Saint-Cernin (Cantal)
Saint-Cernin | |||||
Vue du village de Saint-Cernin. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Cantal | ||||
Arrondissement | Aurillac | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Salers | ||||
Maire Mandat |
André Dujols 2020-2026 |
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Code postal | 15310 | ||||
Code commune | 15175 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 055 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 23 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 03′ 34″ nord, 2° 25′ 17″ est | ||||
Altitude | Min. 556 m Max. 985 m |
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Superficie | 46,75 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Aurillac (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Naucelles | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Cantal
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | http://Saint-Cernin.fr | ||||
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Saint-Cernin est une commune française située dans le département du Cantal, en région d'Auvergne-Rhône-Alpes.
Elle comprend le territoire de l'ancienne commune de Saint-Martin-de-Valois, appelée, plus anciennement, Saint-Martin-lez-Tournemire, depuis 1826.
Géographie
[modifier | modifier le code]Saint-Cernin est une commune située au nord du Cantal dans le pays de Salers. Elle est arrosée par la Doire et le ruisseau de Cautrunes.
Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Saint-Cernin se trouve dans le département du Cantal, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Elle se situe à 19 km par la route[Note 1] d'Aurillac[1], préfecture du département, et à 15 km de Naucelles[2], bureau centralisateur du canton de Naucelles dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[3] : Saint-Chamant (3,9 km), Tournemire (4,8 km), Saint-Cirgues-de-Malbert (4,9 km), Freix-Anglards (4,9 km), Girgols (5,3 km), Saint-Martin-Valmeroux (6,6 km), Besse (7,0 km), Sainte-Eulalie (7,5 km).
Saint-Cernin est limitrophe de neuf autres communes.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 315 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Marmanhac à 8 km à vol d'oiseau[6], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 461,7 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saint-Cernin est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Aurillac, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 85 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (71,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (59 %), forêts (23,9 %), zones agricoles hétérogènes (13,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,5 %), zones urbanisées (1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 685, alors qu'il était de 697 en 2013 et de 672 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 70,5 % étaient des résidences principales, 18,3 % des résidences secondaires et 11,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 86,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 12,6 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Cernin en 2018 en comparaison avec celle du Cantal et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (18,3 %) inférieure à celle du département (20,4 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 74,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (72,5 % en 2013), contre 70,4 % pour le Cantal et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Saint-Cernin[I 2] | Cantal[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 70,5 | 67,7 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 18,3 | 20,4 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 11,2 | 11,9 | 8,2 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Antiquité
[modifier | modifier le code]En 1842, des fouilles sur le Puy-Cantarel révèlent notamment des bracelets et colliers gaulois en bronze[14].
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Révolution française et Empire
[modifier | modifier le code]Le décret de l'Assemblée Nationale du décrète « il y aura une municipalité dans chaque ville, bourg, paroisse ou communauté de campagne »[15]. La municipalité de Saint Cernin est rattachée au canton de Saint Cernin et au district d'Aurillac[16]. Le terme « commune », au sens de l’administration territoriale actuelle, est imposé par le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II () : « La Convention nationale, sur la proposition d’un membre, décrète que toutes les dénominations de ville, bourg ou village sont supprimées et que celle de commune leur est substituée »[17]. Ainsi la municipalité de Saint Cernin devient formellement « commune de Saint-Cernin » en 1793[16].
Les cantons sont supprimés, en tant que découpage administratif, par une loi du , et ne conservent qu'un rôle électoral, permettant l’élection des électeurs du second degré chargés de désigner les députés[18],[19]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, considérés comme des rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquièrent dès lors plus d'importance en retrouvant une fonction administrative[18]. Saint-Cernin est alors rattachée au Canton de Saint-Cernin et à l'Arrondissement d'Aurillac par arrêté du 9 vendémiaire an X ()[16],[20]. Cette organisation va rester inchangée pendant près de 150 ans.
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]En 1826, Saint-Cernin absorbe Saint-Martin-de-Valois et en 1839, Freix-Anglards est érigée en commune par démembrement de Saint-Cernin[16].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune de Saint-Cernin est membre de la communauté de communes du Pays de Salers[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Salers. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[21].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement d'Aurillac, au département du Cantal, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Naucelles pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la première circonscription du Cantal pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[22].
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Élections de 2020
[modifier | modifier le code]Le conseil municipal de Saint-Cernin, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[23], pour un mandat de six ans renouvelable[24]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 15[25]. Les quinze conseillers municipaux sont élus au premier tour avec un taux de participation de 41,8 %, issus de la seule liste candidate, conduite par André Dujols[26]. André Dujols, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le [27].
Les cinq sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire de la communauté de communes du Pays de Salers sont alloués à la liste d'André Dujols[26].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].
En 2021, la commune comptait 1 055 habitants[Note 4], en évolution de −2,94 % par rapport à 2015 (Cantal : −1,36 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est plus jeune que celle du département. En 2021, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,4 %, soit un taux supérieur à la moyenne départementale (26,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (33,1 %) est inférieur au taux départemental (36,6 %).
En 2021, la commune comptait 534 hommes pour 521 femmes, soit un taux de 50,62 % d'hommes, supérieur au taux départemental (48,9 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :
Enseignement
[modifier | modifier le code]Il existe un collège depuis les années 1950, d'abord CEG, il a ensuite adopté le nom d'Henri-Mondor, chirurgien natif de la commune.
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus
[modifier | modifier le code]En 2018, la commune compte 469 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 1 004 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 490 €[I 8] (20 510 € dans le département[I 9]).
Emploi
[modifier | modifier le code]2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 10] | 3,7 % | 3,4 % | 5,8 % |
Département[I 11] | 5,6 % | 6,5 % | 6,4 % |
France entière[I 12] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 654 personnes, parmi lesquelles on compte 82,9 % d'actifs (77,1 % ayant un emploi et 5,8 % de chômeurs) et 17,1 % d'inactifs[Note 6],[I 10]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Aurillac, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 13]. Elle compte 426 emplois en 2018, contre 438 en 2013 et 399 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 506, soit un indicateur de concentration d'emploi de 84,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 60,8 %[I 14].
Sur ces 506 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 236 travaillent dans la commune, soit 47 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 74,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,4 % les transports en commun, 12,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 11,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Le bourg de Saint-Cernin avec ses vieilles maisons et ses châteaux ;
- l'église Saint-Cernin des XVe et XVIIIe siècles[35] et son clocher-peigne massif ; également désignée Église Saint-Saturnin[36]
- le château de Faussanges du XVIIIe – XIXe siècle[37] ;
- le château du Cambon des XIVe et XVIIIe siècles[38] ;
- le château du Cros ;
- le château de Bournazel, avec un moulin sur la Doire ;
- le château d'Ourzeaux ;
- le château de Ragheaud des XVe et XVIIIe siècles[39] ;
- les anciens fiefs nobles de Monteil et du Puech de Frayssinet, situés sur l'ancienne paroisse de Saint-Martin-lez-Tournemire, qui appartenaient à la famille de Pestels ;
- la tour de Marzes du XIIIe siècle[40].
-
Le château du Cambon. -
Le château de Cros. -
La tour de Marzes. -
Le château de Ragheaud.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Édouard Marty (1851-1913), peintre né à Lavergne, hameau de Tournemire, a été juge de paix à Saint-Cernin.
- Henri Mondor (1885-1962), chirurgien, académicien, est né à Saint-Cernin.
- Jean Vezole (1923-2014), écrivain occitaniste, y a vécu.
- Émile de Curton (1908-1993), Français Libre et diplomate, y est né.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'or à la tour de gueules maçonnée de sable, ouverte du champ et chargée d'un lion du même, accostée de deux étoiles d'azur. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Saint-Cernin » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Cernin - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Cernin - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Cantal » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Évolution et structure de la population en 2021 - Commune de Saint-Cernin (15175). », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Cernin » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Cantal » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Cernin » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Cantal » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Cernin » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Cernin et Aurillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Cernin et Naucelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Saint-Cernin », sur villorama.com (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Cernin et Marmanhac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Marmanhac », sur la commune de Marmanhac - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Marmanhac », sur la commune de Marmanhac - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Aurillac », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Deribier-St Cernin », sur Cantal Passion (consulté le ).
- Motte 2003, p. 24.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint Cernin », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Motte 2003, p. 23.
- Gérard Lang, « Le Code officiel géographique (COG) - 4.3. : l’œuvre révolutionnaire », sur projetbabel.org, (consulté le ).
- « Histoire de la décentralisation », sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ), p. 6.
- Gérard Lang, « Le Code officiel géographique (COG) - 4.4. : le Consulat et l'Empire », sur projetbabel.org, (consulté le ).
- « communauté de communes du Pays de Salers - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral du Cantal (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- Loi no 2013-403 du 17 mai 2013 relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral, article 51 et son décret d'application no 2013-938 du 18 octobre 2013.
- « Election des conseillers municipaux et du maire », sur le site de la DGCL (consulté le ).
- Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales
- « Résultats du 1er tour pour Saint-Cernin », sur le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Répertoire national des élus - version du 3 septembre 2020 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
- JOEF du 1er octobre 1941.
- « André Dujols, réélu maire », sur La Montagne, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Cantal (15) », (consulté le ).
- « Église Saint-Cernin », notice no PA00093601, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 19 décembre 2016.
- cf le site de l'Office du tourisme https://www.salers-tourisme.fr/eglise-saint-saturnin
- « Château de Faussanges », notice no PA00093599, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 19 décembre 2016.
- « Château du Cambon », notice no PA00093598, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 19 décembre 2016.
- « Château de Ragheaud », notice no PA00093600, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 21 décembre 2016.
- « Tour-donjon de Marze », notice no PA00093602, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 21 décembre 2016.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Claude Motte, Isabelle Séguy & Christine Théré, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d’hier, communes d’aujourd’hui : Les communes de la France métropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d’histoire administrative, Paris, Institut National d’Études Démographiques,, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, lire en ligne)
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :