Vendin-le-Vieil
Vendin-le-Vieil | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Lens | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Lens-Liévin | ||||
Maire Mandat |
Ludovic Gambiez 2020-2026 |
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Code postal | 62880 | ||||
Code commune | 62842 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Vendinois, Vendinoises | ||||
Population municipale |
8 381 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 785 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 28′ 29″ nord, 2° 52′ 00″ est | ||||
Altitude | Min. 20 m Max. 66 m |
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Superficie | 10,67 km2 | ||||
Type | Centre urbain intermédiaire | ||||
Unité urbaine | Douai-Lens (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lens - Liévin (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Wingles | ||||
Législatives | Douzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | vendin-le-vieil.fr | ||||
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Vendin-le-Vieil est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Elle est membre de la communauté d'agglomération de Lens-Liévin qui regroupe 36 communes et compte 242 587 habitants en 2021.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune est limitrophe, au sud, de la commune de Lens, et est située à 30 minutes de Lille, une heure de la Côte d'Opale, une heure de la Belgique et à deux heures de Paris.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit communes :
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 10,67 km2 ; son altitude varie de 20 à 66 mètres[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].
La commune est traversée par le canal navigable de la Deûle, d'une longueur de 58,75 km, qui prend sa source dans la commune de Douai et se jette dans la Lys au niveau de la commune de Deûlémont[3].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 713 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 19 km à vol d'oiseau[6], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : le terril et le marais de Wingles. Ce site se localise dans la dépression alluviale du Flot de Wingles, au nord de la ville de Lens, ancienne friche industrielle réaménagée en espace de loisirs, celui-ci est traversé par la RD 165 E et une voie ferrée[10].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Vendin-le-Vieil est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens[Note 3], une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lens - Liévin, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[13]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (61 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (26,4 %), zones urbanisées (22,2 %), zones agricoles hétérogènes (7,5 %), mines, décharges et chantiers (0,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Wendinium (966) ; Uuendinium (955-981) ; Wendin le Viez (1183) ; Wending (1202) ; Vetus Wendinium (1235) ; Li Vies Wendin (1269) ; Vies-Vendin (1294) ; Wanding (1347) ; Li Viez Vendinc (XIVe siècle) ; Vetus Wendinum (1423) ; Le Vieu-Vendin (1430) ; Vuandinum, Vendinicus pagus (1561) ; Viel Wendin (XVIIIe siècle)[17].
Histoire
[modifier | modifier le code]Le nom de Wendinium est cité, en 996, dans les annales de l'abbaye Saint-Pierre de Gand. C'est donc un village au passé très lointain qui a vu, avant même cette date, l'invasion des Vandales, des Francs, puis, pendant plus de cent ans, des Anglais.
Vendin-le-Vieil est située dans le comté d'Artois, dont les contours ont varié au cours des siècles, en fonction des aléas de l'histoire et des rattachements ou séparations d'avec les comtés voisins, comté de Boulogne, comté de Flandre, etc., le village s'est toujours trouvé au cœur de toutes les guerres.
L'Artois correspond à peu près au pays du peuple gaulois des Atrébates, dont la capitale Nemetocenna est devenue Arras. Compris par les Romains dans la province romaine de 2e Belgique, ce pays fut conquis au Ve siècle par les Francs et donné en 863 par Charles le Chauve à Judith, sa fille, qui épousa Baudouin Bras de Fer, comte de Flandre.
Après avoir été longtemps possédé par les comtes de Flandre, sous la suzeraineté de la France, il fut réuni à la couronne par Philippe Auguste en 1180, et donné en 1237, avec titre de comté, par Saint Louis à Robert, son frère puîné.
En 1382, le comté d'Artois fut réuni à celui de Flandre, puis à la suite des mariages « princiers » au duché de Bourgogne, enfin par le mariage de Marie de Bourgogne avec l'archiduc Maximilien, l'Artois fut porté, avec la Flandre et la Franche-Comté, dans la maison d'Autriche.
À cela, il faut ajouter, en 1437 et 1438, la peste, puis la famine due à des hivers très rigoureux : Vendin-le-Vieil voit sa population baisser, comme tout le comté d'Artois qui a perdu près de la moitié de ses habitants entre 1300 et 1469.
Le village compte alors 44 feux en cette année 1469.
Mais, pour les paysans, de 1515 à 1559, la guerre est presque permanente en Artois entre la France et Charles Quint.
L'Artois ne connaît une ère de paix et de prospérité que pendant le gouvernement des archiducs Albert (neveu de Charles Quint) et Isabelle (fille de Philippe II), la période espagnole.
En 1569, Philippe II ordonne l'application d'un impôt sur le capital, l'impôt du centième denier ; grâce à cela, nous savons que le nombre de feux à Vendin-le-Vieil est passé à 82 (soit environ 250 habitants).
Cette paix se termine à la reconquête de l'Artois par la France. Tout le pays est de nouveau ravagé par la guerre (de 1635 à 1659), et même si les guerres de Louis XIV se déroulent principalement en Flandre, l'Artois est gravement touché en 1676 et en 1710 par les opérations militaires. Pour preuve, la population de Vendin-le-Vieil en 1698 est de 31 feux, 181 habitants.
Le , Roland Blondel, seigneur d'Aubers, achète la moitié de la terre de Vendin-le-Vieil. Son petit-fils, Eugène-Roland-Joseph Blondel d'Aubers, premier président du Parlement de Flandres, achète l'autre moitié en 1759 avec le titre seigneurial. La seigneurie consiste en un château avec jardin, potager, ... ,une centaine de mesures (environ 45 hectares de terre), des rentes[18]...
À la fin du XVIIIe - début du XIXe siècles, le château de Vendin-le-Vieil, devient le lieu de résidence de la famille Blondel d'Aubers et de leurs alliés, qui ont un caveau de famille au cimetière : après la mort d'Eugène-Roland-Joseph Blondel d'Aubers en 1767, sa femme Marie-Anne de Calonne établit sa résidence au château de Vendin, avant d'émigrer en 1792 et de mourir en Angleterre en 1800[18]; Isabelle-Ernestine-Joseph le Maistre d'Anstaing, épouse de Charles-Louis-Philippe du Chambge de Liessart (1746-1801), chevalier, seigneur de Liessart, Frévillers belle-mère de Louis-Marie-Joseph Blondel d'Aubers, fils d'Eugène-Roland, seigneur d'Aubers et de Vendin, décède au château de Vendin en 1821[19]; Isabelle-Charlotte du Chambge de Liessart (1770-1853), fille de Charles-Louis-Philippe du Chambge de Liessart, veuve de Antoine-Laurent de Bergerand, chevalier, seigneur de Gosselies, meurt à Lille le , à l'âge de 82 ans, est inhumée dans le caveau de famille de Vendin-le-Vieil[20].
Les Blondel d'Aubers vont marquer la commune : le fils de Louis-Marie-Joseph Blondel d'Aubers, Émile-Louis-Marie Blondel d'Aubers va être maire de la commune[21].
Il faut attendre le traité d'Utrecht, le 11 avril 1713, qui met fin à la guerre de succession d'Espagne, pour que Vendin-le-Vieil, ainsi que tout l'Artois, retrouvent enfin la prospérité.
Lorsque la révolution éclate, le village compte 745 habitants, et voit le premier maire élu en février 1790, Célestin Deleruelle, remplacer le bailli, Jean-Baptiste-Hyacinthe Dubois.
Le charbon
[modifier | modifier le code]Vendin-le-Vieil possédait deux sièges d'extraction, la fosse no 8 - 8 bis dite Saint-Auguste ou Auguste Descamps et la fosse no 10 - 10 bis dite Saint-Valentin ou Valentin Cazeneuve de la compagnie des mines de Lens qui est un ancien charbonnage du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, situé à Vendin-le-Vieil[22].
D'importantes usines de valorisation du charbon existaient également, une cokerie fermée en 1978, un lavoir central fermé début 1983, un rivage pour l'expédition du charbon en péniche, une centrale électrique, d'importants parcs à stocks, et enfin une station pour l'entretien des locomotives[23].
La fosse n° 8 était située à côté de l'usine HGD (Huiles, Goudrons et Dérivés) ; rasée peu avant octobre 2006, elle possédait deux puits. Elle fut fermée en 1958, cependant les puits servirent quelque temps encore pour le service[23].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Lens du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]La commune est membre de la communauté d'agglomération de Lens-Liévin.
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune est rattachée au canton de Wingles.
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la douzième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Élections municipales 2020
[modifier | modifier le code]- Maire sortant : Didier Hiel (PS)
- 29 sièges à pourvoir au conseil municipal (population légale 2017 : 8 608 habitants)
- 3 sièges à pourvoir au conseil communautaire (CA de Lens-Liévin)
Tête de liste | Liste | Premier tour | Sièges | |||
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Voix | % | CM | CC | |||
Ludovic Gambiez[24] | DVG | 1 457 | 61,97 | 24 | 2 | |
Jean-Noël Godart[25] | SE | 894 | 38,02 | 5 | 1 | |
Votes valides | ||||||
Votes blancs | ||||||
Votes nuls | ||||||
Total | 100 | |||||
Abstention | ||||||
Inscrits / participation |
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Émile-Louis-Marie Blondel d'Aubers, maire après 1830, sous-préfet de Douai en 1815, sous-préfet de Mortagne-au-Perche en 1817, préfet de l'Ardèche en 1828, préfet du Gers en 1829, membre du conseil général du Pas-de-calais[26], chevalier puis officier de la Légion d'honneur, chevalier de l'Ordre de l'Éperon d'or[27].
Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Espaces publics
[modifier | modifier le code]La commune est labellisée « 1 fleur » au concours des villes et villages fleuris[30].
Justice, sécurité, secours et défense
[modifier | modifier le code]Le centre pénitentiaire de Vendin-le-Vieil est ouvert en 2014.
La ville est également équipée d'une brigade de Police Municipale depuis 2019
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].
En 2021, la commune comptait 8 381 habitants[Note 6], en évolution de +1,87 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 4 204 hommes pour 4 339 femmes, soit un taux de 50,79 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
[modifier | modifier le code]Vendin-le-Vieil compte trois écoles maternelles : école Jean-Jaurès (centre), école Suzanne-Lacore (centre), école Jules-Ferry (cité 8) ; deux écoles primaires : école Jean-Jaurès (centre), école Jules-Ferry (cité 8) ; un collège : collège Bracke-Desrousseaux (centre).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Léger, centre-ville.
- Église Saint-Auguste, cité no 8, dépendant de la paroisse Saint-François-d'Assise de Lens, construite de 1921 à 1925.
- En outre, Vendin-le-Vieil compte un monument aux morts dans le centre et un monument aux morts à la cité no 8. Les maisons des mines de Vendin sont classées au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Cesare Luccarini membre FTP-MOI du groupe Manouchian[36]
- Jacqueline Shumiatcher née à Vendin-le-Vieil, philanthrope , mécène et collectionneuse d'art canadienne
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Douai-Lens comprend quatre villes-centres (Douai, Hénin-Beaumont, Lens, Liévin) et 63 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - canal de la Deûle (E3--021-) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Vendin-le-Vieil et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013760 - terril et marais de Wingles », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Vendin-le-Vieil ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lens - Liévin », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 381.
- Sébastien Bocquillon, « Fortune d'un premier président au Parlement de Flandre, Eugène-Roland-Joseph Blondel d'Aubers (1714-1767) », Revue du Nord 2007/3 (n° 371), pages 507 à 529, sur Cairn info..
- Éléonore Paul Constant Baron DU CHAMBGE DE LIESSART, Notes historiques relatives aux offices et aux officiers du Bureau des finances de la généralité de Lille, L. Leleu, (lire en ligne), p. 53-57.
- Éléonore Paul Constant Baron DU CHAMBGE DE LIESSART, Notes historiques relatives aux offices et aux officiers du Bureau des finances de la généralité de Lille, L. Leleu, (lire en ligne), p. 55-58..
- Raoul d' Auteur du texte Entragues, Notice biographique sur M. de Blondel-d'Aubers,... (Signé : Raoul d' Entragues.), (lire en ligne)
- Note_opportunitéPPRM_LENS_ARRAS_22_janvier_2015 page104/110
- http://www.histoires-de-chtis.com/index-news-8887-mines-de-vendin-le-vieil.php [1]
- « - Vendin-le-Vieil: Ludovic Gambiez veut incarner le changement dans la continuité », sur La Voix du Nord, (consulté le ).
- « - Vendin-le-Vieil : Jean-Noël Godart se (re-)présente sans étiquette », sur La Voix du Nord, (consulté le ).
- Raoul d'Entragues, « Notice biographique sur M. de Blondel d'Aubers. ».
- « Recherche - Base de données Léonore », sur leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr (consulté le ), Notice LH//260/21..
- J.V., « Vendin-le-Vieil : Ludovic Gambiez succède à Didier Hiel, maire depuis 1989 : Ce dimanche matin, à l’Espace du 8, s’est tenu, à huis clos*, le conseil municipal d’installation de Vendin-le-Vieil. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Compte-rendu du conseil municipal de Vendin-le-Vieil » [PDF], sur vendin-le-vieil.fr (consulté le ).
- « label de la commune », sur concours des villes et villages fleuris (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Vendin-le-Vieil (62842) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « Le groupe Manouchian »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur ivry94.fr (consulté le ).