NGC 348
NGC 348 | |
La galaxie spirale NGC 348 | |
Données d’observation (Époque J2000.0) | |
---|---|
Constellation | Phénix |
Ascension droite (α) | 01h 00m 52,0s[1] |
Déclinaison (δ) | −53° 14′ 40″ [1] |
Magnitude apparente (V) | 13,8 [2] 14,6 dans la Bande B [2] |
Brillance de surface | 13,17 mag/am2[2] |
Dimensions apparentes (V) | 0,8′ × 0,7′ [2] |
Décalage vers le rouge | +0,029477 ± 0,000150 [1] |
Angle de position | 94° [2] |
Localisation dans la constellation : Phénix | |
Astrométrie | |
Vitesse radiale | 8 837 ± 45 km/s [1] |
Distance | 127,98 ± 8,98 Mpc (∼417 millions d'al) [1] |
Caractéristiques physiques | |
Type d'objet | Galaxie spirale |
Type de galaxie | Sb[1],[2] Sb?[3] |
Dimensions | environ 44,32 kpc (∼145 000 al)[1],[a] |
Découverte | |
Découvreur(s) | John Herschel[3] |
Date | [3] |
Désignation(s) | PGC 3632 ESO 151-17[2] |
Liste des galaxies spirales | |
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NGC 348 est une galaxie spirale située dans la constellation du Phénix. Sa vitesse par rapport au fond diffus cosmologique est de 8 677 ± 46 km/s, ce qui correspond à une distance de Hubble de 128,0 ± 9,0 Mpc (∼417 millions d'al)[1]. Elle a été découverte par l'astronome britannique John Herschel en 1834.
La classe de luminosité de NGC 348 est II[1].
NGC 348 et ESO 151- G 018 forment une paire de galaxies[4]. La distance de Hubble d'ESO 151- G 018 est de 107,63 ± 7,54 (∼)[5]. Étant donné les incertitudes des distances pour ces deux galaxies, il n'est pas impossible qu'elles forment une paire réelle.
Trou noir supermassif
[modifier | modifier le code]Selon une autre étude publiée en et basée sur la dispersion des vitesses de la région centrale de NGC 348, la masse du trou noir central serait de 15,5 millions de (107,19)[6].
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]Références
[modifier | modifier le code]- (en) « Results for object NGC 348 », NASA/IPAC Extragalactic Database (consulté le )
- « Les données de «Revised NGC and IC Catalog by Wolfgang Steinicke», NGC 300 à 399 », sur astrovalleyfield.com (consulté le )
- (en) Courtney Seligman, « Celestial Atlas Table of Contents, NGC 348 » (consulté le )
- D. S. L. Soares, R. E. de Souza, R. R. de Carvalho et T. C. Couto da Silva, « Southern binary galaxies. I. A sample of isolated pairs. », Astronomy and Astrophysics Supplement, vol. 110, , p. 371 (DOI 10.48550/arXiv.astro-ph/9410092, Bibcode 1995A&AS..110..371S, lire en ligne [PDF])
- (en) « Results for object ESO 151- G 018 (ESO 151-G 018) », NASA/IPAC Extragalactic Database (consulté le ).
- Andrea Marinucci, Stefano Bianchi, Fabrizio Nicastro, Giorgio Matt et Andy D. Goulding, « The Link between the Hidden Broad Line Region and the Accretion Rate in Seyfert 2 Galaxies », The Astrophysical Journal, vol. 748, no 2, , p. 10 pages (DOI 10.1088/0004-637X/748/2/130, Bibcode 2012ApJ...748..130M, lire en ligne [PDF])
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- (en) NGC 348 sur la base de données NASA/IPAC Extragalactic Database
- (en) NGC 348 sur la base de données Simbad du Centre de données astronomiques de Strasbourg.
- (en) NGC 348 sur spider.seds.org
- (en) NGC 348 sur la base de données LEDA
- (en) NGC 348 sur WikiSky
- (en) NGC 348 sur le site du professeur C. Seligman