre 11,8 % de locataires[29].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]L'accès principal au village se fait par la D49 qui donne directement sur la D619 (anciennement nommée N19).
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est mentionné sous les formes Capella en 1249[30],[31] ; Capella prope Minteium en 1251[32] ; Capela Sancti Supplicii au XIVe siècle[33] ; La Chapelle Saint Supplix en 1538[34] ; La Chapelle Saint Supplis en 1602[35],[36].
La chapelle puis l'église paroissiale était dédiée à saint Sulpice[37] et à saint Antoine[31].
Histoire
[modifier | modifier le code]Le site de la Chapelle-Saint-Sulpice, bien qu'attenant au Chemin de César, ne conserve aucune trace d'une occupation ancienne. Une communauté de villageois se serait installée sur le territoire actuel de la commune à la suite des grands défrichements des XIe et XIIe siècles. Le village doit son nom à une chapelle seigneuriale construite au XIIIe siècle, la chapelle Peurchée, dont les ruines étaient encore visibles au début du XIXe siècle[38]. La paroisse est mentionnée pour la première fois sous le nom de Capella dans un rôle des fiefs champenois de 1249. Au XIVe siècle, le village prend le nom de Capella sancti Supplicii, l'église étant placée sous l'invocation de saint Sulpice. Il appartient successivement aux seigneurs de Paroy et aux seigneurs du Plessis-aux-Tournelles de Cucharmoy, qui le conservent jusqu'à la Révolution. De 1579 à 1591, il est propriété d'un des chefs huguenots, François de la Noue, proche d'Henri IV. En 1736, la seigneurie du Plessis-aux-Tournelles échoit à André de Rosset, duc de Fleury, pair de France et frère du cardinal de Fleury, le précepteur et ministre de Louis XV. À partir de la seconde moitié du XIXe siècle, l'économie du village se développe : les excédents de céréales s'écoulent vers Paris depuis la gare de Maison-Rouge, distante de 2 kilomètres des exploitations agricoles capélosulpiciennes. Toutefois, les produits de basse-cour sont toujours vendus sur les marchés de Provins et Nangis[38].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services
[modifier | modifier le code]Eau et assainissement
[modifier | modifier le code]L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [39],[40].
Assainissement des eaux usées
[modifier | modifier le code]En 2020, la commune de La Chapelle-Saint-Sulpice ne dispose pas d'assainissement collectif[41],[42].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[43]. La communauté de communes du Provinois assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[41],[44].
Eau potable
[modifier | modifier le code]En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui gère le service en régie[41],[45],[46].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[48].
En 2021, la commune comptait 240 habitants[Note 4], en évolution de +0,84 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 82, représentant 238 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 23 620 euros[51].
Emploi
[modifier | modifier le code]En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 20, occupant 102 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 68,9 % contre un taux de chômage de 8,8 %. Les 22,3 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 8,8 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 4,1 % de retraités ou préretraités et 9,5 % pour les autres inactifs[52].
Secteurs d'activité
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 12 dont 2 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 1 dans la construction, 4 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 3 dans les activités immobilières, 1 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, et 1 était relatif aux autres activités de services[53].
En 2019, 3 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 2 individuelles.
Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[54].
- Art déco-délire ;
- L'atelier de sculpture et peinture ;
- Élevage de chien de la horde du bois perdu ;
- Entreprise « I.D.E.E.V » : Imotique Domotique Électricité Énergie Verte.
Agriculture
[modifier | modifier le code]La Chapelle-Saint-Sulpice est dans la petite région agricole dénommée la « Brie centrale », une partie de la Brie autour de Mormant[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 5] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[55].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[56]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 3 en 1988 à 2 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 135 ha en 1988 à 199 ha en 2010[55]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Chapelle-Saint-Sulpice, observées sur une période de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Dimension économique[55],[Note 6] | |||
Nombre d’exploitations (u) | 3 | 3 | 2 |
Travail (UTA) | 7 | 6 | 5 |
Surface agricole utilisée (ha) | 406 | 404 | 398 |
Cultures[57] | |||
Terres labourables (ha) | 402 | 404 | s |
Céréales (ha) | 261 | s | s |
dont blé tendre (ha) | 173 | 173 | s |
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) | 59 | 55 | s |
Tournesol (ha) | s | ||
Colza et navette (ha) | s | s | |
Élevage[55] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 7]) | 5 | 0 | 0 |
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Sulpice.
- Borne fleurdelysée no 38, XIXe siècle, Classé MH (1964)[58].
- Le monument à Émile Tripé, résistant.
À proximité :
- L’église romane de Saint-Loup-de-Naud et son portail sculpté de style gothique primitif
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « La Chapelle-Saint-Sulpice », p. 1238–1239
- Provins et ses environs - René-Charles Plancke — Promenades dans le Passé : tome 5 - M.J.C. de Provins - Éditions Amatteis
- L'Almanach de Seine-et-Marne de 1910
- Dictionnaire topographique du département de Seine-et-Marne — Henri STEIN & Jean HUBERT (archives de l'Évêché de Meaux)
- Monographie de la commune de La Chapelle-Saint-Sulpice — réalisée par M. Laurein, instituteur à La Chapelle-Saint-Sulpice en 1881 (archives départementales de Seine-et-Marne)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
- En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
- L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
- Cartes
- « La Chapelle-Saint-Sulpice - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- « Géoportail de l’urbanisme », sur geoportail-urbanisme.gouv.fr (consulté le ).
- [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Plan séisme consulté le 7 mars 2020 ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru du Dragon (F2326000) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ravin de la Forge (F2326100) » (consulté le ).
- Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 10 décembre 2018.
- « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
- « SAGE Yerres - Documents », sur gesteau.fr (consulté le ).
- site officiel du Syndicat mixte pour l’Assainissement et la Gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE)
- « SAGE Bassée Voulzie - Documents », sur gesteau.fr (consulté le ).
- « Ile SDDEA et sa régie », sur sddea.fr, (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre La Chapelle-Saint-Sulpice et Voulton », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Voulton_sapc » (commune de Voulton) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Voulton_sapc » (commune de Voulton) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Chapelle-Saint-Sulpice », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Chapelle-Saint-Sulpice », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune de Chapelle-Saint-Sulpice », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de La Chapelle-Saint-Sulpice ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb (consulté en ).
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- « Le SCOT Grand Provinois », sur cc-du-provinois.fr (consulté le ).
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- Statistiques officielles de l'Insee, section Logement consulté le 24 septembre 2020
- Rôles des fiefs, 893.
- Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 103.
- Arch. hosp. Provins, H.-D. 4
- Obit. prov. Sens, I, 936.
- Bull. Soc. Provins, mai 1897, p. 146.
- Archives nationales, S 2002.
- « La Chapelle-Saint-Sulpice », sur genea77-shage.info (consulté en ).
- Paul Bailly, 1989, Toponymie en Seine-et-Marne: noms de lieux, Page 10, (ISBN 2402033592).
- Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - Tome II - FLOHIC Éditions.
- « Le service public local de l’eau potable et de l’assainissement. », sur vie-publique.fr, (consulté le ).
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- « Tout savoir sur l’assainissement non collectif », sur le portail ministériel de l'assainissement non collectif (consulté le ).
- « Le SMAAEP de Crécy_Boutigny et Environs - Services en propre », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
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- « Chapelle-Saint-Sulpice (La) - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Statistiques officielles de l'Insee, section Revenus et pauvreté des ménages, consulté le 24 septembre 2020
- Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2017», consultée le 26 mars 2021.
- Statistiques officielles de l'Insee, section «Démographie des entreprises en 2019», consultée le 27 mars 2021.
- Statistiques officielles de l'Insee, section «Tourisme en 2021», consultée le 27 mars 2021.
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Chapelle-Saint-Sulpice », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « L'agriculture en Seine-et-Marne », sur seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
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- « Borne fleurdelysée no 38 », notice no PA00086865, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.