Vals-le-Chastel
Vals-le-Chastel | |||||
Partie médiévale du village sur sa motte castrale | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Loire | ||||
Arrondissement | Brioude | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Rives du Haut Allier | ||||
Maire Mandat |
Jean-Marc Cubizolles 2020-2026 |
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Code postal | 43230 | ||||
Code commune | 43250 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
39 hab. (2022 ) | ||||
Densité | 9,8 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 16′ 18″ nord, 3° 31′ 19″ est | ||||
Altitude | Min. 507 m Max. 777 m |
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Superficie | 3,99 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Brioude (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Pays de Lafayette | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Vals-le-Chastel est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Vals-le-Chastel se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Elle se situe à 51 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], préfecture du département, à 17 km de Brioude[2], sous-préfecture, et à 19 km de Mazeyrat-d'Allier[3], bureau centralisateur du canton du Pays de Lafayette dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Saint-Préjet-Armandon (2,4 km), Frugières-le-Pin (2,6 km), Domeyrat (2,8 km), Montclard (3,5 km), Saint-Didier-sur-Doulon (3,6 km), Javaugues (3,7 km), Lavaudieu (5,3 km), Chaniat (5,8 km).
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 764 mm, avec 8,7 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint Didier sur Doulon », sur la commune de Saint-Didier-sur-Doulon à 4 km à vol d'oiseau[7], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 813,8 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le Doulon traverse la commune.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Vals-le-Chastel est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brioude, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 39 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (90,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (90,8 %), zones agricoles hétérogènes (9 %), prairies (0,2 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 38, alors qu'il était de 38 en 2013 et de 39 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 65 % étaient des résidences principales, 18,9 % des résidences secondaires et 16,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 92,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 7,9 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Vals-le-Chastel en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (18,9 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 80 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (69,6 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Vals-le-Chastel[I 2] | Haute-Loire[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 65 | 71,5 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 18,9 | 16,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 16,2 | 12,4 | 8,2 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune de Vals-le-Chastel est membre de la communauté de communes des Rives du Haut Allier[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Langeac. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[15].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Brioude, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Pays de Lafayette pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la deuxième circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[16].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[20].
En 2022, la commune comptait 39 habitants[Note 4], en évolution de −11,36 % par rapport à 2016 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 14 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34,9 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 19 hommes pour 24 femmes, soit un taux de 55,81 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (50,87 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
[modifier | modifier le code]Emploi
[modifier | modifier le code]Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 9] | 3,6 % | 20 % | 23,1 % |
Département[I 10] | 6,3 % | 7,7 % | 7,7 % |
France entière[I 11] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 26 personnes, parmi lesquelles on compte 88,5 % d'actifs (65,4 % ayant un emploi et 23,1 % de chômeurs) et 11,5 % d'inactifs[Note 5],[I 9]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Brioude, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 12]. Elle compte 9 emplois en 2018, contre 6 en 2013 et 7 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 17, soit un indicateur de concentration d'emploi de 52,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 57,5 %[I 13].
Sur ces 17 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 4 travaillent dans la commune, soit 24 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 94,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et[I 15].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Le château (privé) est un corps de logis du XVe siècle flanqué de deux tours rondes, l'ensemble étant adossé à une tour carrée plus ancienne[23].
- L'église Saint-Paul (inscrite aux M.H. en 1962), remaniée au XVe siècle sur une partie romane plus ancienne, est un bâtiment simple sans transept, à trois travées, celle de l'entrée supportant le clocher et la troisième abritant le chœur[24]. À gauche de l'autel, un escalier de quatre marches et une porte ouvrent sur la chapelle.
-
Église Saint-Paul sur les hauteurs du village.
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Façade et entrée de l'église.
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Nef de l'église.
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À gauche du chœur, porte et fenêtre de la chapelle seigneuriale.
- La chapelle seigneuriale dédiée à Notre-Dame-des-Anges semble avoir gardé son architecture primitive avec ses quatre guérites supportant le toit. L'unique salle intérieure en voûtes romanes a été décorée de fresques en 1465, à la suite d'une épidémie de peste. Elles représentent une assemblée de personnages sous la protection d'une Vierge de Miséricorde. Une plaque porte l'inscription : CETTE CHAPELLE SOUS L'INVOCATION DE LA TRÈS SAINTE VIERGE NOTRE DAME DES ANGES EST LA PROPRIÉTÉ PARTICULIÈRE DE LA MAISON DU CROZET DE CUMIGNAT, ce qui fut effectif durant sept siècles, jusqu'à ce qu'elle soit léguée à la commune de Vals-le-Chastel par la comtesse Solange de Chargères du Breuil, veuve du comte Yves de Rochefort, en 2011[25].
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Chapelle romane à guérites Notre-Dame-des-Anges.
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La chapelle seigneuriale adossée au côté nord de l'église.
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Fresques et plaque de la famille Crozet dans la chapelle.
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Fresque de la Vierge de Miséricorde dans la chapelle.
Scolarité
[modifier | modifier le code]La commune possède depuis 2018 une Calandreta, école en langue occitane[26]
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Vals-le-Chastel ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Vals-le-Chastel » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Vals-le-Chastel - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Vals-le-Chastel - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Vals-le-Chastel (43250) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Vals-le-Chastel » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Vals-le-Chastel » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Stephan Georg, « Distance entre Vals-le-Chastel et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Vals-le-Chastel et Brioude », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Vals-le-Chastel et Mazeyrat-d'Allier », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Vals-le-Chastel », sur villorama.com (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Vals-le-Chastel et Saint-Didier-sur-Doulon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint Didier sur Doulon », sur la commune de Saint-Didier-sur-Doulon - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint Didier sur Doulon », sur la commune de Saint-Didier-sur-Doulon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Brioude », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « communauté de communes des Rives du Haut Allier - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 26 août 2014).
- « Liste des maires »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [PDF], Préfecture de la Haute-Loire, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- site des communes du pays de Paulhaguet
- fiche de la base Mérimée des Monuments Historiques ref PA00092908
- fiche de la base Palissy des Monuments Historiques ref. PM43000687
- Elodie Monnier, Pierre Vaireaux, « Haute-Loire : une nouvelle école Calandreta pour transmettre la langue occitane » [Reportage de la chaîne télévisée France 3 Auvergne-Rhône-Alpes].
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :